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Ressources – OSU Institut Pytheas

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Univers

Suivre la croissance complexe des structures cosmiques avec Euclid

20 octobre 2025 by osuadmin

Dans ce nouveau travail, nous montrons que les statistiques d’ordre supérieur — des outils plus avancés capables d’identifier des motifs, des pics et des textures subtiles dans la toile cosmique — permettent de révéler une bien plus grande partie de l’information contenue dans
la structure complexe de l’Univers à petite échelle.

À l’aide de simulations réalistes de type Euclid, nous testons cinq de ces méthodes : la fonction de distribution de probabilité à un point, la norme l₁, le comptage de pics, les fonctionnelles de Minkowski, et les nombres de Betti. Chacune d’elles surpasse l’approche traditionnelle à deux points, améliorant les contraintes sur le paramètre de l’équation d’état de l’énergie noire, responsable de l’accélération de l’expansion de l’Univers, d’un facteur allant jusqu’à 2 à 3.

Cela signifie que ces sondes d’ordre supérieur ne se contentent pas de retrouver toute l’information accessible par les méthodes standard : elles en extraient aussi de nouvelles, liées à la croissance non linéaire des structures cosmiques. En d’autres termes, elles offrent une
vision plus fine et plus complète de l’Univers.

Nous montrons également que ces résultats demeurent robustes dans des conditions réalistes, notamment lorsqu’on prend en compte les masques observationnels utilisés dans la chaîne d’analyse d’Euclid. Cela fait des statistiques d’ordre supérieur un outil à la fois prometteur et pratique pour les futures analyses des données Euclid.

Classé sous :Univers Balisé avec :Brève

Océans martiens : les plaines du Nord de Mars livrent de nouveaux indices

10 octobre 2025 by osuadmin

Le passé de la planète Mars continue de captiver la communauté scientifique. Une question, en particulier, reste en suspens : des océans ont-ils un jour recouvert la surface de la planète rouge ? Récemment, une équipe de recherche, associant de nombreux laboratoires français dont le Laboratoire de géologie de Lyon : Terre, planètes, environnement (LGL-TPE – Université Claude Bernard Lyon 1 / ENS de Lyon / CNRS) et le Laboratoire d’astrophysique de Marseille (LAM – Aix Marseille Université / CNRS / CNES), a scruté les Plaines du Nord de Mars grâce aux diverses sondes de la NASA et de l’ESA en orbite autour de Mars. Elle livre de nouveaux résultats, publiés dans la revue Nature Communications Earth & Environment.

Classé sous :Univers Balisé avec :Brève

Une approche concertée pour l’accès durable aux infrastructures de recherche européennes

8 octobre 2025 by osuadmin

Le rapport stratégique préparé conjointement par ATMO-ACCESS – NEP et ORP est le résultat d’un processus de consultation et de collaboration approfondi entre les trois projets pilotes financés dans le cadre de l’appel à projets H2020 INFRAIA-03-2020 – Pilot for a new model of Integrating Activities, lancés en 2021 et prévus pour se terminer en 2025. Avec des budgets respectifs d’environ 15 millions d’euros, ATMO-ACCESS, dédié aux sciences de l’atmosphère, et ORP, centré sur l’astronomie et l’astrophysique, sont des projets d’envergure tous deux coordonnés par le CNRS, soulignant son rôle de leader dans l’élaboration des infrastructures de recherche européennes. Le rapport détaille sept recommandations sur les modèles, les mécanismes et les meilleures pratiques les plus appropriés pour établir des conditions optimales pour la mise en œuvre de programmes d’accès pour les IR distribuées.

Ce rapport stratégique a été présenté par les trois projets pilotes aux représentants de la Commission Européenne (DG Recherche et Innovation) et de l’Agence exécutive pour la recherche, en présence notamment des représentants du CNRS, le 10 septembre 2025 à Bruxelles. La présentation a été suivie d’échanges particulièrement riches sur les défis rencontrés et les recommandations émergentes des trois projets pilotes; des contributions précieuses aux réflexions sur les futurs appels dans le cadre du prochain programme-cadre Horizon Europe.

Classé sous :Atmosphère, Océan, Univers Balisé avec :Brève

Fête de la science 2025

2 octobre 2025 by osuadmin

Au programme Marseillais…

  • Vendredi 3 octobre 2025 – Grand public – IMVT – Institut méditerranéen de la ville et des territoires, Marseille – de 18h à 23h. Retrouvez le Laboratoire Population Environnement et Développement (LPED) et l’Institut Méditerranéen de Biodiversité et d’Ecologie (IMBE) lors de l’évènement Recherches dans la ville, un événement insolite organisé par Aix Marseille Université pour découvrir la recherche avec celles et ceux qui la font. 
  • Vendredi 3 octobre 2025 – Grand public – Observatoire historique de Marseille, entrée : allée Jean-Louis Pons, 13004 – de 20h30 à 22h. Conférence Les trous noirs, par Jean-Pierre Luminet, directeur de recherche émérite CNRS au Laboratoire d’Astrophysique de Marseille (LAM), spécialiste des trous noirs et de la cosmologie, auteur et conférencier. Séance de dédicace avec la librairie Quartier Libre.
  • Lundi 6 octobre 2025 – Grand public – Mucem – de 19h à 21h. Conférence Ces nouveaux mondes du cosmos qui pourraient abriter la vie, par Didier Queloz, Astrophysicien – Prix Nobel de Physique 2019, Professeur de physique à l’Université de Cambridge et à l’Ecole Polytechnique Fédérale de Zurich. Une conférence proposée par l’Observatoire de Haute-Provence (OHP) dans le cadre de l’exposition Lire le ciel.
  • Mardi 7 octobre 2025 – Scolaire et étudiants – Bibliothèque Universitaire de Saint-Jérôme, 13013 Marseille – de 10h à 16h. Fête de la science à la BU Saint-Jérôme : Le LAM présentera tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur l’Univers : les planètes, exoplanètes, comètes, mais aussi les étoiles, galaxies, la cosmologie et la mission spatiale Euclid ! Deux séances scolaires : de 10 à 12h puis de 14 à 16h; et, pour tous : création d’un modèle de comète à 13h.
  • Mercredi 8 octobre 2025 – Grand public – Laboratoire d’Astrophysique de Marseille (LAM) – de 14h à 15h30. Les visites insolites du CNRS : Comment percer les mystères de l’univers ?
  • Vendredi 10 octobre 2025 – Scolaires – Samedi 11 et dimanche 12 octobre 2025 – Grand public – village des sciences de Marseille espace Puget – de 9h à 17h. Le LAM propose des animations pour découvrir l’astronomie, du système solaire à la cosmologie.
  • Vendredi 10 octobre 2025 – Scolaires – Samedi 11 et dimanche 12 octobre 2025 – Grand public – village des sciences de Marseille place Bargemon – de 10h à 18h. Atelier Nous v’EAU : tous les chemins mènent à l’océan. De la montagne à la mer… Une animation à tiroirs pour tout savoir sur la gestion multi-usage de la ressource en eau et les enjeux de la continuité écologique à l’échelle d’un bassin versant.
  • Vendredi 10 octobre 2025 – Scolaires – Samedi 11 et dimanche 12 octobre 2025 – Grand public – village des sciences de Marseille place Bargemon – de 10h à 18h. Formation à l’observation de la flore via les sciences participatives. Découvrez une nouvelle manière d’observer la nature tout en aidant les scientifiques à lutter contre le réchauffement climatique avec les chercheurs de l’IMBE !
  • Vendredi 10 octobre 2025 – Grand public – Observatoire historique de Marseille, entrée : allée Jean-Louis Pons, 13004 – de 20h30 à 22h. Conférence Filaments interstellaires et Intelligence Artificielle : vers une Intelligence Augmentée, par Annie Zavagno, professeure à Aix Marseille Université (AMU), spécialiste de la formation des étoiles au LAM.
  • Samedi 11 et dimanche 12 octobre 2025 – Grand public – village des sciences de Marseille place Bargemon – de 10h à 18h. Venez découvrir notre module issu de l’exposition Coup de pousse ! et des jeux pédagogiques, sur le thème de La nature en ville en présence de Valérie Berthaudière-Montès, Maître de Conférences en Ecologie végétale AMU au LPED. Exposition, atelier, jeux vidéo et jeu de plateau sur les trames vertes et bleues vous attendent pour poser un nouveau regard sur la biodiversité urbaine.
  • Mercredi 15 octobre 2025 – Grand public et centres aérés – théatre Sainte Marguerite, 13009 Marseille – de 10h à 16h30. Journée sciences organisée par la Mairie 9/10 de Marseille auquel le LAM participe.

 

Et au-delà…

  • Vendredi 3 octobre 2025 – Scolaires – Saint-Michel l’Observatoire – de 9h à 16h. Le village des sciences accueille les élèves autour de 4 thématiques : l’intelligence humaine, l’intelligence du vivant, l’intelligence collective et l’intelligence artificielle.
  • Vendredi 3 et samedi 4 octobre 2025 – Grand public – Médiathèque de Cadolive – Vend. : de 15h à 18h / Sam. : de 9h à 12h. Participez à un atelier sur les microfossiles pour reconstituer l’histoire du climat sur notre planète avec le Centre de Recherche et d’Enseignement des Géosciences de l’Environnement (CEREGE).
  • Samedi 4 octobre 2025 – Grand public – Notre Dame du Château, Allauch – de 19h30 à 23h. Observation du ciel nocturne avec le LAM.
  • Samedi 4 octobre 2025 – Grand public – Médiathèque de La Roque d’Anthéron – de 14h à 18h. Explorez les sciences autrement à travers 4 ateliers et 1 conférence avec le CEREGE.
  • Samedi 4 octobre 2025 – Grand public – Saint-Michel l’Observatoire – de 10h à 18h. Le Centre d’astronomie vous accueille pour vivre le plaisir de la découverte scientifique. L’OHP est partenaire de cet évènement.
  • Samedi 4 octobre 2025 – Grand public – Espace Bonne Fontaine, Forcalquier – de 20h30 à 22h. Conférence 2025 – Extraordinaires planètes extrasolaires, par Guillaume Hébrard – Directeur de recherche au CNRS, à l’Institut d’astrophysique de Paris et à l’OHP – OSU Pythéas. Réservations et inscriptions !
  • Mercredi 8 octobre 2025 – Grand public – Espace Bonne Fontaine, Forcalquier – de 18h à 20h. Conférence 2025 D’autres Mondes dans le cosmos ? par Michel Mayor, Prix Nobel de Physique 2019 – Professeur à l’Université de Genève, Suisse. Réservations et inscriptions !
  • Mercredi 8 octobre 2025 – Grand public – Bibliothèque Arthur Rimbaud, 75004 Paris – 19h. Conférence A la découverte des trous noirs et des corps célestes insolites, par Jean-Pierre Luminet, directeur de recherche émérite CNRS au LAM, spécialiste des trous noirs et de la cosmologie, auteur et conférencier.
  • Jeudi 9 octobre 2025 – Scolaires – Technopôle de l’Arbois-Méditerranée (Aix-en-Provence). Une journée organisée par le CEREGE pour plus de 500 élèves primaires attendus sur une quarantaine d’ateliers et 2 conférences organisés par le laboratoire.
  • Vendredi 10 octobre 2025 – Scolaires – Musée de la Paléontologie (Marseille). Participez à un atelier/visite autour des fossiles conservés au musée.

Classé sous :Biodiversité, Climat, Écologie, Environnement, Interactions Homme-Milieu, Univers Balisé avec :Communiqué de presse

Caractérisation complète de l’astéroïde 2023 CX1 : un cas d’étude inédit pour la défense planétaire

18 septembre 2025 by osuadmin

Découvert le 12 février 2023, à peine sept heures avant son entrée dans l’atmosphère, 2023 CX1 a percuté la Terre au-dessus de la Normandie le 13 février à 02:59 UTC. Presque sphérique, il mesurait un peu moins d’un mètre de diamètre pour une masse d’environ 650 kg. Il s’est désintégré brutalement à 28 km d’altitude, libérant 98 % de son énergie cinétique en une fraction de seconde — un comportement exceptionnel pour un objet de cette taille. Cette explosion a dispersé plus d’une centaine de fragments en Normandie. La météorite, baptisée Saint-Pierre-le-Viger (SPLV), est la seule chondrite ordinaire jamais étudiée à la fois depuis l’espace et en laboratoire. 

Une mobilisation scientifique sans précédent 

Plus de 100 chercheurs et citoyens répartis en Europe, Amérique, Afrique et Australie ont uni leurs efforts pour étudier chaque aspect de cette chute exceptionnelle : découverte télescopique, suivi orbital, observations dans l’atmosphère en optique, infrason et par ondes sismiques, et analyses géochimiques en laboratoire. Cette alliance unique entre science professionnelle et citoyenne démontre la puissance de la coopération internationale face à des événements célestes rares et d’une importance cruciale.

Résultats scientifiques clés

  • Une prédiction record – 2023 CX1 n’est que le 7ᵉ astéroïde détecté avant impact. Grâce à une stratégie d’observation inédite, l’ESA et la NASA ont calculé l’heure et le lieu de la chute avec une précision jamais atteinte.
  • Une première mondiale – Le réseau FRIPON/Vigie-Ciel a mobilisé le public pour filmer la rentrée atmosphérique de l’astéroïde, aboutissant à la première observation “ciblée” d’un météore de l’histoire. Il a aussi permis de retrouver rapidement les météorites au sol grâce à une mobilisation citoyenne exceptionnelle.
  • Un astéroïde “ordinaire”… mais unique – C’est le seul impacteur imminent identifié comme une chondrite ordinaire de type L, la catégorie la plus représentée parmi les météorites terrestres.
  • Une orbite d’une précision inégalée – L’écart entre la trajectoire prédite et observée dans l’atmosphère était inférieur à 20 m, faisant de SPLV la météorite dont l’orbite est la plus précisément mesurée à ce jour.
  • Une origine retracée – Les analyses montrent que 2023 CX1 s’est formé dans la ceinture principale interne – entre Mars et Jupiter – et s’est détaché de son corps parent il y a environ 30 millions d’années.  Son orbite est cohérente avec une origine dans la famille de l’astéroïde Massalia.
  • Une fragmentation atypique – Résistant à des pressions dynamiques élevées (4 MPa), l’astéroïde s’est désintégré brutalement autour de 28 km d’altitude en produisant une onde de choc sphérique et concentrée.
  • Un risque accru – Les simulations hydrodynamiques montrent que ce type de fragmentation pourrait causer au sol des dégâts supérieurs à ceux d’une désintégration progressive, comme celle de l’événement de Chelyabinsk en 2013. 

Enjeux pour la défense planétaire 

Cette étude souligne l’importance d’intégrer la caractérisation spectrale, structurelle et dynamique des objets détectés avant impact dans les protocoles de défense planétaire. Les astéroïdes associés aux chondrites de type L, issus de la ceinture principale interne, pourraient nécessiter des mesures d’alerte renforcées et des plans d’évacuation adaptés en cas de menace. 

Citation

« Nous avons confirmé l’existence d’une nouvelle population d’astéroïdes liés aux chondrites de type L, capables de se fragmenter brutalement dans l’atmosphère et de libérer presque toute leur énergie d’un seul coup. Ce type d’astéroïde doit être pris en compte dans les stratégies de défense planétaire, car il représente un risque accru pour les zones habitées », explique Auriane Egal, astrophysicienne au Planétarium de Montréal – Espace pour la Vie et membre du réseau FRIPON/Vigie-Ciel. 

Classé sous :Univers Balisé avec :Communiqué de presse

Identification de la zone de formation des chondrites carbonées

8 septembre 2025 by osuadmin

Principaux résultats

  • Les météorites CM et CI proviennent de régions différentes du Système solaire externe.
  • Elles ont été implantées dans la ceinture d’astéroïdes à des moments distincts : lors de la formation de Saturne (CM) et plus tard lors de la formation et migration d’Uranus et de Neptune (CI).
  • Cette différence de chronologie explique leurs compositions et distributions contrastées.
    Les astéroïdes de type CM ont probablement apporté une grande partie de l’eau terrestre.

Des astronomes ont mis en évidence de nouveaux indices sur le berceau des matériaux les plus anciens et les plus primitifs du Système solaire. Une étude publiée dans Nature Astronomy par Sarah E. Anderson et Pierre Vernazza (Aix-Marseille Université, CNRS, CNES, Institut Origines) et Miroslav Brož (Université Charles, Prague) montre que deux grandes familles de météorites carbonées — les chondrites CM et CI — proviennent d’astéroïdes implantés dans la ceinture principale à des époques différentes et depuis des régions distinctes du Système solaire.
 
Les résultats révèlent que les astéroïdes de type CM, riches en chondres (petits cristaux sphériques formés par un refroidissement rapide), sont issus de la région de formation de Saturne (~10 unités astronomiques du Soleil). Ils ont été implantés précocement dans la ceinture d’astéroïdes, environ 3 à 4 millions d’années après la naissance du Soleil, freinés et capturés grâce au gaz abondant du disque protoplanétaire.
 
À l’inverse, les astéroïdes de type CI, pauvres en chondres et chimiquement plus proches des comètes, sont arrivés plus tard — 4 à 5 millions d’années après la naissance du Soleil. Formés au-delà d’Uranus et de Neptune (>20 unités astronomiques), ils ont été projetés vers l’intérieur par la migration de ces planètes géantes, à une époque où le gaz du disque s’était déjà largement dissipé.
 
« Le processus d’implantation est complexe », explique Sarah Anderson, autrice principale de l’étude. « Le gaz du jeune Système solaire agissait comme une atmosphère, ralentissant certains corps et leur permettant d’être piégés dans la ceinture d’astéroïdes. D’autres n’ont pu arriver qu’après la dissipation du gaz, sous l’effet de la migration des planètes géantes. C’est ainsi que nous expliquons les distributions très différentes des météorites CM et CI observées aujourd’hui. »
 
Cette découverte offre une nouvelle manière de lire la ceinture d’astéroïdes : comme une « machine à remonter le temps » conservant des instantanés de l’évolution du Système solaire.
« Grâce aux compositions et aux localisations de ces météorites, nous pouvons désormais reconstituer la structure du disque protoplanétaire originel », ajoute Pierre Vernazza, co-auteur de l’étude. « Nos résultats suggèrent également que les astéroïdes de type CM ont été une source majeure de l’eau terrestre. »
 
L’apport d’eau est une question clé et interdisciplinaire, car il conditionne l’émergence et l’évolution de la vie. L’océan terrestre ne représente qu’environ 0,02 % de la masse de notre planète, ce qui implique que la Terre s’est formée à partir de matériaux majoritairement secs et a ensuite reçu un apport d’eau exogène. Cette étude renforce l’hypothèse selon laquelle les astéroïdes carbonés ont joué ce rôle de manière particulièrement efficace.

Séquence d'événements ayant conduit les différents petits corps dans la ceinture d'astéroïdes. Tout d'abord, la formation de Saturne disperse les CM vers l'intérieur ; puis, des millions d'années plus tard, la formation des géantes glacées disperse les CI plus éloignés dans la ceinture d'astéroïdes.
Séquence d’événements ayant conduit les différents petits corps dans la ceinture d’astéroïdes. Tout d’abord, la formation de Saturne disperse les CM vers l’intérieur ; puis, des millions d’années plus tard, la formation des géantes glacées disperse les CI plus éloignés dans la ceinture d’astéroïdes.

Classé sous :Univers Balisé avec :Communiqué de presse

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