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Ressources – OSU Institut Pytheas

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Brève

Festival de l’été Astro

10 juillet 2024 by osuadmin

Laissez-vous guider par les médiateurs et médiatrices scientifiques du Centre Astro pour la visite de l’Observatoire de Haute-Provence (CNRS), haut lieu de la recherche en astrophysique. Vous accéderez à la coupole abritant le télescope de 1.93m qui a permis en 1995 la découverte de la toute première exoplanète, à l’origine du prix Nobel de physique 2019.

Les conférences de nos chercheurs :

Mercredi 24 juillet – 18:00 / Ecologie et société, je t’aime moi non plus
Thierry Tatoni, Professeur à l’Université d’Aix Marseille – Institut Méditerranéen de Biodiversité et d’Ecologie Marine et Continentale (IMBE) CNRS – IRD – Avignon Université.

Mercredi 31 juillet – 18:00 / Les futurs très grands télescopes, au sol et dans l’espace
Marc Ferrari, Astronome, Directeur de l’OHP, Directeur-Adjoint de l’Institut Pythéas.

Mercredi 7 août – 18:00 / Dernières vues sur les exoplanètes avec le télescope James Webb
Elodie Choquet, Astronome adjointe à l’Université d’Aix Marseille et au Laboratoire d’Astrophysique de Marseille (LAM – CNRS).

Mercredi 21 août – 18:00 / Les mondes océans : l’eau dans le système solaire et au-delà
Olivier Mousis, Professeur à Aix Marseille Université Astronome au Laboratoire d’Astrophysique de Marseille – Institut Pythéas – CNRS / Directeur de l’Institut Origines.

Mercredi 28 août – 18:00 / La forêt méditerranéenne face aux sécheresses récurrentes
Elena Ormeno-Lafuente, Chercheuse CNRS – IMBE (Institut Méditerranéen de Biodiversité et d’Ecologie marine et continentale) Directrice scientifique de la plateforme AnaEE « O3HP » (Oak Observatory at OHP)

Classé sous :Univers Balisé avec :Brève

La mission SVOM, destinée à l’étude des plus lointaines explosions d’étoiles, a été lancée avec succès

22 juin 2024 by osuadmin

Les sursauts gamma constituent les phénomènes les plus énergétiques de l’Univers : ils résultent des plus lointaines explosions d’étoiles massives mais également de la fusion d’objets compacts comme les étoiles à neutrons. D’une durée très fugace, parfois quelques millièmes de secondes, ces éclairs proviennent d’une libération colossale d’énergie, équivalente à celle générée par le Soleil durant toute sa vie. Certains sursauts gamma sont soupçonnés de survenir lorsque deux étoiles à neutrons, ou une étoile à neutrons et un trou noir, gravitent l’un autour de l’autre, avant de se rapprocher et de fusionner. D’autres sont liés à la mort soudaine d’étoiles très massives au sein de galaxies lointaines. Cette lumière a parfois été émise alors que notre Univers avait moins d‘un milliard d’années. Dès lors, avant d’arriver jusqu’à nous, la lumière de ces astres traverse plusieurs milliards d’années-lumière et se charge ainsi de l’empreinte des multiples époques de l’Univers. En d’autres termes, étudier les sursauts gamma contribue à mieux comprendre la formation de notre Univers. 

La fugacité des sursauts gamma rend leur observation très complexe. Au cours de l’explosion, cette brève et intense lueur gamma est suivie en général par une émission de rayons X ainsi que par un rayonnement de lumière visible qui peuvent être observés pendant quelques jours. Pour détecter, localiser et étudier avec efficacité tous ces phénomènes, SVOM (Space-based multi-band astronomical Variable Objects Monitor), possède quatre instruments : deux conçus et réalisés par la Chine (GRM et VT) et deux par la France :

  • ECLAIRs, un télescope X et gamma à grand champ de vue pour détecter et localiser les sursauts gamma dans la bande des rayons X et des rayons gamma de basse énergie. Ce télescope à grand champ couvre un sixième de l’ensemble de la voûte céleste. Il détectera les sursauts gamma et fournira leur position avec une précision d’une dizaine de minutes d’arc, équivalente au tiers du diamètre apparent de la Lune. Le télescope ECLAIRs est développé sous maîtrise d’œuvre du CNES avec des laboratoires français sous tutelles du CEA, du CNRS et de ses partenaires, notamment l’Institut de recherche en astrophysique et planétologie (CNES/CNRS/Université Toulouse III – Paul Sabatier), l’Institut de recherche sur les lois fondamentales de l’Univers (CEA) et le laboratoire « Astroparticule et cosmologie » (CNRS/Université Paris Cité).
  • MXT, un télescope sensible aux rayons X de basse énergie pour l’observation des sursauts gamma. Avec son petit champ de vue (57×57 minutes d’arc), il détectera l’émission rémanente des sursauts gamma et en fournira la position sur la voûte céleste avec une précision supérieure à 30 secondes d’arc (soit le diamètre apparent de Jupiter) dans 50% des cas. Il est développé sous maîtrise d’œuvre du CNES, avec le CEA et le CNRS à travers, notamment, le Laboratoire de physique des deux infinis – Irène Joliot-Curie (CNRS/ Université Paris-Saclay)1. L’Observatoire de Strasbourg a également contribué à son développement, en particulier pour l’outil de traitement de données du télescope et les bancs de simulation pour les pipelines scientifiques.
    Concrètement, quand un sursaut gamma sera détecté par ECLAIRs, le satellite se réorientera en quelques minutes pour viser précisément la zone de l’événement localisé et permettre ainsi aux instruments ayant un champ de vue étroit, notamment MXT, d’observer à leur tour ce sursaut. L’information liée au positionnement du sursaut gamma sur la voûte céleste sera également transmise au sol en moins d’une minute, grâce à un réseau d’antennes déployé tout autour de l’équateur et des tropiques, jusqu’à deux centres de veille établis en France et en Chine. Ces derniers pourront alors lancer des investigations complémentaires et le cas échéant alerter les grands télescopes terrestres afin qu’ils puissent à leur tour s’orienter vers la zone du ciel et observer le sursaut gamma. 

Pour compléter les observations faites depuis l’espace, les scientifiques de la mission SVOM disposent d’une panoplie d’instruments d’observation terrestres dédiés au projet. L’une des pièces maîtresses de ce dispositif est le télescope robotique COLIBRI spécialement développé pour l’occasion et fruit d’une collaboration étroite entre la France, où le CNRS, l’Université d’Aix-Marseille et le CNES ont joué un rôle essentiel, et le Mexique (UNAM et CONACHyT). Ce télescope offre des performances uniques en termes de sensibilité, rapidité et couverture spectrale qui le rendent unique au niveau mondial. C’est cette synergie étroite entre le sol et l’espace, couplée au caractère multi-longueurs d’ondes des observations, qui constitue la grande prouesse scientifique et technique de la mission SVOM.

La mission, le lancement, le satellite et les opérations de la mission SVOM sont sous responsabilité chinoise. La conception et la réalisation des instruments et des composantes sol sont partagées entre la Chine et la France. Le CNES est le responsable programmatique de la mission et le responsable technique du projet, maitre d’œuvre des instruments ECLAIRs et MXT, en partenariat avec les laboratoires du CEA, du CNRS et de leurs partenaires qui assurent en outre la responsabilité scientifique du projet.

Philippe Baptiste, président-directeur général du CNES, commente : « La participation essentielle du CNES à la mission SVOM avec les deux instruments innovants témoigne une nouvelle fois de la force de notre collaboration internationale pour mener à bien des découvertes scientifiques de grande ampleur. Cette mission nous permettra de recueillir des données très précieuses sur les explosions d’étoiles les plus puissantes de notre Univers et ainsi de mieux comprendre sa formation. »

Antoine Petit, président-directeur général du CNRS, indique : « Je tiens à féliciter les femmes et les hommes, impliqués dans la réalisation de cette mission, en particulier les ingénieurs et les chercheurs des laboratoires du CNRS et de ses partenaires, qui ont œuvré à cette réussite. Le lancement de SVOM dote nos scientifiques d’un observatoire absolument inédit qui sera capable de sonder les phénomènes les plus violents de l’Univers. »

François Jacq, administrateur général du CEA, déclare : « Le CEA est très fier de contribuer à ce projet spatial en apportant son savoir-faire en terme de conception, d’intégration et de qualification des instruments spatiaux ainsi qu’en portant la responsabilité scientifique de la mission pour la France. Nous avons hâte de recevoir et analyser les premières alertes de SVOM à l’automne, qui vont ouvrir une nouvelle fenêtre sur le moteur des objets les plus énergétiques de l’univers. C’est aussi un magnifique exemple de science ouverte, avec un partage instantané des données avec la communauté scientifique internationale. »

1. Ont été également impliqués le laboratoire Astrophysique instrumentation et modélisation (CNRS/CEA/Université Paris Cité), l’Institut d’astrophysique de Paris (CNRS/Sorbonne Université), le Laboratoire d’astrophysique de Marseille (CNRS/CNES/Aix-Marseille Université), l’Observatoire astronomique de Strasbourg (CNRS/Université de Strasbourg), le Centre de physique des particules de Marseille (CNRS/Aix-Marseille Université), le laboratoire Galaxies, étoiles, physique et instrumentation (Observatoire de Paris – PSL/CNRS), le Laboratoire Univers et particules de Montpellier (CNRS/Université de Montpellier).

Classé sous :Univers Balisé avec :Brève

Naviguez dans les données VESTIGE

18 juin 2024 by osuadmin

VESTIGE (a Virgo Environmental Survey Tracing Ionised Gas Emission) est un  « large program » du CFHT pour observer l’amas de la Vierge dans la bande r et  dans un filtre étroit Hα. Alessandro Boselli du LAM en est le PI.

VESTIGE a rendu publiques ses premières données. Cette première publication  contient les images JPG de toutes les galaxies détectées en Hα, accompagnées des images FITS pour les galaxies dont les données ont été validées dans une  publication. Ces données sont disponibles à cette adresse :  https://mission.lam.fr/vestige/data.html.

VESTIGE met aussi à disposition de la communauté une vue « all sky » de l’amas de la Vierge dans quatre versions :

  • L’image de la bande r : https://mission.lam.fr/vestige/data/HiPS/LAM_P_VESTIGE_r
  • L’image du filtre étroit Hα : https://mission.lam.fr/vestige/data/HiPS/LAM_P_VESTIGE_Halpha
  • L’image du flux net Hα calculé par le projet : https://mission.lam.fr/vestige/data/HiPS/LAM_P_VESTIGE_Halpha_net
  • Une image RGB combinant ces trois images (commencez par celle-là) : https://mission.lam.fr/vestige/data/HiPS/LAM_P_VESTIGE_RGB

Notez que vous pouvez entrer ces URLs dans la version bureau d’Aladin.

Classé sous :Univers Balisé avec :Brève

Imager des planètes lointaines : la France coopère avec la NASA pour un démonstrateur embarqué sur le télescope Nancy Grace Roman

24 mai 2024 by osuadmin

Parmi la flotte de télescopes destinés à observer et mieux comprendre l’Univers, le futur télescope spatial Nancy Grace Roman, développé par la NASA, va permettre de grandes avancées dans le domaine de la cosmologie et de la planétologie. Le télescope embarquera un coronographe, démonstrateur technologique capable de détecter et étudier les exoplanètes similaires à Jupiter dans notre Système solaire, en mesurant de manière directe la lumière de leur étoile qui se reflète sur le sommet de leur atmosphère en direction de la Terre. L’instrument permettra d’atténuer le signal de l’étoile d’un facteur de plus de 100 millions pour révéler le signal extrêmement faible de ses planètes voisines. L’instrument de démonstration technologique a récemment quitté le Jet Propulsion Laboratory de la NASA pour le Goddard Space Flight Center où il rejoindra le reste de l’observatoire spatial en vue d’un lancement au plus tard en mai 2027.

Classé sous :Univers Balisé avec :Brève

PRESSION HYPERBAR ! Des rivières pour une ville vivante et vivable !

14 mai 2024 by osuadmin

Parfois cachées et souvent délaissées, les trois rivières marseillaises sont plus connues pour leur caractère capricieux lors des crues que pour leur potentiel écologique et social. Pourtant, dans l’imaginaire populaire c’est autour de l’Huveaune, du Jarret de Caravelles-Aygalades que l’activité phocéenne s’est organisée et déployée. Sources de vie à l’origine, ces cours d’eau se sont au fil du temps transformés en caniveaux nauséabonds et insalubres. On les a donc canalisées, cachées et gérées comme des égouts à ciel ouvert. Mais aujourd’hui, dans une ville qui se réchauffe et qui cherche à retrouver une nature accueillante, les rivières redeviennent des liens de vie pour les citoyens et la biodiversité. Mais comment les comprendre et apprendre à en prendre soin afin de les sortir de leur statut de tuyaux ? Peut-on les réorienter vers des écosystèmes résilients ? Pour répondre à cette question, une discussion croisée entre élus et scientifique mettra en avant les grands défis, mais aussi les pistes de solutions pour que nos rivières soient à nouveau des espaces-refuges.

Rendez-vous : mardi 21 mai 2024, de 19:00 à 21:00
Brasserie Zoumaï, 7 crs Gouffé, 13006 Marseille

 

Intervenants

  • Hugo Maurer, Doctorant en sciences de l’environnement à l’IMBE – Aix-Marseille Université. Responsable stratégie et projets de territoire chez Neo-Eco.
  • Perrine Prijean, Adjointe au Maire de Marseille en charge de la valorisation du patrimoine,de l’amélioration des espaces publics, de la place de l’eau dans la ville et de la ville résiliente. Conseillère métropolitaine.
  • Thierry Tatoni, Professeur Aix-Marseille Université à l’Institut Méditerranéen de Biodiversité et Ecologie (IMBE)

Classé sous :Environnement Balisé avec :Brève

Défi Nature urbaine : City Nature Challenge 2024

29 mars 2024 by osuadmin

Un défi mondial à relever avec Marseille !

Du 26 au 29 avril 2024, la Ville de Marseille participe – avec Aix-Marseille Université – aux côtés de 500 autres grandes villes dans le monde au City Nature Challenge (Défi Nature Urbaine) !
Ce défi est organisé par la California Academy of Sciences et le Natural History Museum of Los Angeles County.

Découvrir la biodiversité terrestre et marine et faire progresser la science
Le City Nature Challenge est un grand défi scientifique citoyen dont l’objectif est simple : collecter le plus d’observations possibles d’animaux et végétaux sauvages en ville.

En participant, chacun découvre l’incroyable richesse naturelle de notre territoire communal, à terre et en mer. Mais surtout, cet évènement fait progresser l’identification de la biodiversité pour mieux la connaître et mieux la préserver.

Comment participer ?
Pour participer, il suffit d’utiliser la plateforme « iNaturalist » et de poster ses observations.

Toute observation représente un maillon de plus dans la chaîne de la connaissance. La biodiversité locale se cache partout : jardins, rues, friches urbaines, collines ou sous la mer, osez vous aventurer partout !
Toutes les observations comptent et avec « iNaturalist », les scientifiques du monde entier pourront préciser et valider les espèces rencontrées sur le territoire marseillais.

Son interface simple et intuitive s’adresse à tous les participants, simples curieux ou véritables experts.

Téléchargez l’application iNaturalist sur Android

Téléchargez l’application iNaturalist sur Iphone

Page City Nature Challenge Marseille sur iNaturalist

Comment réaliser une observation ?

Un évènement ouvert à tous et toutes !
Seul, en famille, entre amis ou voisins, tout le monde peut partir à l’aventure autour de chez soi ou dans ses lieux de balade favoris ou rejoindre l’un des rendez-vous organisés pour l’évènement : Muséum d’histoire naturelle, fermes pédagogiques, ENJEU, le Hublot, relais-natures, associations…

Nombreux sont les partenaires qui se mobilisent pour concocter le programme des rendez-vous qui jalonneront ces 4 jours.

À venir prochainement : liste des rendez-vous organisés pour l’évènement.

 

Stratégie locale partenariale en faveur de la biodiversité
La participation de la Ville de Marseille au City Nature Challenge s’inscrit dans la continuité de sa stratégie locale partenariale en faveur de la biodiversité terrestre et marine ainsi que dans la stratégie nationale biodiversité 2030. 

En participant à cette mobilisation mondiale, Marseille souhaite montrer qu’il est possible de s’engager concrètement dans la préservation de la biodiversité locale.

 

Découvrez L’Azuré, deux parcours urbains de l’OSU Pythéas autour de Notre-Dame de la Garde !

  • Avec les balades de Pythéas, découvrez les enjeux de la biodiversité en ville. L’Azuré se compose de deux livrets qui accompagneront votre promenade sur la colline de Notre-Dame de la Garde de façon ludique.

L’Azuré (adulte) – Partez à la découverte de la nature en ville avec, comme acolyte, l’Azuré des nerpruns. Ce papillon a malheureusement perdu ses couleurs car il n’a pas pu manger les plantes avec les bons pigments étant chenille, mais il vous accompagnera durant votre quête. Votre objectif est donc de lui redonner ses couleurs à travers les différentes énigmes que vous rencontrerez tout au long du parcours. 

Ce parcours vous permettra de redécouvrir la faune et la flore au pied de la bonne mère et d’appréhender sous les angles géologique et historique, le paysage que nous offre ce point de vue. Vous redécouvrirez la nature locale et parfois ordinaire, mais qui offre un réel intérêt pour l’écosystème qui nous entoure. 

Téléchargez le livret L’Azuré (parcours adulte)

L’Azuré KIDS – Aide Ulysse, l’Azuré des nerpruns, un papillon originaire de Provence, à s’installer sur la colline de la Bonne Mère ! 

Ses parents lui ont donné une carte pour l’aider à trouver le bon endroit où s’installer sur la colline, mais Ulysse a perdu la légende, c’est-à-dire toute la partie qui lui permettait de déchiffrer la carte ! Aide-le à reconstituer la légende de la carte et à trouver le meilleur endroit où s’installer sur la colline de Notre-Dame de la Garde.

Téléchargez le livret L’Azuré KIDS

>> ENFANTS SEULS : 8 À 12 ANS | AIDÉS : 4 À 8 ANS | DUREE DU PARCOURS : 30-45 MN

 

Résultats dès le 6 mai !
Entre le 30 avril et le 5 mai, les scientifiques identifient ce qui a été trouvé par les observateurs qui sont automatiquement notifiés sur iNaturalist.
Dès le 6 mai, l’ensemble des résultats de toutes les villes engagées dans le City Nature Challenge mondiaux sont accessibles en ligne (nombre de participants, nombre d’observations, nombre d’espèces observées…)
 

La mobilisation a déjà commencé. Retenez la date : du 26 au 29 avril à Marseille !
Accompagnez la Ville de Marseille pour faire progresser la connaissance
de la biodiversité et protéger notre environnement naturel.

Mode d’emploi City Nature Challenge

 

Source : https://www.marseille.fr/environnement/actualites/city-nature-challenge-2024-un-defi-mondial-a-relever-avec-marseille

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