Ressources - OSU Institut Pytheas

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Livre

Exobulles – La BD

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Une bande dessinée et une exposition sur les méthodes de détection des exoplanètes.

Imaginez qu’une civilisation extraterrestre puisse nous observer et étudier les instruments et les méthodes que nous créons pour toujours mieux comprendre l’Univers et notamment essayer de répondre à cette question ancestrale « Sommes-nous seuls dans l’Univers ? ».

Telle est l’idée de départ de cette histoire qui, à travers le regard amusé d’un petit extraterrestre, va vous faire découvrir les principales méthodes que les scientifiques ont imaginés pour détecter et étudier les planètes extrasolaires – c’est-à-dire les planètes en orbites autour d’autres étoiles que notre Soleil.

Pleine d’humour et de poésie cette histoire n’en est pas moins très pédagogique. Chaque double-page dédiée à présenter un propos scientifique est traitée de la même manière : une première page réalisée à la manière d’une publicité pour annoncer la problématique scientifique de manière attractive et évocatrice et une seconde page traitée façon planche de BD pour développer le sujet.

Cette histoire écrite et illustrée par Macha Bellinghery repose sur une collaboration entre le service communication de l’Observatoire des Sciences de l’Univers Institut Pythéas (CNRS, AMU, IRD, INRAE) et la chercheuse Magali Deleuil, professeur Aix-Marseille Université au Laboratoire d’Astrophysique de Marseille (OSU Institut Pythéas / CNRS, AMU, CNES).

 

 

Voyage en Anthropocène

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Découvrez une nouvelle BD très pédagogique sur le changement climatique, le GIEC, les projections futures du climat, les impacts locaux de ces changements, et tout ce que vous avez rêvé de comprendre sur un monde dont le climat se dérègle de plus en plus.

 

Bande dessinée « Voyage en Anthropocène », réalisée dans le cadre du projet Climat 2030.

Collaboration entre Joel Guiot, directeur émérite de recherche CNRS au CEREGE (scénario), et Marie-Charlotte Bellinghery, médiatrice scientifique Aix-Marseille Université pour ITEM (mise en bulles et illustrations).

 

Laboratoire impliqué : Centre Européen de Recherche et d’Enseignement des Géosciences en Environnement

 

Télécharger un extrait : cliquez ici

Mission Espace : à la recherche d’une nouvelle Terre

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Nous sommes en 2050 : le changement climatique et ses ravages pourraient rendre notre Terre invivable. Après de longues recherches sur les lointaines planètes en orbite autour d’étoiles autres que le Soleil, les scientifiques ont déjà identifié quatre nouvelles « terres » susceptibles d’accueillir la vie. Les gouvernements veulent trouver un nouveau lieu de vie pour l’Humanité et chargent la « Mission Espace » de les explorer. À son bord, il y a tout d’abord le jeune visiteur, l’un des meilleurs pilotes de l’Agence Spatiale Européenne ; à ses côtés, Verra, astrophysicienne, et Viktor-S-OB1, son robot assistant.

C’est ainsi que débute « Mission Espace – A la recherche d’une nouvelle Terre »:

  • une exposition dont vous êtes le héros – 23 panneaux,
  • un livret dont vous êtes le héros,

… dont l’objectif est de faire comprendre où et comment la vie pourrait se développer ailleurs que sur notre Terre… Mais pas que. Car si un focus particulier est mis sur les exo-planètes, celui-ci sert de prétexte, de porte d’entrée à une visite du cosmos et des objets que l’on peut y rencontrer : étoiles, astéroïdes, comètes, galaxies, nébuleuses, trous noirs… et de tour d’horizon des instruments construits par les astrophysiciens pour mener à bien leurs recherches.

Le déroulement de ce voyage interstellaire dépend des choix de son personnage principal : le visiteur. Au bas de chaque panneau, trois options lui sont offertes et en fonction de ses choix le visiteur fait un parcours spécifique ; s’il fait d’autres choix, il redécouvre l’exposition, d’une autre manière.

Capture d'écran étape 9 - Exposition Mission Espace, à la recherche d'une nouvelle Terre
Extrait du livret Mission Espace, à la recherche d’une nouvelle Terre issu de l’exposition du même nom – étape 9

Pour atteindre son but, il dispose des indications contenues dans les panneaux. Dès qu’il arrive sur une planète, il découvre ses caractéristiques et l’explore, si les conditions environnementales le permettent. Dans le cas contraire, il repart immédiatement à la recherche d’une autre planète.

Cette exposition a été imaginée au printemps 2017 par quatre étudiants du Master 1 IMST – Information et Médiation Scientifique et Technique (Aix-Marseille Université / Observatoire des sciences de l’Univers (OSU) Pythéas, dans le cadre de leur stage d’application au sein de l’équipe Communication – partage connaissances de l’OSU Pythéas. Les chercheurs du Laboratoire d’Astrophysique de Marseille (LAM / AMU, CNRS, CNES – OSU Pythéas) ont apporté leur concours à la réalisation des contenus.

Ces contenus tiennent visent le jeune public ; toutefois, les panneaux comprennent des informations destinées aux plus grands.

 

Description des supports

Exposition
23 panneaux roll-up, hauteur 200 cm x largeur 85 cm.

Livret
50 pages au format A5, 14,8 cm x 21 cm format fermé.

 

Modalités de prêt

Pour toute information ou demande de prêt, envoyer un mail à : communication@osupytheas.fr.
Tout emprunt est soumis à l’établissement d’une fiche de prêt qui formalise les conditions d’emprunt.
Pour en savoir plus, téléchargez la fiche descriptive de l’exposition.

Les impromptus du LPED #8 – Digressions

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Voici le huitième numéro de la série des Impromptus édités par le LPED.

Une collection scientifique originale en dehors des standards de la publication scientifique internationale, une diffusion scientifique en open access, pour partager librement les connaissances produites avec le plus grand nombre (scientifiques, étudiants, experts et grand public).

Extrait de l’introduction

Publier ou périr (“publish or perish”), c’est l’équation à laquelle sont confronté∙e∙s tous, toutes les chercheur∙e∙s, ingénieur∙e∙s de recherche. Pas de financement ou de promotion possibles sans une bonne évaluation de son travail, et pas de bonne évaluation sans un nombre conséquent de publications dans des revues reconnues, à impact factor. Ne pas publier c’est ne pas exister. Cela induit une forte concurrence entre chercheur∙e∙s, ingénieur∙e∙s et favorise l’émergence de revues scientifiques avec des modèles économiques abusifs (les revues prédatrices). Pour répondre à cette injonction de publication, les chercheur∙e∙s, ingénieur∙e∙s se plient aux exigences des revues. Les formats des articles sont imposés (le plan, le nombre de mots…), l’anglais est devenu dans certaines disciplines la seule langue de publication reconnue. Les articles sont parfois retravaillés pendant plusieurs années avant d’être finalement publiés (ou refusés). Il est de plus en plus fréquent que les revues fassent payer les laboratoires de recherche, les institutions de recherche pour la publication. Une fois publiés, les articles n’appartiennent plus aux auteur∙e∙s, et très souvent encore, ils ne sont accessibles aux lecteurs et lectrices (individus ou institutions) que moyennant paiement ou abonnement.

Corps célestes insolites. Les dernières découvertes astronomiques

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Résumé

Une approche scientifique surprenante, documentée et non dénuée d’humour des dernières découvertes astronomiques.

Connaissez-vous 55 CANCRI-e, la « planète aux diamants » comme la surnomme joliment Jean-Pierre Luminet ? Et Encelade, un satellite de Saturne où il neige en permanence ? Liche et ses planètes fantômes ? Ou encore GNz, le plus vieux trou noir de l’Univers ?
Les curieux et les amateurs d’astronomie se régaleront à la lecture de cet ouvrage de vulgarisation scientifique qui nous fait découvrir 150 corps célestes. L’auteur, astrophysicien, les a choisis parmi les milliards d’objets qui évoluent dans l’Univers
– étoiles, météorites, astéroïdes, exoplanètes, trous noirs, galaxies…
– pour leurs caractéristiques propres et pour ce qu’ils nous disent des dernières avancées de la recherche. Ils peuvent avoir été récemment découverts, grâce au satellite spatial James Webb par exemple, ou révéler des informations nouvelles, notamment celles apportées par les détecteurs d’ondes gravitationnelles.

En écrivain et poète, le scientifique évoque avec tendresse et humour ces corps célestes qui continuent de nous étonner, et surtout de nourrir notre compréhension de l’Univers et des conditions dans lesquelles la vie pourrait, peut-être, se développer ailleurs que sur notre planète…

Voyager dans un trou noir avec Interstellar

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Résumé

Trous noirs, trous de ver, trous blancs : la théorie de la relativité générale d’Einstein n’en finit pas de stimuler les spéculations les plus extravagantes sur les distorsions cosmiques et la possibilité de voyages spatio-temporels. Serait-il possible de plonger dans un trou noir, d’emprunter le trou de ver correspondant
et de ressortir par un trou blanc pour déboucher en un temps record dans une région très lointaine de l’univers, voire dans un « univers parallèle » ?

Le film de Christopher Nolan, Interstellar, imagine ainsi la possibilité pour l’humanité d’échapper à une Terre moribonde pour s’établir sur une nouvelle planète accueillante. Ce film est-il crédible ? Les trous de ver sont-ils traversables ? Qu’y a-t-il aux abords et à l’intérieur d’un trou noir ? Existe-t-il une « équation
ultime » qui permettrait de maîtriser les lois de la gravité ?

Comme les personnages d’Interstellar, embarquez aux côtés de Jean-Pierre Luminet pour un voyage au coeur des trous noirs.