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Ressources – OSU Institut Pytheas

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PRESSION HYPERBAR ! fait sa rentrée

10 novembre 2023 by osuadmin

COP 28, good COP ou bad COP ?

« PRESSION HYPERBAR ! » l’afterwork de l’Observatoire des Sciences de l’Univers Institut Pythéas (CNRS, AMU, IRD, INRAE) animé par le média Bleu Tomate reprend ses quartiers à la brasserie Zoumaï à Marseille. Au menu de ce premier rendez-vous : quid de la diplomatie climatique à la veille de la COP28 ?

Mardi 21 novembre à partir de 19h, à la Brasserie Zoumaï – 7 Cours Gouffé, 13006 Marseille

Le climat est de plus en plus fiévreux et une fois de plus, les gouvernements se réunissent à son chevet. Ces réunions annuelles appelées COP ont parfois été de bonnes surprises (Protocole de Kyoto, Accord de Paris) mais le plus souvent, il reste l’amertume de trop petits pas. Et quand le résultat est plutôt positif, les accords sont-ils réellement suivis d’effets ?
La déjà très controversée 28e Conférence des Parties sur le Climat de l’ONU (la COP 28) se déroulera à Dubaï, un pays pétrolier, du 30 novembre au 12 décembre 2023. Alors, que va pouvoir faire cette diplomatie climatique ?
On sait que pour limiter la fièvre climatique, il ne faut plus émettre la moindre tonne de gaz à effet de serre. Or au rythme actuel, le thermomètre marquera +1,5 °C dans moins de 10 ans et +2 °C dans moins de 30 ans.

  • La COP28, sera-t-elle alors une good COP ou bad COP ?
  • Comment la communauté scientifique accompagne-t-elle ces grands rendez-vous diplomatiques internationaux sur le climat ?
  • Comment concrètement peut-on mesurer les émissions de gaz à effet de serre ?
  • Comment la société civile peut-elle avoir un impact sur les décisions des acteurs politiques et économiques ?
  • …

Autant de questions sur lesquelles nous vous invitons à venir échanger !

Intervenants :

Cyrille Cormier : ingénieur et spécialiste des politiques énergétiques et climatiques, il est depuis 12 ans responsable de stratégies de campagne et d’influence pour le compte d’ONG européennes qui œuvrent à créer les conditions pour une transition énergétique compatible avec les accords de Paris.

Joël Guiot : Directeur de Recherche CNRS émérite au Centre Européen de Recherche et d’Enseignement des Géosciences de l’Environnement (CEREGE / OSU Pythéas – CNRS, AMU, IRD, INRAE).

Nicolas Megel : Ingénieur spécialisé en statistiques et en sciences de la donnée, il est le cofondateur de l’entreprise NEXQT qui propose aux collectivités des bilans énergie-climat automatisés sous forme de “bulletins météo” réguliers et cartographiés.

Classé sous :Climat Balisé avec :Communiqué de presse

Confirmation et réfutation de galaxies très lumineuses dans l’Univers primordial

25 octobre 2023 by osuadmin

Au cours des 300 premiers millions d’années de l’histoire cosmique, les premières étoiles1 se sont formées, et elles ont commencé à ensemencer l’Univers en éléments plus lourds que l’hydrogène et l’hélium2. Dans la quête des premières étoiles, des premiers éléments chimiques plus lourds que l’hélium, et des premiers grains de poussières apparus dans l’Univers, une équipe internationale comprenant des chercheurs du CNRS-INSU (voir encadré), confirme la grande abondance de galaxies lumineuses dans l’Univers primordial.  

Le JWST a découvert un grand nombre de candidates galaxies avec des « redsfhits » (z, qui mesure la distance, z) aussi grand que z = 16, estimés à partir de la photométrie multi-bande (redshift photométrique). Mais une mesure spectroscopique est nécessaire pour valider le redshift de ces sources. La mesure des redshifts avec des codes adaptés comme le code CIGALE3 qui peut combiner des données photométriques et spectroscopiques provenant du Hubble Space Telescope et du James Webb Space Telescope a permis de confirmer et parfois d’infirmer les redshifts photométriques. L’équipe de recherche présente des mesures sûres qui confirment les redshifts de deux galaxies à z > 11, mais démontre aussi qu’une autre candidate à z = 16 (250 millions d’années après le Big Bang) erroné se trouve en fait à z = 4,9 (1.2 milliard d’années).

Les analyses de galaxies candidates massives à z = 9 – 12 ont montré que leur abondance est plus élevée que celle prévue par les modèles de formation des galaxies. Cela pourrait indiquer que des hypothèses doivent être modifiés. Parmi ces hypothèses : la possibilité d’atténuation négligeable de la poussière, une efficacité accrue de conversion du gaz en étoiles, ou une distribution différente de la masse des étoiles à ces premières époques. En effet, le fait de détecter trop de galaxies massives implique que les modèles sous-estiment la formation stellaire dans ces galaxies. Cela pourrait indiquer des lacunes dans notre connaissance actuelle de la formation des galaxies, ou bien suggèrerait que les hypothèses dérivées de notre connaissance de l’Univers à plus bas redshift que nous connaissons mieux ne s’appliquerait pas à l’Univers primordial. Elle souligne aussi les risques scientifiques de tirer des conclusions avant de confirmer les décalages spectraux vers le rouge (redshifts) à partir de mesures spectroscopiques.

Source : https://www.insu.cnrs.fr/fr/cnrsinfo/confirmation-et-refutation-de-galaxies-tres-lumineuses-dans-lunivers-primordial

1. Ces premières étoiles sont souvent appelées Population III, ce sont les toutes premières. Le Soleil s’est formé plus récemment. C’est une étoile Population I.
2. Ces éléments chimiques plus lourds que l’hydrogène et l’hélium sont appelés « Métaux » par les astronomes. Ils comprennent le carbone, l’oxygène, l’azote et d’autres éléments chimiques qui forment la Terre et sont nécessaires au développement de la vie.
3. CIGALE (http://cigale.lam.fr) a été développé au Laboratoire d’Astronomie de Marseille, et c’est l’un des codes d’analyse de l’émission des galaxies le plus rapide au monde (voir : Boquien et al. 2019, Astronomy & Astrophysics, 622, 103).

Classé sous :Univers Balisé avec :Communiqué de presse, Résultat scientifique

CNRS : les cinq lauréats 2023 de la médaille de la médiation scientifique

25 octobre 2023 by osuadmin

La médiation scientifique vise à partager les connaissances scientifiques disponibles avec des non-spécialistes, dans les écoles, les lycées ou tout simplement avec les citoyens et citoyennes. Cette transmission des connaissances est une des missions du CNRS ; il était donc naturel de reconnaître et valoriser celles et ceux qui s’engagent dans cette démarche qui nécessite un investissement particulier. Pour Antoine Petit, président-directeur général du CNRS, « parler de science à un large public et expliquer la démarche scientifique doit permettre de donner à chacun les éléments pour se forger sa propre conviction éclairée, sur la base de ce que l’on sait, et de ce que l’on ne sait pas, ou pas encore. ». « La science n’est pas de la croyance mais un ensemble de connaissances acquises par une méthode rigoureuse et collective. Développer la médiation scientifique est aussi une action essentielle pour lutter contre les fake-news et toutes les formes d’obscurantismes. Je tiens à féliciter chaleureusement les lauréates et lauréats 2023 de la médaille de la médiation scientifique du CNRS. Ils sont les visages d’une science ouverte, intégrée et partagée que le CNRS et ses partenaires construisent au quotidien. »

Parmi les lauréats :

  • Wiebke Drenckhan : l’art comme support à la médiation scientifique
  • MATH en JEANS et la découverte de la recherche en mathématiques
  • Le climat et ses enjeux à la portée de toutes et tous
  • Criminocorpus : un musée virtuel et une revue sur l’histoire de la justice
  • David Louapre : quand la science étonne sur YouTube

Le climat et ses enjeux à la portée de toutes et tous

« En cette période où tout se vaut sur les réseaux sociaux, nous avons voulu redonner de la visibilité aux chercheurs, à leurs travaux et à leur parole », souligne Anne Brès, responsable de communication à l’Institut national des sciences de l’Univers du CNRS. Dans la bataille de l’information sur le climat, l’objectif est de faire remonter les pages scientifiques, longtemps diluées dans les résultats des moteurs de recherche par les trop nombreux contenus climatosceptiques. Pour cela, un collectif, coordonné par Anne Brès, a rassemblé le blogueur Bon Pote, ainsi qu’une vingtaine de climatologues pour rédiger des articles répondant à diverses fake news climatiques. Ces textes étaient également transformés, avec l’aide de l’illustratrice Claire Marc, en schémas illustrés. Ces sketchnotes ont depuis été publiés dans le livre « Tout savoir (ou presque) sur le climat », un des best-sellers de CNRS Éditions.

Scientifique de parcours et vulgarisatrice de métier, Claire Marc aime par dessus tout traduire des messages et concepts scientifiques pour le grand public. Son agence de communication scientifique Méduse Communication aide les chercheurs et autres acteurs de la science à vulgariser leurs travaux sous des formes ludiques pour tous types de publics ! Claire Marc est issue du Master Médiation en Environnement et Communication Scientifique d’Aix-Marseille Université promo 2016 – 2018.

 

Source : https://www.cnrs.fr/fr/presse/cnrs-les-cinq-laureats-2023-de-la-medaille-de-la-mediation-scientifique

Classé sous :Climat Balisé avec :Communiqué de presse

Repousser les limites !

24 octobre 2023 by osuadmin

Pour repousser les limites de la connaissance, nos chercheurs se dépassent !

À travers l’exposition, « Chercher l’inconnu, découvrir l’extrême » l’Institut Pythéas vous invite à découvrir des terrains de recherche exceptionnels auxquels sont confrontés certains de ses scientifiques.
Ces environnements extrêmes nécessitent une préparation physique relativement intense… Alors, quels sont les contraintes et les enjeux de telles expéditions ?
Capsules audio imagées, photos et textes vous emmènent sur les traces de ces chercheuses et chercheurs « de l’extrême ».

Découvrez les terrains de recherche exceptionnels auxquels sont confrontés certains des scientifiques de l’OSU Pythéas.
Expédition Sargasses. Sandrine Ruitton et Thierry Thibault sont enseignant-chercheurs AMU et exercent leurs activités de recherche au MIO.
Vincent Jomelli. Il est directeur de recherche CNRS au CEREGE.
Yannick Garcin. Il est chargé de recherche IRD au CEREGE.
Pierre Chevaldonné. Il est chercheur en biologie et écologie marine au CNRS.
Lars-Eric Heimbürger. Il est chargé de recherche CNRS au MIO.
Guilaine Lagache. Elle est enseignante-chercheuse AMU au LAM.
Jérôme Gattacceca. Il est directeur de recherche CNRS au CEREGE.

Écoutez les podcasts romancés, issus de leurs interviews :

01. Expédition Sargasses. Sandrine Ruitton et Thierry Thibault sont enseignant-chercheurs AMU et exercent leurs activités de recherche au MIO.
02. Vincent Jomelli. Il est directeur de recherche CNRS au CEREGE.
03. Yannick Garcin. Il est chargé de recherche IRD au CEREGE.
04. Pierre Chevaldonné. Il est chercheur en biologie et écologie marine au CNRS.
05. Lars-Eric Heimbürger. Il est chargé de recherche CNRS au MIO.
06. Guilaine Lagache. Elle est enseignante-chercheuse AMU au LAM.
07. Jérôme Gattacceca. Il est directeur de recherche CNRS au CEREGE.

Classé sous :Terre Balisé avec :Communiqué de presse, Exposition

Une éruption solaire extrême il y a 14300 ans

23 octobre 2023 by osuadmin

Les cosmonucléides tels que le carbone-14 (14C) et le béryllium-10 (10Be) sont produits dans la haute atmosphère par le rayonnement cosmique galactique qui est modulé par l’activité du Soleil. Notre étoile peut aussi émettre des particules suffisamment énergétiques pour produire ces isotopes lors d’éruptions solaires extrêmes. Les cosmonucléides sont les meilleurs indicateurs pour reconstituer l’activité solaire avant la période des mesures instrumentales.

Menée par des équipes du CNRS (voir encadré), une nouvelle étude a permis de bâtir des séries dendrochronologiques1 couvrant les 15000 dernières années à partir d’arbres subfossiles découverts le long des rivières de la région de Gap dans les Alpes françaises. En parallèle ils ont mesuré la teneur en 14C des cernes annuels de croissance de ces arbres grâce au spectromètre AixMICADAS2.

Les équipes de recherche ont alors découvert un pic de 14C remarquable qui a eu lieu au sein d’une seule année, entre 14300 et 14299 ans avant le présent (i.e. 1950). En comparant ces résultats avec les enregistrements de 10Be dans les glaces du Groenland grâce à la modélisation du cycle du carbone et à une analyse statistique sophistiquée, les chercheurs ont pu attribuer cette anomalie à une éruption solaire d’une ampleur exceptionnelle, la plus importante jamais enregistrée.

Un tel évènement serait aujourd’hui catastrophique pour notre société moderne, causant d’énormes dégâts aux réseaux électriques et de télécommunication, ainsi qu’aux systèmes de satellites.

 

Source : https://www.insu.cnrs.fr/fr/cnrsinfo/une-eruption-solaire-extreme-il-y-14300-ans

1. Relatif à la dendrochronologie, à la datation par l'étude des anneaux de croissance des troncs d'arbres.
2. Spectromètre de masse par accélérateur innovant dédié à l’analyse du carbone 14. Lauréat en 2011 du premier appel à projets « Equipements d’excellence » (EQUIPEX) du programme « Investissements d’Avenir ». Il est situé au Technopôle de l’environnement Arbois-Méditerranée à Aix-en-Provence.

Classé sous :Surface continentale, Univers Balisé avec :Brève, Résultat scientifique

Magali Deleuil, lauréate du prix de l’Académie des sciences « CNES Astrophysique & Sciences spatiales »

24 octobre 2023 by osuadmin

Spécialiste des exoplanètes, Magali Deleuil s’attache à déterminer leurs propriétés grâce à la détection et la modélisation. Elle a assuré la coordination scientifique du programme exoplanètes de la mission spatiale CoRoT avec, entre autres, la découverte de la première super-Terre rocheuse. Depuis le début des années 2010, elle travaille sur les missions exoplanètes Européennes CHEOPS et PLATO dont elle coordonne la participation française.

L’Académie lui a rendu hommage à l’occasion de la cérémonie de remise des prix sous la Coupole de l’Institut de France, le 17 octobre 2023.

Source : https://www.academie-sciences.fr/fr/

Classé sous :Univers Balisé avec :Distinction

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