• Passer à la navigation principale
  • Passer au contenu principal
  • Passer à la barre latérale principale
  • Annuaire
  • Webmail
  • Intranet
  • Portail numérique
  • Service pour le Respect et l’Égalité
Ressources – OSU Institut Pytheas

Ressources - OSU Institut Pytheas

Ressources

  • Actualité
  • Agenda
  • Ressources
  • Emplois / stages
  • Retour

Univers

Des mesures interférométriques inédites pour comprendre la formation de β Pictoris b

9 décembre 2025 by osuadmin

La spectroscopie des exoplanètes permet de déterminer la composition chimique et la structure thermique de leurs atmosphères. Ce domaine connaît un essor remarquable avec l’arrivée du télescope spatial James Webb (JWST). Mais les observations depuis le sol conservent un atout majeur : grâce à l’interférométrie, il est possible de combiner la lumière de plusieurs télescopes pour obtenir l’équivalent d’un télescope géant capable de détecter et de caractériser des planètes proches de leur étoile et inaccessibles pour le JWST.

Observer depuis le sol : la puissance de l’interférométrie

Parmi ces cibles, Pictoris b se distingue : cette géante gazeuse fait partie d’un système très jeune (180 fois plus jeune que notre Système solaire). Elle orbite à l’intérieur d’un ensemble de ceintures de glace et de poussière, analogues à la ceinture de Kuiper. Étudier cette planète permet de mieux comprendre les conditions de formation et d’évolution dynamique du Système solaire.

Sa proximité avec son étoile (neuf fois la distance Terre-Soleil) rend toutefois sa caractérisation difficile par le JWST. Deux nouvelles études démontrent que l’interférométrie s’affranchit de cette limitation. Elles présentent des spectres de Pictoris b dans l’infrarouge d’une précision inégalée qui mettent en évidence le contenu moléculaire de l’atmosphère de cette exoplanète et mesurent son rapport d’abondance carbone/oxygène. Ce dernier permet de retracer l’historique de formation de cette planète.

Illustration générée via PlanetMaker/Gimp/Molview.
Illustration générée via PlanetMaker/Gimp/Molview. Couleur de la planète issue de https://iopscience.iop.org/article/10.3847/2515-5172/adec7d). Spectre issu de Houllé et al. 2025 (https://arxiv.org/pdf/2508.18366).

Deux instruments du VLT pour sonder l’atmosphère de la planète

Ces travaux reposent sur les instruments de seconde génération GRAVITY et MATISSE, installés au Very Large Telescope (VLT, Chili). Ces deux instruments interférométriques, développés par des consortiums internationaux incluant plusieurs laboratoires du CNRS (voir encadré) ont permis d’atteindre une haute résolution spectrale et une extension à l’infrarouge moyen. Cette approche rend possible une analyse fine de raies et de bandes d’absorption moléculaires ainsi qu’une modélisation détaillée des abondances de molécules atmosphériques et de les comparer à celles prédites par les modèles de formation planétaire.

Des perspectives inédites pour l’étude des exoplanètes

Les résultats confirment que le rapport carbone/oxygène de Pictoris b contraint fortement son scénario de formation parmi différentes hypothèses. 

On peut distinguer l’effondrement gravitationnel où une planète se forme par fragmentation et effondrement de son disque primordial ou bien encore l’accrétion sur noyau planétaire, où une planète se forme en agrégeant des morceaux de roche et de glace de plus en plus gros, puis du gaz issu de son disque primordial.

Ces observations constituent une première démonstration des capacités de MATISSE à observer des exoplanètes. Prochainement, le quatrième catalogue de la mission européenne Gaia attendu fin 2026 devrait révéler un éventail de jeunes exoplanètes géantes qui pourront être caractérisées par interférométrie au VLT.

Classé sous :Univers Balisé avec :Résultat scientifique

Prix départemental pour la recherche en Provence 2025

4 décembre 2025 by osuadmin

Présentation des 3 catégories de Prix

Grand Prix : Ce Prix est destiné à récompenser un chercheur en activité et/ou une équipe de recherche qui se sont distingués par des résultats ou des réalisations remarquables et dont le Jury souhaite saluer la qualité et/ou l’originalité des travaux, ainsi que sa notoriété auprès des médias et du grand public.

Prix jeune chercheur : Ce Prix s’adresse à une personne en activité âgée de moins de 40 ans au moment du dépôt du dossier de candidature, et récompense sa capacité à ouvrir de nouvelles perspectives de recherche au sein de sa discipline, l’originalité de ses travaux et les retombées scientifiques de ses découvertes aussi bien que son apport sociétal.

Prix spécial : Ce Prix est destiné à mettre en lumière une belle découverte effectuée par un chercheur en activité et/ou une équipe de recherche qui se sont distingués récemment par un résultat ou une réalisation remarquable dans la thématique définie chaque année par le Département. Le Jury prendra en considération le caractère sociétal ainsi que le côté innovant et créatif du dossier de candidature.

 

  • Guillaume MARCHESSAUX, Docteur, Chargé de Recherche en Biologie et écologie des populations au MIO – AMU / CNRS / IRD / Université de Toulon, a reçu le Prix Spécial pour ses travaux sur l’invasion du crabe bleu en Méditerranée.

Résumé de ses travaux de recherche

L’invasion du crabe bleu américain Callinectes sapidus représente aujourd’hui l’une des menaces écologiques majeures en Méditerranée. Depuis 2024, cette espèce exotique, opportuniste et agressive, a colonisé de manière spectaculaire les lagunes et les côtes de la région Provence-Alpes-Côte d’Azur (PACA), provoquant la disparition locale de plusieurs espèces méditerranéennes emblématiques, tout en causant une crise économique sévère pour la pêche artisanale lagunaire.

Cette situation a conduit à une mobilisation scientifique et institutionnelle rapide afin de comprendre les dynamiques d’expansion de ce crabe et de mettre en œuvre des mesures de gestion efficaces. Des suivis réguliers des populations ont été mis en place pour analyser la structure et le fonctionnement des colonies de crabes bleus dans chaque site envahi. Ces données permettent d’identifier les points de régulation prioritaires.

En parallèle, sachant que cette espèce est largement consommée et appréciée dans son aire d’origine (notamment en Amérique du Nord), une filière de valorisation alimentaire est en cours de structuration en région PACA auprès de laquelle le candidat est consultant pour partager son expérience tunisienne. Celle-ci vise à transformer ce problème écologique en ressource économique, en valorisant les captures issues des pêches de régulation et en soutenant les pêcheurs locaux.

Fort d’une expérience de plus de quatre années sur l’étude des crabes bleus en Méditerranée, notamment en Tunisie où des réponses concrètes ont été mises en œuvre, le candidat apporte aujourd’hui son expertise en tant que Chargé de Recherche à l’IRD pour accompagner la réponse française à cette invasion. Son approche repose sur deux axes complémentaires : (i) des recherches scientifiques pour mieux comprendre la biologie, l’écologie et la dynamique des populations envahissantes ; (ii) des actions de sensibilisation du public, telles que la campagne « Sauve ta mer, mange un crabe bleu ».

Cette campagne associe événements artistiques, ateliers scientifiques et dégustations pour sensibiliser aux enjeux écologiques tout en valorisant cette ressource émergente. Inspirée du livre « De l’invasion à l’assiette : les recettes à base de crabes bleus », coécrit avec des partenaires tunisiens, elle contribue à une approche innovante, interdisciplinaire et durable de gestion et la régulation des invasions biologiques en Méditerranée

  • Parmi les nominés, nous avons pu compter trois autres chercheurs de l’OSU :
    • Olivier BLIGHT, Docteur, Maître de conférences à l’IMBE – AU / AMU / CNRS / IRD pour ses travaux sur les fourmis exotiques envahissantes,

    • Pierre-André GARAMBOIS, Docteur, Chargé de Recherche au laboratoire RECOVER – INRAE pour ses travaux concernant les modèles hydrologiques-hydrauliques hybrides,

    • Sonia CHAABANE, Docteure, Chargée de recherche au CEREGE – AMU / CNRS / IRD / INRAE / Collège de France, pour ses travaux sur l’impact des changements climatiques sur la biodiversité marine.

« Le Département des Bouches-du-Rhône soutient la recherche, dans toutes les disciplines, qu’elle soit fondamentale ou appliquée, aussi bien en sciences sociales et humaines qu’en sciences exactes. Soucieux de la constitution de pôles scientifiques innovants au service du développement du territoire et du bien-être des Provençaux, le Département soutient des projets d’aménagement structurants pour l’attractivité et le rayonnement du territoire » souligne le conseil départemental dans un communiqué.

Classé sous :Biodiversité, Climat, Écologie, Environnement, Océan, Terre, Univers Balisé avec :Distinction

L’ESO signe l’accord pour l’instrument MOSAIC sur l’ELT

1 décembre 2025 by osuadmin

L’accord a été signé par Xavier Barcons, directeur général de l’ESO, et Alain Schuhl, directeur général adjoint chargé de la science au Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS), l’institution qui dirige le consortium MOSAIC. Étaient également présents Roser Pello, responsable scientifique du projet MOSAIC au Laboratoire d’Astrophysique de Marseille, et Mathieu Puech, co-responsable scientifique à l’Observatoire de Paris, ainsi que d’autres représentants de l’ESO, du CNRS et du consortium MOSAIC. La signature a eu lieu au siège de l’ESO à Garching, en Allemagne.

MOSAIC est un puissant spectrographe, un instrument qui décompose la lumière en ses différentes longueurs d’onde afin que les astronomes puissent déterminer les propriétés importantes des objets astronomiques, telles que leur composition chimique ou leur température. L’instrument utilisera le champ de vision le plus large possible fourni par l’ELT, fonctionnant à la fois dans le visible et le proche infrarouge, et sera capable d’analyser la lumière de plus de deux cents objets simultanément.

MOSAIC réalisera le premier inventaire exhaustif de la matière dans l’Univers primitif, levant ainsi le voile sur la répartition de la matière au sein des galaxies et entre elles, et faisant considérablement progresser notre compréhension de la formation et de l’évolution des galaxies actuelles. Il permettra également d’observer de près le gaz qui entoure les galaxies et d’identifier les éléments chimiques qu’il contient.

L’ELT de l’ESO est actuellement en construction dans le désert d’Atacama, au Chili, un endroit unique sur Terre pour observer le ciel. Lorsqu’il verra sa première lumière technique plus tard dans la décennie, l’ELT révolutionnera notre connaissance de l’Univers et nous amènera à repenser notre place dans le cosmos.

Classé sous :Univers Balisé avec :Communiqué de presse

Première observation de la stratification moléculaire dans le disque « Flying Saucer »

25 novembre 2025 by osuadmin

Situé dans la constellation d’Ophiuchus à 120 parsecs de nous, ce disque offre une coupe naturelle permettant de sonder sa structure interne avec une précision inégalée. Grâce à l’interféromètre Alma (Atacama Large Millimeter/submillimeter Array), l’équipe a cartographié plus d’une dizaine de molécules essentielles à la vie, formées à partir d’hydrogène, de carbone, d’azote et d’oxygène. Ces observations ont permis de mesurer, pour chaque molécule, son altitude exacte au-dessus du plan médian du disque et sa répartition radiale. Les chercheuses et chercheurs ont ainsi pu suivre les conditions de température et de densité du gaz à différentes hauteurs, révélant une organisation verticale jusque-là impossible à observer directement dans les autres disques.

Les résultats dévoilent une architecture complexe. À 100 unités astronomiques de l’étoile centrale (soit 100 fois la distance Terre-Soleil), la plupart des molécules cohabitent dans une même couche gazeuse, à une température d’environ 20 kelvins. Le plan du disque est plus froid (9-10Kelvin) et à cette température, la plupart des molécules plus lourdes que H2 condensent sur les grains en formant des manteaux de glaces. Ces observations permettent de tracer en détail cette zone sur le plan où les molécules ont disparu du gaz (e.g. 12CO, CS, CN …) et où des embryons planétaires peuvent se former.

Tomographies des raies moléculaires observées avec ALMA à la résolution de 20 ua. Il s’agit de l’intensité des raies en fonction du rayon et de l’altitude. La couche moléculaire apparaît directement ainsi que le déficit de molécules sur le plan.
Tomographies des raies moléculaires observées avec ALMA à la résolution de 20 ua. Il s’agit de l’intensité des raies en fonction du rayon et de l’altitude. La couche moléculaire apparaît directement ainsi que le déficit de molécules sur le plan. © Dutrey (LAB-CNRS)/ ALMA

Autre découverte majeure : les molécules deutérées (formes enrichies en deutérium) comme le DCN et le N₂D⁺ se trouvent  préférentiellement près du plan médian, exactement comme le prédisaient les modèles théoriques.  À l’inverse, certaines molécules ont été détectées bien au-delà du disque de poussières observé avec Alma, probablement parce que les propriétés des poussières changent et laissent mieux pénétrer le rayonnement stellaire.

Ces observations constituent une avancée majeure pour comprendre la composition physico-chimique des futurs systèmes planétaires et affiner les modèles de formation des planètes autour d’étoiles similaires au jeune Soleil.

- Disque de gaz observé avec ALMA à la résolution d'environ 20 unités astronomiques (1 ua = la distance Terre-Soleil). L'émission (courbes d'égale intensité) due à la molécule CS est en turquoise, celle due à la molécule CN en magenta.
- En orange, émission radio millimétrique due aux poussières vue par ALMA (Atacama Large Millimeter/submillimeter Array).
- L'image de fond est celle de la lumière diffusée par les petites poussières observées avec le HST (Hubble Space Telescope) en proche infrarouge.
– Disque de gaz observé avec ALMA à la résolution d’environ 20 unités astronomiques (1 ua = la distance Terre-Soleil). L’émission (courbes d’égale intensité) due à la molécule CS est en turquoise, celle due à la molécule CN en magenta. – En orange, émission radio millimétrique due aux poussières vue par ALMA (Atacama Large Millimeter/submillimeter Array). – L’image de fond est celle de la lumière diffusée par les petites poussières observées avec le HST (Hubble Space Telescope) en proche infrarouge. Crédit : ALMA / HST / N. Grosso – Dutrey et al. 2025, Guilloteau et al. 2025

Classé sous :Univers Balisé avec :Résultat scientifique

Suivre la croissance complexe des structures cosmiques avec Euclid

20 octobre 2025 by osuadmin

Dans ce nouveau travail, nous montrons que les statistiques d’ordre supérieur — des outils plus avancés capables d’identifier des motifs, des pics et des textures subtiles dans la toile cosmique — permettent de révéler une bien plus grande partie de l’information contenue dans
la structure complexe de l’Univers à petite échelle.

À l’aide de simulations réalistes de type Euclid, nous testons cinq de ces méthodes : la fonction de distribution de probabilité à un point, la norme l₁, le comptage de pics, les fonctionnelles de Minkowski, et les nombres de Betti. Chacune d’elles surpasse l’approche traditionnelle à deux points, améliorant les contraintes sur le paramètre de l’équation d’état de l’énergie noire, responsable de l’accélération de l’expansion de l’Univers, d’un facteur allant jusqu’à 2 à 3.

Cela signifie que ces sondes d’ordre supérieur ne se contentent pas de retrouver toute l’information accessible par les méthodes standard : elles en extraient aussi de nouvelles, liées à la croissance non linéaire des structures cosmiques. En d’autres termes, elles offrent une
vision plus fine et plus complète de l’Univers.

Nous montrons également que ces résultats demeurent robustes dans des conditions réalistes, notamment lorsqu’on prend en compte les masques observationnels utilisés dans la chaîne d’analyse d’Euclid. Cela fait des statistiques d’ordre supérieur un outil à la fois prometteur et pratique pour les futures analyses des données Euclid.

Classé sous :Univers Balisé avec :Brève

Océans martiens : les plaines du Nord de Mars livrent de nouveaux indices

10 octobre 2025 by osuadmin

Le passé de la planète Mars continue de captiver la communauté scientifique. Une question, en particulier, reste en suspens : des océans ont-ils un jour recouvert la surface de la planète rouge ? Récemment, une équipe de recherche, associant de nombreux laboratoires français dont le Laboratoire de géologie de Lyon : Terre, planètes, environnement (LGL-TPE – Université Claude Bernard Lyon 1 / ENS de Lyon / CNRS) et le Laboratoire d’astrophysique de Marseille (LAM – Aix Marseille Université / CNRS / CNES), a scruté les Plaines du Nord de Mars grâce aux diverses sondes de la NASA et de l’ESA en orbite autour de Mars. Elle livre de nouveaux résultats, publiés dans la revue Nature Communications Earth & Environment.

Classé sous :Univers Balisé avec :Brève

  • Page 1
  • Page 2
  • Page 3
  • Pages provisoires omises …
  • Page 27
  • Aller à la page suivante »

Barre latérale principale

Articles récents

  • Des mesures interférométriques inédites pour comprendre la formation de β Pictoris b
  • Prix départemental pour la recherche en Provence 2025
  • L’ESO signe l’accord pour l’instrument MOSAIC sur l’ELT
  • Les Hackathons des Calanques
  • Première observation de la stratification moléculaire dans le disque « Flying Saucer »

Commentaires récents

Aucun commentaire à afficher.

Archives

  • décembre 2025
  • novembre 2025
  • octobre 2025
  • septembre 2025
  • juillet 2025
  • juin 2025
  • mai 2025
  • avril 2025
  • mars 2025
  • février 2025
  • janvier 2025
  • décembre 2024
  • novembre 2024
  • octobre 2024
  • septembre 2024
  • août 2024
  • juillet 2024
  • juin 2024
  • mai 2024
  • avril 2024
  • mars 2024
  • février 2024
  • janvier 2024
  • décembre 2023
  • novembre 2023
  • octobre 2023
  • septembre 2023
  • août 2023
  • juillet 2023
  • juin 2023
  • mai 2023
  • avril 2023
  • mars 2023
  • février 2023
  • décembre 2022
  • novembre 2022
  • octobre 2022
  • septembre 2022
  • août 2022
  • juillet 2022
  • juin 2022
  • avril 2022
  • mars 2022
  • février 2022
  • janvier 2022
  • décembre 2021
  • novembre 2021
  • octobre 2021
  • septembre 2021
  • juillet 2021
  • mai 2021
  • avril 2021
  • mars 2021
  • février 2021
  • janvier 2021
  • juin 2020
  • avril 2020
  • mars 2020
  • juillet 2018
  • juin 2018
  • mai 2018
  • mars 2018
  • décembre 2017
  • novembre 2017
  • octobre 2017
  • septembre 2017
  • juillet 2017
  • juin 2017
  • mai 2017
  • avril 2017
  • mars 2017
  • janvier 2017
  • décembre 2016
  • novembre 2016
  • octobre 2016
  • septembre 2016
  • août 2016
  • juillet 2016
  • juin 2016
  • mai 2016
  • avril 2016
  • mars 2016
  • janvier 2016
  • novembre 2015
  • octobre 2015
  • septembre 2015
  • août 2015
  • juillet 2015
  • juin 2015
  • avril 2015
  • mars 2015
  • février 2015
  • janvier 2015
  • novembre 2014
  • septembre 2014
  • juillet 2014
  • juin 2014
  • mai 2014
  • mars 2014
  • février 2014
  • janvier 2014
  • décembre 2013
  • novembre 2013
  • septembre 2013
  • août 2013
  • juillet 2013
  • juin 2013
  • avril 2013
  • mars 2013
  • septembre 2012
  • juillet 2012
  • juin 2012
  • mars 2012
  • décembre 2011
  • juillet 2011
  • janvier 2011

Catégories

  • Atmosphère
  • Biodiversité
  • Biologie
  • Chimie
  • Climat
  • Écologie
  • Environnement
  • Ingénierie
  • Interactions Homme-Milieu
  • Non classé
  • Océan
  • Paléontologie
  • Santé
  • Surface continentale
  • Terre
  • Univers
loader

Siège de l’OSU Institut Pythéas

OSU Institut Pythéas c/o CEREGE Europôle Méditerranée Site de l’Arbois 13545 AIX EN PROVENCE CEDEX 4

Campus de rattachement administratif principal

OSU Institut Pythéas Campus de Luminy OCEANOMED Bâtiment 26M 163 avenue de Luminy - Case 901 13009 MARSEILLE
Tél. 04.86.09.05.00

Renseignements

Pour toute demande ecrivez au secrétariat de l’OSU Institut Pythéas.

Nous suivre

Nos tutelles :
  • Logo tutelle
  • Logo tutelle
  • Logo tutelle
  • Logo tutelle

Copyright © 2025 · OSU Pytheas - News sur Genesis Framework · WordPress · Se connecter