• Passer à la navigation principale
  • Passer au contenu principal
  • Passer à la barre latérale principale
  • Annuaire
  • Webmail
  • Intranet
  • Portail numérique
  • Service pour le Respect et l’Égalité
Ressources – OSU Institut Pytheas

Ressources - OSU Institut Pytheas

Ressources

  • Actualité
  • Agenda
  • Ressources
  • Emplois / stages
  • Retour

Brève

Année de la mer, toutes nos ressources

30 janvier 2025 by osuadmin

Afin d’informer la société et de partager avec les publics les derniers développements de ces recherches, nous réalisons régulièrement, en parallèle de nos communiqués de presse et de nos événements, des outils de partages de connaissances. Dans le cadre de l’année de la mer nous les avons regroupées pour vous sur cette page.

Bandes-dessinées et petite histoire

Cocotte en papier

Contenus pédagogiques

Expositions disponibles à l’itinérance

Podcasts

Posters de la science

Sciences participatives

Vidéos

Classé sous :Océan Balisé avec :Brève

Pourquoi l’eau de la grotte Cosquer reste sous le niveau de la mer ?

23 octobre 2024 by osuadmin

La conservation des grottes ornées dépend fortement des flux d’air dans le réseau karstique et à travers la roche environnante. Les flux d’air sont régis par le gradient de pression et influencés par la forme des conduits karstiques et la perméabilité du massif de roches carbonatées.

La grotte Cosquer est une grotte ornée du paléolithique supérieur, à moitié submergée dans un karst côtier, où la conservation dépend également des niveaux d’eau reliés à la mer.

Les données hydroclimatiques, telles que la pression et la température de l’air et le niveau de l’eau à l’intérieur et à l’extérieur de la grotte, ont été mesurées pendant plusieurs années afin d’identifier les principaux processus régissant les variations du niveau de l’eau, les flux d’air et le renouvellement de l’air. Les données montrent un comportement inhabituel pour un karst : la pression de l’air dans le karst est presque toujours supérieure à la pression atmosphérique.

Par conséquent, le niveau de l’eau dans la grotte est inférieur au niveau de la mer. Les variations quotidiennes de la marée permettent d’évaluer le volume de la grotte au-dessus du niveau de l’eau. Bien que l’air de la grotte soit confiné par la roche et l’eau de mer, il y a également des entrées d’air externes lors de courts événements de pressurisation liés aux vagues qui peuvent produire et forcer des bulles d’air à s’écouler le long des fissures ouvertes sous-marines ou des conduits karstiques à l’intérieur du massif.

De plus, la perméabilité effective des roches carbonatées à l’air à l’échelle du massif est déduite de la diminution de la pression de l’air dans la grotte au cours de la saison estivale en appliquant la loi de Darcy dans un milieu partiellement saturé.

Six années de données montrent que la perméabilité varie d’une année à l’autre et en fonction des précipitations cumulées au cours du printemps et de l’été. Les années les plus sèches sont corrélées avec une perméabilité plus élevée, une diminution plus rapide de la pression de l’air dans la grotte et une augmentation plus rapide du niveau d’eau.

À l’avenir, dans le contexte du changement climatique, une perturbation de la perméabilité de la roche est donc attendue dans les grottes proches de la surface, ce qui aura un impact sur les flux d’air dans les grottes ornées et pourrait altérer leur fragile stabilité hydroclimatique.

Classé sous :Climat Balisé avec :Brève

Le télescope spatial Hubble découvre plus de trous noirs que prévu dans l’univers primordial

19 septembre 2024 by osuadmin

Une enquête sur la vue la plus profonde d’Hubble dans le passé révèle de nouveaux indices Il semble y avoir d’innombrables trous noirs dans l’univers. Les trous noirs les plus massifs, pesant des millions ou des milliards de fois la masse de notre Soleil, se cachent au centre des galaxies. Lorsque ces dragons endormis engloutissent tout ce qui passe près d’eux, ils peuvent briller comme des phares lumineeux appelés noyaux galactiques actifs. D’autres trous noirs n’aspirent pas constamment la matière environnante, mais par intermittence, faisant vaciller leur luminosité. Ce comportement a été utilisé par les astronomes pour partir à la chasse aux trous noirs. L’un des meilleurs terrains de chasse est le Champ Ultra Profond d’Hubble – qui a révélé des galaxies faibles existant peu après le big bang. La photo du Champ Ultra Profond d’Hubble a été révélée en 2004. Une équipe d’astronomes, incluant des chercheurs du Laboratoire d’Astrophysique de Marseille, a examiné des images ultérieures du Champ Ultra Profond d’Hubble et a trouvé des variations de luminosité parmi certaines galaxies. Ces variations sont attribuées à la variabilité des trous noirs – comme les lumières clignotantes de vacances. Le résultat est qu’ils ont trouvé plus de trous noirs dans l’univers primordial que ce qui avait été précédemment rapporté. La relation entre les premières galaxies et les trous noirs massifs est un dilemme de poule et d’œuf pour les cosmologistes. Qu’est-ce qui est apparu en premier ?
Revisiter l’extraordinaire Champ Ultra Profond d’Hubble offre de nouveaux indices. Cette étude est publiée dans le journal Astrophysical Journal Letters (volume 971): “Glimmers in the Cosmic Dawn: A Census of the Youngest Supermassive Black Holes by Photometric Variability”, Hayes M.J. et al.,2024

Classé sous :Univers Balisé avec :Brève

Challenge Ma Petite Planète (MPP)

3 septembre 2024 by osuadmin

Il s’agit d’un challenge ludique de 3 semaines pour réaliser des défis écologiques avec ses camarades de promo. Entièrement en ligne, le challenge sera ouvert à tous les étudiants et étudiantes d’amU, quel que soit leur campus ou site.

Pourquoi participer ?

  • Se sensibiliser aux bonnes pratiques écologiques tout en s’amusant
  • Tenter de remporter l’un des prix en devenant la meilleure ligue au sein d’amU
  • Être valorisé pour son engagement en tant qu’ambassadeur.rice de ligue via le bonus DDRS et gagner jusqu’à 0.5pt sur sa moyenne

Plus d’information et programme sur le site d’Aix-Marseille Université.

Classé sous :Écologie Balisé avec :Brève, Enseignement

La plus ancienne contamination en métaux aux pieds des pyramides de Gizeh

6 août 2024 by osuadmin

Cette étude est le fruit d’une collaboration internationale et interdisciplinaire, dont le CNRS fait partie, qui a permis de produire plusieurs articles sur les reconstructions paléoenvironnementales du plateau de Gizeh où ont été construites les pyramides de Khéops, Képhren et Mykérinos, et de nombreux tombeaux pharaoniques. Si ce site a fait l’objet de nombreux travaux archéologiques, les approches géomorphologiques, paléoécologiques et géochimiques y sont rares voire inexistantes. La mise en œuvre de ces approches simultanément sur des échantillons du même site révèle la plus ancienne contamination régionale en cuivre et en arsenic de plus de 5000 ans, résultant de l’utilisation d’outils, en particulier pour l’édification de la nécropole.

Cette découverte a été rendue possible grâce aux analyses géochimiques réalisées sur une carotte sédimentaire forée aux pieds des pyramides, dans un ancien bras du Nil aujourd’hui disparu et qui permettait d’acheminer les matériaux de construction, ancien bras caractériser par une prospection géophysique et géomorphologique publiée par la même équipe 1 ,2 ,3 . 

Les différentes phases de développement de la nécropole de Gizeh peuvent ainsi être caractérisées chimiquement depuis la période prédynastique jusqu’au Nouvel Empire, avec une attention particulière portée sur la construction des pyramides et du Sphinx. Cette étude conforte des résultats archéologiques et contribue à lever des incertitudes sur les dates d’édification de tombes pharaoniques, en particulier pendant la première dynastie, plus de 3000 ans avant notre ère. Ces travaux se fondent parfaitement dans les découvertes archéologiques antérieures et fournissent des données originales qui ouvrent de nouvelles perspectives de recherche sur les nécropoles de la vallée du Nil au moyen de traceurs indépendants et complémentaires des analyses archéologiques.

1. Sheisha H. et al. (2022). PNAS, 119(37), e2202530119.
2. Sheisha H. et al. (2023). Quaternary Science Reviews, 312, 108172.
3. Younes G. et al. (2024). Journal of Archaeological Science: Reports, 53, 104303.

Classé sous :Surface continentale Balisé avec :Brève, Résultat scientifique

Zones arides : l’incroyable diversité des plantes pour s’adapter à un climat extrême

8 août 2024 by osuadmin

Classé sous :Environnement Balisé avec :Brève

  • « Aller à la page précédente
  • Page 1
  • Page 2
  • Page 3
  • Page 4
  • Page 5
  • Pages provisoires omises …
  • Page 7
  • Aller à la page suivante »

Barre latérale principale

Articles récents

  • Ganymède et Callisto : destins gelés aux origines divergentes
  • Questionnaire : Quelles sciences en 2040 ? Les partenaires du site Aix-Marseille lancent une démarche participative
  • Les formations en alternance de l’OSU Pythéas
  • L’équipe COSMOS – Web dévoile le plus grand panorama de l’univers profond
  • Identifier les seuils écologiques pour une gestion optimisée de la biodiversité et des écosystèmes

Commentaires récents

Aucun commentaire à afficher.

Archives

  • juin 2025
  • mai 2025
  • avril 2025
  • mars 2025
  • février 2025
  • janvier 2025
  • décembre 2024
  • novembre 2024
  • octobre 2024
  • septembre 2024
  • août 2024
  • juillet 2024
  • juin 2024
  • mai 2024
  • avril 2024
  • mars 2024
  • février 2024
  • janvier 2024
  • décembre 2023
  • novembre 2023
  • octobre 2023
  • septembre 2023
  • août 2023
  • juillet 2023
  • juin 2023
  • mai 2023
  • avril 2023
  • mars 2023
  • février 2023
  • décembre 2022
  • novembre 2022
  • octobre 2022
  • septembre 2022
  • août 2022
  • juillet 2022
  • juin 2022
  • avril 2022
  • mars 2022
  • février 2022
  • janvier 2022
  • décembre 2021
  • novembre 2021
  • octobre 2021
  • septembre 2021
  • juillet 2021
  • mai 2021
  • avril 2021
  • mars 2021
  • février 2021
  • janvier 2021
  • juin 2020
  • avril 2020
  • mars 2020
  • juillet 2018
  • juin 2018
  • mai 2018
  • mars 2018
  • janvier 2018
  • décembre 2017
  • novembre 2017
  • octobre 2017
  • septembre 2017
  • juillet 2017
  • juin 2017
  • mai 2017
  • avril 2017
  • mars 2017
  • janvier 2017
  • décembre 2016
  • novembre 2016
  • octobre 2016
  • septembre 2016
  • août 2016
  • juillet 2016
  • juin 2016
  • mai 2016
  • avril 2016
  • mars 2016
  • janvier 2016
  • novembre 2015
  • octobre 2015
  • septembre 2015
  • août 2015
  • juillet 2015
  • juin 2015
  • avril 2015
  • mars 2015
  • février 2015
  • janvier 2015
  • novembre 2014
  • septembre 2014
  • juillet 2014
  • juin 2014
  • mai 2014
  • mars 2014
  • février 2014
  • janvier 2014
  • décembre 2013
  • novembre 2013
  • septembre 2013
  • août 2013
  • juillet 2013
  • juin 2013
  • avril 2013
  • mars 2013
  • septembre 2012
  • juillet 2012
  • juin 2012
  • mars 2012
  • décembre 2011
  • juillet 2011
  • janvier 2011

Catégories

  • Atmosphère
  • Biodiversité
  • Biologie
  • Chimie
  • Climat
  • Écologie
  • Environnement
  • Ingénierie
  • Interactions Homme-Milieu
  • Non classé
  • Océan
  • Paléontologie
  • Santé
  • Surface continentale
  • Terre
  • Univers
loader

Siège de l’OSU Institut Pythéas

OSU Institut Pythéas c/o CEREGE Europôle Méditerranée Site de l’Arbois 13545 AIX EN PROVENCE CEDEX 4

Campus de rattachement administratif principal

OSU Institut Pythéas Campus de Luminy OCEANOMED Bâtiment 26M 163 avenue de Luminy - Case 901 13009 MARSEILLE
Tél. 04.86.09.05.00

Renseignements

Pour toute demande ecrivez au secrétariat de l’OSU Institut Pythéas.

Nous suivre

Nos tutelles :
  • Logo tutelle
  • Logo tutelle
  • Logo tutelle
  • Logo tutelle

Copyright © 2025 · OSU Pytheas - News sur Genesis Framework · WordPress · Se connecter