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Ressources – OSU Institut Pytheas

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PRESSION HYPERBAR ! Demain, la nature en ville !?

11 juin 2024 by osuadmin

Résumé

Si la Nature était déjà au cœur des préoccupations de ceux qui voulaient transformer les villes au 19ème siècle à des fins esthétiques et hygiénistes, elle revient au cœur de nos débats dans les politiques actuelles d’atténuation et d’adaptation au réchauffement climatique global. La question qui se pose désormais est de savoir en quoi les changements globaux (changements climatiques et changements des modes d’occupation et d’utilisation des sols) affectent la question de la Nature en ville au 21ème siècle. Agissant en synergie, ces derniers ne peuvent être considérés indépendamment les uns des autres.
La création d’îlots de fraicheur et les espaces souhaités par les citadins posent de nouvelles problématiques associées au développement de la ville : santé environnementale, acceptation de la nature, contraintes et usages, règlementations, conservation de la biodiversité, gestion et aménagements, conception écologique… Or la nature en ville n’est pas qu’une question de nature et de solutions techniques: elle fait appel aux relations entre les individus, la société et la nature. Elle impose de penser les aménagements dans leur globalité et de travailler ensemble (services aménagements, espaces verts, planification , plan climat…). Si bien que construire une ville-nature impose d’avoir une vision intégrative et d’envisager autant de solutions qu’il existe de villes.

 

Intervenants

  • Valérie Bertaudière-Montès Maître de conférences, LPED, Aix-Marseille Université
  • Marie-Caroline Vallon Chef de projet Direction de la Transition Energétique et des Territoires, Région Sud
  • Gilles Zamo Concepteur paysagiste – Atelier MIRA

Classé sous :Environnement, Interactions Homme-Milieu Balisé avec :Communiqué de presse

Un navire antique sur les côtes Croates

11 juin 2024 by osuadmin

Une équipe interdisciplinaire de scientifiques (CEREGE, Centre Camille Jullian, Université de Lyon, Université de Ferrara, Croatian Conservation Institute) a analysé le lest découvert sur le navire romain antique naufragé « Ilovik-Paržine-1 », retrouvé en 2016 au large des côtes croates.

L’analyse des roches carbonatées du lest, menée par le CEREGE (F. Fournier, P. Léonide, L. Marié), a révélé que les roches provenaient très probablement de la région de Brindisi, située dans les Pouilles (Italie). Cette découverte a conduit les scientifiques à supposer que le navire avait été construit dans un chantier naval de cette ville antique ou de ses environs. Les résultats ont été publiés dans Journal of Archaeological Science: Reports.

En 2016, à environ 500 mètres de la côte de la petite île croate d’Ilovik, située en mer Adriatique, l’épave d’un navire antique, nommé « Ilovik-Paržine-1 », a été découverte. Entre 2018 et 2022, des archéologues sous-marins ont étudié le navire et ont déterminé qu’il mesurait initialement environ 21,5 mètres de long et 6,5 mètres de large, et qu’il transportait du bois et des amphores de vin. Grâce à des datations au radiocarbone et à l’analyse typologique de la céramique, les archéologues ont établi que le naufrage s’était produit entre 170 et 130/120 av. J.-C.

En 2021, les archéologues ont extrait un total de 854 roches, d’un diamètre allant de 1 à 40 centimètres, dont une partie a fait l’objet d’analyses sédimentologiques, pétrographiques, micropaléontologiques et géochimiques (composition isotopique du carbone, de l’oxygène et du strontium des carbonates). Les résultats ont montré que la quasi-totalité du lest est constituée de calcarénites quartzeuses, d’âge Pléistocène supérieur, déposées en milieu marin côtier. Une mission de terrain visant à analyser les formations marines du Pléistocène des côtes adriatiques et ioniennes de l’Italie a permis une comparaison directe avec les roches du lest.

La grande homogénéité des éléments du lest conduit à penser qu’il s’agit probablement d’un lest permanent, chargé lors de la construction du navire dans un chantier naval à Brindisi ou dans un port voisin. Une seconde hypothèse serait de considérer Brindisi, ou un port voisin, comme port d’attache permanent de ce navire, de sorte que le volume de lest était toujours ajusté à partir d’une seule source de pierre. Le lieu où le navire naufragé a été découvert indique qu’il se dirigeait probablement vers le nord, et que la destination finale de son voyage était peut-être l’une des villes situées dans le nord de l’Adriatique, comme par exemple Aquilée, une colonie romaine antique fondée vers 181 av. J.-C. et ayant une grande importance commerciale et stratégique.

Classé sous :Surface continentale Balisé avec :Communiqué de presse

L’ESO signe un accord de construction pour l’instrument ANDES sur l’ELT

6 juin 2024 by osuadmin

L’accord a été signé par Xavier Barcons, directeur général de l’ESO, et par Roberto Ragazzoni, président de l’Institut national italien d’astrophysique (INAF), l’institution qui dirige le consortium ANDES. Sergio Maffettone, consul général d’Italie à Munich, et Alessandro Marconi, chercheur principal d’ANDES à l’INAF, ainsi que d’autres représentants de l’ESO, de l’INAF, du consortium ANDES et du consulat d’Italie à Munich, ont également assisté à la cérémonie de signature. La signature a eu lieu au siège de l’ESO à Garching, en Allemagne.

Anciennement connu sous le nom de HIRES, ANDES est un puissant spectrographe, un instrument qui décompose la lumière en ses différentes longueurs d’onde afin que les astronomes puissent déterminer des propriétés importantes des objets astronomiques, telles que leur composition chimique. L’instrument aura une précision record dans les longueurs d’onde du visible et du proche infrarouge et, associé au système de miroirs de l’ELT (un miroir primaire géant de 39m de diamètre généré par l’association de 798 hexagones d’une largeur de 1,40 mètres chacun), il ouvrira la voie à des recherches couvrant de multiples domaines de l’astronomie.

« ANDES est un instrument doté d’un énorme potentiel de découvertes scientifiques révolutionnaires, qui peuvent profondément affecter notre perception de l’Univers, bien au-delà de la petite communauté des scientifiques », a déclaré M. Marconi. Céline Péroux, responsable scientifique de l’équipe de l’ESO chargée du suivi d’ANDES, ajoute que les cas scientifiques vont « de la détection potentielle de signatures de vie dans d’autres mondes et de l’identification de la toute première génération d’étoiles, à l’étude des variations des constantes fondamentales de la physique ».

ANDES effectuera des relevés détaillés de l’atmosphère des exoplanètes semblables à la Terre, ce qui permettra aux astronomes de rechercher des signes de vie à grande échelle. Il sera également en mesure d’analyser les éléments chimiques présents dans les objets lointains de l’Univers jeune, ce qui en fera probablement le premier instrument capable de détecter les signatures des étoiles de population III, les premières étoiles nées dans l’Univers. En outre, les astronomes pourront utiliser les données d’ANDES pour vérifier si les constantes fondamentales de la physique varient avec le temps et l’espace. Ses données complètes seront également utilisées pour mesurer directement l’accélération de l’expansion de l’Univers, l’un des mystères les plus pressants du cosmos.

L’ELT de l’ESO est actuellement en construction dans le désert d’Atacama, au nord du Chili. Lorsqu’il entrera en service à la fin de la décennie, l’ELT sera le plus grand observatoire du ciel au monde dans les longueurs d’onde visible au proche infra-rouge, marquant une nouvelle ère dans l’astronomie au sol.

ANDES est issu d’un consortium de 13 pays partenaires avec une quarantaine d’instituts. En France, sept laboratoires du CNRS sont impliqués dans le développement de l’instrument. Une équipe de chercheurs couvrant des domaines divers, des exoplanètes aux études de physique fondamentale, a une contribution importante dans l’équipe scientifique d’ANDES. En collaboration avec des chercheurs, des ingénieurs et techniciens sont responsables de construire une partie de l’unité de calibration, du module coronographe et sont impliqués dans plusieurs parties de la programmation logicielle de l’instrument. L’unité de calibration est indispensable à l’instrument pour obtenir des mesures vélocimétriques extrêmement précises nécessaires notamment pour la détection directe de l’accélération de l’expansion de l’Univers. Le module coronographique sera quant à lui particulièrement utilisé pour la caractérisation d’atmosphères d’exoplanètes en masquant le flux de l’étoile hôte.

Acteur majeur de la recherche fondamentale à l’échelle mondiale, le Centre national de la recherche scientifique (CNRS) est le seul organisme français actif dans tous les domaines scientifiques. Sa position singulière de multi-spécialiste lui permet d’associer les différentes disciplines scientifiques pour éclairer et appréhender les défis du monde contemporain, en lien avec les acteurs publics et socio-économiques. Ensemble, les sciences se mettent au service d’un progrès durable qui bénéficie à toute la société.

Classé sous :Univers Balisé avec :Communiqué de presse

Lancement de la campagne océanographique franco-vietnamienne « PLUME »

29 mai 2024 by osuadmin

Plus d’une trentaine de scientifiques français et vietnamiens se relaieront au cours des cinq étapes et quatre escales de la campagne océanographique PLUME pour étudier les panaches fluviaux (les langues superficielles d’eaux turbides et peu salées entrant en mer à l’embouchure des fleuves et flottant sur des dizaines de kilomètres) et leur impact sur la qualité de l’eau et le fonctionnement de l’océan côtier. À bord de l’Antea, l’équipe mène des activités aussi diverses que la collecte d’eau, de sédiments, de microorganismes benthiques, de plancton, de larves de poissons, de microplastiques, la mesure de paramètres physiques, physico-chimiques et optiques, le suivi de bouées dérivantes et des mesures altimétriques, le tout à l’aide d’un arsenal d’instruments et d’équipements scientifiques de pointe. Les études vont de l’échelle microscopique à l’échelle macroscopique, de l’analyse des gènes (pour estimer la résistance aux antibiotiques) à la variabilité du niveau de la mer (pour mieux interpréter leurs mesures par satellite dans les eaux côtières).

Les principaux objectifs scientifiques de PLUME sont :

  • Évaluer la variabilité des processus hydro-sédimentaires estuariens et améliorer les connaissances sur les mécanismes et les processus agissant dans les zones de mélange ;
  • Étudier le transport, la dispersion et l’évolution des masses d’eau et de leur contenu en matières dissoutes et particulaires ;
  • Déterminer les concentrations, la distribution, les sources potentielles et les flux de divers matériaux naturels et anthropogéniques (y compris les nutriments, les métaux, le mercure, les contaminants émergents, le carbone noir, les microplastiques…) pendant le mélange des eaux douces avec les eaux de mer ;
  • Mesurer l’abondance, la productivité et la diversité des organismes planctoniques, principalement le bactério- et le phytoplancton, le long du gradient de salinité des rivières à l’océan côtier ;
  • Estimer l’effet des activités humaines sur les écosystèmes côtiers.

Plusieurs organismes ont directement contribué au financement de PLUME : l’IRD, la FOF-IFREMER avec la mise à disposition du navire et de son équipage Genavir, la VAST, le CNRS et Pure Ocean.

Les principaux laboratoires français impliqués sont : le LEGOS (Laboratoire d’Etudes en Géophysique et Océanographie Spatiales, CNES/CNRS/IRD/Université Toulouse Paul Sabatier) , le MIO (Institut Méditerranée d’Océanologie, Aix-Marseille Univ/CNRS/IRD/Université de Toulon), l’IGE (Institut de Géosciences de l’Environnement, CNRS/INRAE/IRD/Université Grenoble Alpes), le LOG (Laboratoire d’Océanologie et de Géosciences, CNRS/Université de Lille / Université Littoral Côte d’Opale), le laboratoire MARBEC (Biodiversité Marine, Exploitation et Conservation, CNRS/Ifremer/IRD/Université de Montpellier) et la Division Technique de l’INSU (CNRS).

Les principaux instituts vietnamiens impliqués sont : IMER (Institute of Marine Environment and Resources), USTH (University of Sciences and Technology of Hanoi), ISTEE (Institute of Science and Technology for Energy and Environment), et CARE/HCMUT (Center of Asian Research on watEr/Ho Chi Minh City University of Technology).

Classé sous :Océan, Terre Balisé avec :Communiqué de presse

[LIVE TWITCH] SVOM, à l’affût des sursauts gamma

4 juin 2024 by osuadmin

Un milliard de milliards de soleils !
2024 signe le lancement d’une mission emblématique pour la coopération spatiale franco-chinoise : le satellite d’astronomie SVOM (Space Variable Objects Monitor) dont l’objectif est de détecter les sursauts gamma de l’Univers, indicateurs des plus lointaines explosions d’étoiles ou de la fusion d’étoiles à neutrons ou de trous noirs. Imprévisibles et éphémères, la puissance qui s’en dégage est équivalente à plus d’un milliard de milliards de soleils. Observer ces événements, c’est remonter dans le temps jusqu’à des époques proches du Big Bang ! C’est observer l’enfance de l’Univers… Le satellite SVOM sera doté de 4 instruments dont 2 conçus et réalisés par la France : ECLAIRs, une caméra X et gamma, et MXT, un télescope à rayons X de basse énergie. Nous avons fourni, avec les laboratoires de recherche français (du Cnes, des universités et du CEA) des éléments-clés pour cette mission.

Le satellite SVOM sera envoyé dans l’espace à bord d’une fusée chinoise le 24/06/2024. On en parle avec nos experts.

Invités

  • François Gonzalez (chef de projet de la contribution française à SVOM, CNES)
  • Bertrand Cordier (responsable scientifique de la contribution française à SVOM, CEA/IRFU)
  • Carine Amoros (CNRS/IRAP)

Animation

  • Alice Thomas (CNES/La Netscouade)

Classé sous :Univers Balisé avec :Communiqué de presse

Les chercheurs provençaux en première ligne pour étudier les cataclysmes de l’Univers

31 mai 2024 by osuadmin

Après plus de dix ans de développement, SVOM, la mission franco-chinoise va être lancée le 22 juin depuis la base de lancement de Xichang en Chine. Cette étape ouvrira une nouvelle page sur l’étude des phénomènes cataclysmiques de l’Univers.

La mission SVOM – Space-based multi-band astronomical Variable Objects Monitor – est une mission franco-chinoise consacrée à l’étude des plus lointaines explosions d’étoiles, les sursauts gamma. « Ces sources sont des bouffées de rayonnement gamma très brèves et intenses produites par des phénomènes parmi les plus extrêmes de l’Univers. Elles sont associées à la mort des étoiles les plus massives ou à la fusion d’objets stellaires compacts (étoile à neutrons ou trou noir). L’énergie rayonnée en quelques secondes par un sursaut gamma est équivalent à l’énergie produite par le Soleil durant sa durée de vie » explique Damien Dornic, chercheur au Centre de Physique des Particules de Marseille , sur les projets SVOM et COLIBRI. En raison de ces luminosités extrêmes, les sursauts gamma peuvent être utilisés pour sonder les régions de l’Univers les plus hostiles et les plus éloignées du point de vue de l’observation.

Après plus de dix ans d’intense développement, la mission doit être lancée le 22 juin 2024 par la fusée chinoise Longue Marche 2C depuis la base de lancement de Xichang en Chine. SVOM comprend un satellite en orbite basse, placé à une altitude de 650 km. A cette altitude, le satellite effectue le tour de la Terre en un peu plus de 95 minutes, soit 15 révolutions par jour. Des membres de la collaboration se déplaceront en Chine pour suivre le lancement et préparer la phase de commissioning de 3 mois et les premières opérations.

Cette mission est le fruit d’une collaboration fructueuse des deux agences spatiales, chinoise (CNSA ) et française (CNES ) avec des contributions d’une dizaine de laboratoires en France, dont le Laboratoire d’Astrophysique de Marseille , l’Observatoire de Haute Provence et le CPPM1. Cette mission comporte un ensemble d’instruments au sol et dans l’espace qui observent en synergie pour détecter, localiser et caractériser dans de multiples longueurs d’ondes, du gamma jusqu’au visible, en passant par les rayons X, ces explosions cosmiques.

L’instrument ECLAIRs permet de détecter et localiser les sursauts gamma dans le ciel, les GRM , complétant la mesure de la réponse spectrale à haute énergie. Une fois un sursaut détecté, le satellite va aligner, en direction de ce sursaut, les deux instruments à petit champ de vue, MXT et VT , dans la gamme des rayons X et en visible, ayant une meilleure sensibilité. En parallèle, les observations depuis l’espace seront complétées par celles de plusieurs télescopes robotiques au sol : GWAC et C-GFT en Chine, et COLIBRI au Mexique.

Le LAM, l’OHP et le CPPM sont fortement impliqués dans le développement du segment sol de la mission (base de données de la mission, outils de shift, lien avec les télescopes au sol…). Ces laboratoires jouent aussi un rôle clef dans la construction de l’observatoire astronomique COLIBRI, en collaboration avec des scientifiques de l’Université Nationale Autonome du Mexique (UNAM).

COLIBRI accueille un télescope robotique d’une grande rapidité. « Il est capable de pointer vers n’importe quelle direction dans le ciel en une vingtaine de secondes, trouver rapidement la contrepartie des sursauts gamma détectés par ECLAIRs et de la caractériser (courbe de lumière et estimation de la distance). Cette rapidité d’exécution et d’analyse est fondamentale pour le succès de la mission et fait de COLIBRI un télescope aux capacités absolument uniques au sein de l’astronomie mondiale » explique Stéphane Basa, co-responsable scientifique de la mission SVOM et responsable scientifique du projet COLIBRI. Le télescope est en cours d’installation à l’Observatoire National du Mexique à San Pedro Martyr et sera inauguré cet été. Il est équipé de deux instruments : DDRAGO (deux voies simultanées en visible) et CAGIRE (une voie en proche infra-rouge).

Ce projet a été fortement financé et soutenu par la fondation A*Midex d’Aix-Marseille Université à travers le Labex OCEVU puis l’Institut de Physique de l’Univers. Pour assurer une exploitation scientifique partagé et collaborative de COLIBRI, le projet a également mis en place le Laboratoire International Associé (LIA) ERIDANUS soutenu par le CNRS, le CONAHCyT et l’UNAM (démarré en 2019), programme qui a été ensuite renouvelé en 2022 par le CNRS et l’UNAM sous la forme d’un International Research Project (IRP). Depuis 2019, les équipes se réunissent de façon alternée entre la France et le Mexique, ceci afin de renforcer les liens humains, tout en préparant l’exploitation scientifique de COLIBRI.

SVOM et COLIBRI permettront ainsi d’écrire une nouvelle page dans la compréhension du phénomène des sursauts gamma, tout en permettant leur utilisation pour comprendre « l’enfance » de l’Univers. Ils prendront également une place importante dans l’astronomie multi-messager, en complétant parfaitement le télescope à neutrinos KM3NeT ainsi que les détecteurs d’ondes gravitationnelles.

Vue d'artiste du satellite SVOM. Crédit CNES
Vue d’artiste du satellite SVOM. Crédit CNES
Qualifications du modèle de vol de la plateforme SVOM. Crédit : CNES & IAM CAS/SVOM Collaboration
Qualifications du modèle de vol de la plateforme SVOM. Crédit : CNES & IAM CAS/SVOM Collaboration
Une équipe franco-chinoise participant aux dernières qualifications de SVOM. Crédit : CNES & IAM CAS/SVOM Collaboration
Une équipe franco-chinoise participant aux dernières qualifications de SVOM. Crédit : CNES & IAM CAS/SVOM Collaboration

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