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Ressources – OSU Institut Pytheas

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Archives pour avril 2025

Comment les émissions des véhicules à essence se transforment en particules respirables

16 avril 2025 by osuadmin

La pollution atmosphérique par des particules fines liée au transport routier est plus que jamais un enjeu sociétal de première importance. Cependant, force est de constater que la contribution des modes de transport à la production de particules atmosphériques reste encore très mal connue. Plusieurs raisons à cela.  D’une part, les méthodes et les protocoles de mesure fiables de ces émissions sont difficiles à mettre en place. D’autre part la formation d’aérosols secondaires, produits in situ dans l’atmosphère par les émissions des gaz d’échappement, reste encore à caractériser Il est donc actuellement impossible de représenter correctement les aérosols organiques secondaires dans les modèles de qualité de l’air et de comprendre leur impact sur la santé humaine et sur le climat.

Dans ce contexte, les scientifiques du Laboratoire de chimie de l’environnement (CNRS/Aix-Marseille Université) se sont intéressés aux processus photochimiques auxquels sont soumis les gaz d’échappement des véhicules à essence une fois largués dans l’atmosphère.  Leur approche originale combine analyse des gaz émis (sur banc d’essai) et caractérisation physico-chimique de leur évolution dans une enceinte environnementale de 8 m3 dédiée aux mesures. Les scientifiques ont ainsi pu recréer les conditions atmosphériques en contrôlant finement la composition chimique, le taux d’humidité, la température et l’irradiation solaire.

Les gaz d’échappement primaires qui contiennent des composés organiques volatiles (COVs) issus de la combustion du carburant, des oxydes d’azote et de l’ammoniaque, sont directement introduits dans l’enceinte environnementale. Ce mélange complexe est oxydé et des nouvelles particules fines sont rapidement formées. Les mesures par spectrométrie de masse à temps de vol à réaction par transfert de protons (CHARON-PTR-ToF-MS) ont permis d’élucider, pour la première fois, la composition chimique de ces particules.

La quantification et l’identification de ces particules secondaires produites par les véhicules à essence à injection directe permettra de mieux évaluer leur impact environnemental sur la qualité de l’air et la santé. Les équipes envisagent maintenant d’adapter cette méthode d’analyse innovante au suivi de la formation de particules secondaires issues d’autres sources de pollution comme le transport maritime, le chauffage à bois, etc….

Rédacteur : CCdM

Evolution atmosphérique des émissions véhiculaires : (a) émission des polluants (gaz et particules) ; (b) évaporation de certains composés organiques semi-volatils (COVS) ; (c) produits d’oxydation en phase gazeuse et nouvelles particules ou condensation des composés oxydés sur les particules préexistantes.
Evolution atmosphérique des émissions véhiculaires : (a) émission des polluants (gaz et particules) ; (b) évaporation de certains composés organiques semi-volatils (COVS) ; (c) produits d’oxydation en phase gazeuse et nouvelles particules ou condensation des composés oxydés sur les particules préexistantes. Crédit : Barbara D’Anna

Classé sous :Atmosphère, Chimie Balisé avec :Résultat scientifique

Découverte de nouvelles super-Terres voisine de notre système solaire

22 avril 2025 by osuadmin

Le voisinage de notre système solaire est constitué majoritairement d’étoiles petites et froides, comparées à notre soleil, appelées les naines rouges. Leur faible luminosité rend difficile la détection des exoplanètes qui tournent autour de ces petites étoiles. Elles ont également tendance à avoir des planètes de masse plus modeste, donc plus difficiles à mettre en évidence. Ces planètes de faible masse, proches et orbitant autour de naines rouges, sont passionnantes, car ce sont les premières pour lesquelles il sera possible d’explorer la composition de leurs atmosphères.

Une voire plusieurs nouvelles planètes découvertes

À l’aide d’observations répétées sur plusieurs années, la lumière de l’étoile Gl410 a parlé : les mesures de vitesse ont permis la mise en évidence d’un mouvement périodique qui est dû à la présence d’une planète de dix fois la masse de la Terre qui orbite en six jours autour de son étoile.

À partir des séries de mesures, les scientifiques procèdent ensuite à des tests statistiques qui révèlent le degré de confiance qu’ils accordent à ces découvertes. La détection de l’exoplanète GI 410 b est considérée comme certaine. Deux autres planètes pourraient être présentes avec 3 et 18.7 jours de période orbitale, ce qui ferait du système de GI 410 un ensemble compact et résonant de planètes de petite masse. Des mesures supplémentaires sont nécessaires pour confirmer ces deux planètes supplémentaires.

Que sait-on de cette planète ?

La période orbitale de la planète Gl410 b étant de six jours, elle reçoit 20 fois plus de chaleur de son étoile que la Terre du Soleil et sa température d’équilibre pourrait être d’environ 300°C. La planète pourrait ressembler à Neptune, en beaucoup plus chaud !

Les scientifiques savent également que cette planète doit être soumise à de fortes et fréquentes éruptions de son étoile : les naines rouges sont en effet connues pour posséder un champ magnétique très actif. GI 410, deux fois moins massive que le Soleil, est une étoile relativement jeune (500 millions d’années) et les mesures SPIRou confirment un champ magnétique 100 fois plus intense que celui de notre soleil. Les conséquences pour les planètes peuvent être une érosion de leur atmosphère.

Cette nouvelle découverte illustre, une fois encore, l’immense diversité des mondes et l’infinie richesse de leur étude.

La découverte de planètes autour d’étoiles si actives et éruptives que GI 410 est cruciale pour comprendre l’évolution des planètes. Ces planètes étaient très difficiles à détecter tant que les mesures de vitesse des étoiles se faisaient uniquement dans l’optique, l’activité stellaire troublant la mesure. SPIRou travaillant dans l’infrarouge, il permet une nouvelle fenêtre d’observation plus stable, et c’est le cumul de ses mesures avec celles de SOPHIE qui permet cette détection difficile. La découverte d’exoplanètes est un intense travail d’équipe, déployé de la conception d’un instrument à son opération et à l’analyse avancée de ses données. Ces découvertes ont également été rendues possibles grâce à l’incomparable qualité du ciel au sommet du volcan Maunakea, où le télescope Canada-France-Hawaï est installé, équipé de l’instrument SPIRou et à l’Observatoire de Haute-Provence d’où observe le spectrographe SOPHIE.

Les observations ont été conduites dans le cadre du SPIRou Legacy Survey, un programme franco-canadien totalisant plus de 300 nuits sur 3 ans. Elles ont été combinées avec des observations SOPHIE obtenues essentiellement entre 2021 et 2023 issues d'un très grand programme mené sur SOPHIE depuis plus de 10 ans.
Les observations ont été conduites dans le cadre du SPIRou Legacy Survey, un programme franco-canadien totalisant plus de 300 nuits sur 3 ans. Elles ont été combinées avec des observations SOPHIE obtenues essentiellement entre 2021 et 2023 issues d’un très grand programme mené sur SOPHIE depuis plus de 10 ans. Crédit photo : A. Santerne – OHP/CNRS

À propos de l’utilisation combinée de SPIRou et SOPHIE

SPIRou, un spectrographe qui opère dans le domaine spectral infrarouge depuis le télescope Canada-France-Hawaï, est plus sensible à la lumière de ces étoiles que les instruments optiques ordinaires. Il est à la fois un spectrographe échelle à haute résolution spectrale, un vélocimètre à haute précision et un spectropolarimètre qui opère dans les longueurs d’onde infrarouge. Ces caractéristiques font de lui l’instrument idéal pour observer les naines rouges et étudier en même temps leurs cortèges de planètes et les propriétés de leur champ magnétique.

Ces caractéristiques font de lui l’instrument idéal pour observer les naines rouges et étudier en même temps leurs cortèges de planètes et les propriétés de leur champ magnétique. SOPHIE est le spectrographe à haute-résolution installé au télescope de 193cm à l’Observatoire de Haute­ Provence. Il opère dans le visible avec une précision au m/s depuis plus de 10 ans. En observant la même étoile avec le spectrographe SOPHIE installé sur le télescope de 193cm de l’Observatoire de Haute Provence, les scientifiques peuvent distinguer la signature d’une planète (qui sera la même vue avec les deux spectrographes) d’un effet seulement dû à l’étoile (qui donnera un signal variable d’un instrument à l’autre).

Classé sous :Univers Balisé avec :Communiqué de presse

Les algues glaciaires : un rôle crucial dans l’absorption des nutriments et l’accélération de la fonte des glaces

11 avril 2025 by osuadmin

Un métabolisme ultra-efficace révélé par imagerie cellulaire

Menée par des chercheurs du CNRS Terre & Univers en collaboration avec des équipes européennes, cette étude s’est appuyée sur des techniques d’imagerie cellulaire pour analyser la composition en carbone, azote et phosphore des algues glaciaires. En mesurant leurs taux d’assimilation des nutriments, l’étude a montré que ces algues accumulent du phosphore intracellulaire et présentent des ratios carbone/nutriments exceptionnellement élevés. Ces caractéristiques indiquent une stratégie physiologique parfaitement bien adaptée aux environnements pauvres en nutriments des surfaces glaciaires. 

Vue d'ensemble du site d'échantillonnage et de la configuration expérimentale sur la calotte glaciaire du Groenland.
Vue d’ensemble du site d’échantillonnage et de la configuration expérimentale sur la calotte glaciaire du Groenland. Crédit : Laura Halbach

Des conséquences directes sur la fonte des glaces

La calotte glaciaire du Groenland est actuellement la principale source de l’élévation du niveau de la mer à l’échelle mondiale. Au cours de la dernière décennie, des études ont montré que les floraisons algales sur sa marge occidentale réduisent l’albédo de la glace, entrainant une augmentation moyenne de 13 % des taux de fonte. L’étude met en lumière la capacité des Ancylonema spp à prospérer dans des conditions pauvres en nutriments, ce qui pourrait favoriser leur expansion avec le réchauffement climatique.

James Bradley et Rey Mourot collectant des échantillons de neige et de glace du glacier Foxfonna, Svalbard.
James Bradley et Rey Mourot collectant des échantillons de neige et de glace du glacier Foxfonna, Svalbard. Crédit : James Bradley

Une stratégie de survie hors norme pour un environnement extrême

Cette nouvelle étude met en évidence la manière dont ces micro-organismes particulièrement résilients optimisent l’absorption des nutriments, assurant leur survie et leur développement malgré les conditions oligotrophes de la glace. Ces découvertes suggèrent que leur croissance n’est pas freinée par la disponibilité des maconutriments, ce qui signifie que toute nouvelle  surface de glace exposée pourrait potentiellement être colonisée. Ce phénomène contribue à accentuer la fonte des glaciers et, par conséquent, l’élevation du niveau de la mer en réponse au réchauffement climatique.

Cette étude a été dirigée par Dr. Laura Halbach (Max Planck Institute for Marine Microbiology, Brême) en collaboration avec des scientifiques européens, et soutenue par le Conseil Européen de la Recherche (ERC) dans le cadre du projet Deep Purple.

Des microalgues qui accélèrent la fonte des glaces
11.04.2025
Interview de Rey Mourot et James Bradley, chercheurs CNRS affectés au MIO Institut Méditerranéen d’Océanologie. Au Groenland, des microalgues pigmentées glaciaires se propagent sans apport externe de nutriments, intensifiant ainsi l’assombrissement de la glace et accélérant sa fonte.

Classé sous :Océan Balisé avec :Résultat scientifique

HiRISE : Durée du jour sur une exoplanète analogue de Jupiter

14 avril 2025 by osuadmin

La mesure directe de la lumière émise par les exoplanètes géantes jeunes permet d’accéder à la composition de leur atmosphère et d’étudier leur mode de formation. En plus de la composition, la spectroscopie à haute résolution spectrale donne accès à des paramètres comme la vitesse orbitale ou la vitesse à laquelle les planètes tournent sur elles-mêmes, qui sont aussi des paramètres liés à l’historique de formation. Cette étude s’intéresse à la jeune exoplanète AF Lep b qui est un analogue de Jupiter dans notre Système Solaire, avec une masse environ trois fois plus importante que cette dernière et orbitant à une distance deux fois plus grande. 

De nouvelles mesures effectuées avec l’instrument HiRISE permettent de déterminer que la planète tourne sur elle-même à une vitesse d’environ 12 km/s ce qui, compte-tenu de son diamètre 30% plus important que celui de Jupiter, permet d’estimer qu’elle tourne sur elle-même en un peu moins de onze heures. Ce résultat confirme l’analogie avec Jupiter qui tourne sur elle-même en 10 heures environ. Les scientifiques ont également mesuré la vitesse de la planète sur son orbite, permettant ainsi de contraindre très précisément son orbite (Figure 1) et de déterminer quel côté de la planète fait face à l’observateur (Figure 2).

Figure 1 : Prédiction de vitesse orbitale de l’exoplanète AF Lep b sans (gauche) et avec (droite) la mesure de l’instrument HiRISE. La nouvelle mesure permet de contraindre précisément l’orbite et d’éliminer des familles entières de solutions.
Figure 1 : Prédiction de vitesse orbitale de l’exoplanète AF Lep b sans (gauche) et avec (droite) la mesure de l’instrument HiRISE. La nouvelle mesure permet de contraindre précisément l’orbite et d’éliminer des familles entières de solutions. Crédit : Allan Denis
Figure 2 : Détermination complète de l’orbite de AF Lep b dans le plan du ciel. En plus de contraindre les paramètres orbitaux, les mesures HiRISE permettent de déterminer quel côté (jour ou nuit) fait face à l’observateur à n’importe quel pointde l’orbite.
Figure 2 : Détermination complète de l’orbite de AF Lep b dans le plan du ciel. En plus de contraindre les paramètres orbitaux, les mesures HiRISE permettent de déterminer quel côté (jour ou nuit) fait face à l’observateur à n’importe quel pointde l’orbite. Crédit : Allan Denis

Ce résultat unique a été permis par HiRISE, un instrument novateur conçu et réalisé par le Laboratoire d’Astrophysique de Marseille pour le Very Large Telescope (VLT) au Chili. Grâce à HiRISE, la caractérisation directe d’exoplanètes entre dans une nouvelle ère en permettant de faire de la spectroscopie à une résolution spectrale 1 000 fois supérieure à ce que permettaient les instruments imageurs d’exoplanètes existants.

AF Lep b n’est que la première cible du relevé HiRISE commencé en 2023. D’ici quelques années, toutes les planètes géantes connues en imagerie auront été observées avec HiRISE, ce qui permettra de tester de manière statistique les liens entre composition, vitesse de rotation et mode de formation.

Classé sous :Univers Balisé avec :Résultat scientifique

32ème congrès de l’ED251

18 avril 2025 by osuadmin

Ce congrès est l’occasion pour tous les doctorants inscrits dans l’ED251 de présenter sous forme de poster ou d’oral les avancées et résultats de leurs travaux de thèse.

Chaque demi-journée sera introduite par un(e) conférencier(e) de renommée internationale sur les sujets de recherche en lien avec les thématiques de l’école doctorale.

 Programme et Inscription : https://edsecongres.osupytheas.fr/

Classé sous :Environnement Balisé avec :Enseignement

Eris et Makemake : l’origine cosmique du méthane révélée

7 avril 2025 by osuadmin

Illustration du cycle du méthane, de sa formation dans le milieu interstellaire à son incorporation dans les corps du Système solaire, dont les objets transneptuniens.
Illustration du cycle du méthane, de sa formation dans le milieu interstellaire à son incorporation dans les corps du Système solaire, dont les objets transneptuniens. © Illustration de Bill Saxton/NSF/AUI/NRAO

Classé sous :Univers Balisé avec :Brève

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