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Ressources – OSU Institut Pytheas

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Communiqué de presse

Suivez le transit de Mercure en direct le 9 mai à partir de 13h15

9 mai 2016 by osuadmin

C’est un évènement exceptionnel : la planète Mercure passera devant le Soleil ce lundi 9 mai 2016.
Le transit de mercure
Il se produit lorsque la planète Mercure se situe entre la Terre et le Soleil. Elle est alors visible sous la forme d’un petit point noir traversant le disque solaire.

Les astrophysiciens nomment cela un « transit ». On parle de transit planétaire lorsqu’une planète passe devant le Soleil. Vu depuis la Terre, seuls les transits de Mercure et de Vénus sont observables. Les transits planétaires sont beaucoup plus rares que les éclipses de Soleil par la Lune, il y aura 14 passages de Mercure dans notre siècle.

L’Observatoire de Haute‐Provence – OSU Institut Pythéas (CNRS‐AMU) pointera pour l’occasion le télescope IRIS (destiné à l’initiation à la recherche en astronomie pour les scolaires) et pour la toute première fois, retransmettra en direct via internet les images du transit ou directement à partir du site web de l’Observatoire. Ces images sont accessibles à tous. Si la météo est favorable, vous pourrez observer le passage de Mercure devant le Soleil entre 13h12 et 20h40.

Cette retransmission permet d’assister à ce rare phénomène sans aucun risque. En effet, l’observation du Soleil doit se faire impérativement avec une protection adéquate. Ne jamais observer le Soleil à l’œil nu ou au travers de n’importe quel autre instrument optique sans vous être assurés qu’il est équipé de protection/filtre aux normes.

Le télescope IRIS sous sa coupole

En parallèle de cette diffusion, d’autres activités à destination des collégiens et des lycéens sont prévues sur le site de l’Observatoire. Cinq visioconférences interactives pourront être visionnées directement dans les classes des établissements scolaires des académies d’Aix‐Marseille, Nice et Montpellier, ainsi que dans toute la France pour les classes du réseau « Astro à l’école » (dispositif ministériel). Grâce à la plateforme en ligne opérée par le Rectorat d’Aix‐Marseille, une centaine de classes pourront ainsi participer, soit plus de 3 000 élèves.

Lors de cet évènement, un stage de formation de professeurs de l’enseignement secondaire organisé par le rectorat d’Aix‐Marseille en partenariat avec l’Observatoire de Haute‐Provence portera sur le thème du transit de Mercure et permettra aux enseignants d’en aborder les aspects théoriques : Quel est l’intérêt scientifique des transits ? Comment mesure‐t‐on les distances dans l’Univers ? Quelles sont les techniques d’observation de transit d’exoplanètes ? Etc.

Classé sous :Univers Balisé avec :Communiqué de presse

Fusion majeure de deux galaxies spirales : Destruction et reconstruction des disques galactiques

15 avril 2016 by osuadmin

Un groupe de chercheurs et d’ingénieurs informaticiens du Laboratoire d’Astrophysique de Marseille (LAM / CNRS – Université d’Aix Marseille) a effectué des simulations 1 spécifiques utilisant des ordinateurs nationaux de type « supercalculateurs » pour étudier le résultat d’une fusion de deux galaxies à disque de masses environ égales et situées à des redshifts intermédiaires – entre z 1.5 et 0.5). Les résultats particulièrement intéressants de cette étude ouvrent une toute nouvelle perspective pour la formation des disques galactiques.

La formation des galaxies comme notre Voie Lactée compte parmi les plus grandes questions auxquelles les astronomes tentent de répondre. Le processus est toutefois difficile à observer. En revanche, des simulations utilisant des super-ordinateurs nationaux permettent aux scientifiques de comprendre les processus mis en jeu dans la formation des galaxies. Une équipe du Laboratoire d’Astrophysique de Marseille travaille sur ces modélisations. Une de leurs thématiques de recherche consiste à mettre en évidence le fruit de collisions de galaxies aux caractéristiques très spécifiques. Ils ont ainsi simulé la collision de deux galaxies à disque de masses environ égales et situées à des redshifts intermédiaires (entre z 1.5 et 0.5). Les deux galaxies avant collision représentent au mieux des galaxies situées à ces redshifts, étant plus petites et plus riches en gaz que les galaxies qui sont proches de nous. Point important, leurs halos sont constitués tant de matière noire que de gaz chaud.

Le disque d’une galaxie formée lors d’une fusion majeure vu de face (en haut) et par la tranche (en bas).
On y remarque tant des spirales internes que des spirales externes, ainsi qu’une barre et un bulbe en forme de boite. Les images de gauche représentent la totalité du disque, tandis que les images de droite sont un agrandissement de la partie centrale.
Crédit : LAM

L’évolution au cours de la fusion est la suivante :

  • Lors de la collision, les disques de ces galaxies sont détruits et leurs étoiles, subissant une relaxation violente, forment un bulbe classique, qui sera le centre de la nouvelle galaxie.
  • La majorité des étoiles se formant vers la fin de la période de collision ou juste après forment un disque épais.
  • Ensuite, un nouveau disque, mince et froid, commence à se former principalement par accrétion du gaz initialement dans le halo.

Ainsi une nouvelle galaxie se forme, et les simulations obtenues par cette équipe montrent que les étoiles les plus vieilles doivent se trouver dans le bulbe classique, suivies par les étoiles du disque épais et enfin par les étoiles du disque mince. Les étoiles les plus jeunes se trouvent dans les bras spiraux, et au centre dans un second bulbe (non classique), en forme de disque.

Grâce à ces simulations, les différentes étapes de l’évolution de la nouvelle galaxie, depuis sa formation lors de la fusion jusqu’au temps présent (z=0), ont pu être observées. La très haute résolution des simulations a non seulement permis des comparaisons détaillées des propriétés de ces galaxies simulées avec celles des galaxies observées, mais a de plus mis en évidence une parfaite adéquation avec ce que nous pouvons observer dans notre univers local 2. En particulier, la distribution de la masse et la distribution des vitesses correspondent bien.

La morphologie des structures du disque est également en très bon accord avec les observations, montrant un disque épais en plus du disque mince, des spirales et des anneaux de la bonne taille et forme, et une barre avec des anses aux deux extrémités, et, vu de profil, un bulbe en forme de boite ou de cacahuète. Il est également à noter que les galaxies spirales ainsi formées peuvent avoir un bulbe classique avec une masse très faible, pouvant même être inférieure à 10% de la matière baryonique totale, ce qui est requis par exemple par les observations de notre Galaxie.

Lia Athanassoula, astronome au LAM et premier auteur de cette étude conclut : « Nos simulations démontrent que la fusion de deux galaxies spirales peut donner naissance à une nouvelle galaxie spirale. Ce résultat particulièrement intéressant met donc en évidence un scénario possible pour la formation des galaxies semblables à la nôtre. A partir de là nous allons pouvoir étudier les plus importantes propriétés des galaxies à disque. »

1. Des simulations N-corps avec hydrodynamique.
2. En particulier, la courbe de rotation est plate dans les parties extérieures et pas trop concentrée dans les parties centrales, grâce à la modélisation dans les simulations du noyau actif de la galaxie. Également le profil radial de la densité projetée, qui est — d’après la nomenclature des observateurs — de Type II, avec des valeurs réalistes pour les longueurs d’échelle tant intérieure qu’extérieure et pour le rayon qui sépare le disque intérieur et extérieur.

Classé sous :Univers Balisé avec :Communiqué de presse, Résultat scientifique

Du nouveau sur la formation et l’évolution des plaines côtières, l’exemple du Sud-Ouest de l’Inde

11 avril 2016 by osuadmin

Une étude des plaines côtières du sud-ouest de l’Inde menée par une équipe internationale 1 de chercheurs a permis d’apporter une réponse à une question scientifique de longue date sur la formation et l’histoire de ces plaines principalement couvertes de latérites. Cette étude, basée sur la méthode de datation par l’argon, a en effet permis de déterminer que les latérites de ces plaines se sont formées il y a au moins 47 millions d’années au pied d’un vieux relief érigé il y a environ 60 millions d’années. Les résultats de cette recherche et leurs implications sont présentés dans l’édition du journal Geology du mois d’Avril 2016.

Les plaines côtières ou marges continentales qui résultent de la séparation des continents sont marquées par de grands escarpements dont l’âge et l’évolution géomorphologique sont matières à débat dans la communauté des géosciences. Des études ont montré une érosion rapide des marges après la séparation des continents impliquant l’installation précoce des escarpements tandis que d’autres ont argumenté pour une évolution plus lente au cours de phases d’érosion successives et par conséquent une stabilisation plus tardive de ces reliefs.

Paysage de collines
Paysage de collines exposant les sols latéritiques (latérites) de la plaine côtière (au pied de l’Escarpement des Western Ghats sur la marge sud-ouest de l’Inde péninsulaire – Formation de minerais d’oxydes de manganèse dans les sols latéritiques de la plaine côtière – Oxydes de manganèse vus en microscopie optique à lumière réfléchie – Image de micro-fluorescence X montrant les oxydes de manganèse potassiques (cryptomélane) en vert parmi les autres oxydes de manganèse en bleu et les oxydes de fer en rouge.
Crédit : A. Beauvais et al. Geology 2016

Or, le mode et le rythme de l’érosion des marges continentales sont déterminants pour reconstituer leur évolution topographique, reconstruire le développement des réseaux de drainage, et quantifier les transferts sédimentaires depuis les continents vers les bassins océaniques marginaux au cours des temps géologiques.

Aujourd’hui, une équipe de chercheurs internationale vient d’apporter un nouvel éclairage sur l’évolution des marges continentales. Ils ont en effet pu préciser l’histoire géomorphologique de la marge continentale sud-ouest de l’Inde Péninsulaire 2 depuis la mise en place il y a environ 65 millions d’années des roches basaltiques des trapps de la province du Deccan.

Pour cela, ils ont déterminé et interprété les âges obtenus par la méthode de datation à l’argon (40Ar/39Ar) sur des oxydes de manganèse potassiques (appelés cryptomélane) formés dans les sols latéritiques (latérites) de part et d’autre du grand escarpement des Western Ghats qui borde la marge sud-ouest de l’Inde Péninsulaire. Ils ont ainsi montré que la préservation de ces sols épais de plusieurs dizaines de mètres et vieux d’au moins 47 millions d’années ont pu se former en un minimum de 12 millions d’années au pied de l’escarpement ce qui atteste de l’installation rapide (à l’échelle des temps géologiques) et de la stabilisation précoce de ce relief, il y a probablement 60 millions d’années. De plus, les résultats de ces recherches impliquent des vitesses d‘érosion des sols latéritiques datés très faibles (< 5 mètres par million d’années) depuis leur formation au pied de l’escarpement.

Ces nouveaux résultats questionnent les modèles d’érosion dérivés de l’étude de l’histoire thermique (refroidissement) des roches contenant des minéraux de phosphate de calcium (apatites). Plus généralement, les âges obtenus sur les oxydes de manganèse des sols latéritiques remettent en question l’idée selon laquelle la topographie des marges et des surfaces continentales serait due à des soulèvements et des rajeunissements récents.

Ces travaux publiés dans le journal Geology montrent que l’étude géomorphologique et géochronologique des sols latéritiques formés et préservés depuis des millions d’années sur les marges et les continents des régions intertropicales est prometteuse pour quantifier les vitesses d’érosion et les sédiments exportés vers les bassins marins à l’échelle des temps géologiques

1. L’équipe est composée de chercheurs du Centre Européen de Recherches et d’Enseignements des Géosciences de l’Environnement (CEREGE-OSU Institut Pythéas / CNRS, IRD, Aix-Marseille Université), de Géosciences Environnement Toulouse (GET - IRD, Université Toulouse Paul Sabatier, CNRS ), de Géosciences Montpellier (Université de Montpellier 2, CNRS) et du Centre for Earth and Space Sciences (University of Hyderabad)
2. On trouve des surfaces présentant les mêmes caractéristiques dans les plaines côtières et même à l’intérieur des terres en Inde, en Afrique, en Australie, et en Amérique du Sud.

Classé sous :Environnement, Surface continentale, Terre Balisé avec :Communiqué de presse

Où sont passés les anchois et les sardines ?

15 mars 2016 by osuadmin

En dix ans en Méditerranée, la biomasse des sardines a été divisée par trois, passant de plus de 200 000 tonnes à moins de 67 000 tonnes. On retrouve ces mêmes proportions chez les anchois. Mais où ces petits poissons – également appelés « petits pélagiques » – sont-ils donc passés ? Pour comprendre le phénomène qui a des impacts économiques importants, les scientifiques se sont associés aux pêcheurs. Chaque mois, les pêcheurs ont prélevé des anchois et sardines selon un protocole scientifique bien précis (lieu, date, heure, méthode de pêche). Le projet EcoPelGol a décrypté pendant trois ans les fluctuations des stocks de petits pélagiques dans le golfe du Lion. La faute n’incombe ni aux prédateurs, ni aux virus mais bien à l’environnement. Face à la baisse de qualité du plancton, les poissons utilisent plus leur énergie pour se reproduire que pour grandir… Financé par France Filière Pêche, EcoPelGol été réalisé par l’unité mixte de recherche MARBEC (IRD / Ifremer / CNRS / Université de Montpellier) 1 en partenariat avec l’Université de Gérone (Espagne) et l’Institut Méditerranéen d’Océanologie – MIO (Aix Marseille Université/Université de Toulon / CNRS / IRD).

Chalutage et tri de petits poissons pendant la campagne PELMED – Gros plan de sardines
Crédit : Isabelle Cheret / Ifremer – Olivier Barbaroux / Ifremer
1. L’Unité Mixte de Recherche (UMR) MARBEC, MARine Biodiversity, Exploitation and Conservation, est l’un des plus importants laboratoires travaillant sur la biodiversité marine et ses usages en France avec environ 230 agents, dont 80 chercheurs et enseignants-chercheurs. MARBEC est implantée à Sète, Montpellier et Palavas-les-Flots, ainsi que dans l’océan Indien, en Asie, en Afrique et en Amérique du Sud. Elle étudie la biodiversité marine des écosystèmes lagunaires, côtiers et hauturiers, principalement méditerranéens et tropicaux.

Classé sous :Biodiversité, Environnement, Océan Balisé avec :Communiqué de presse

MOSAIC, le spectrographe multi-objets (MOS) de l’European Extremely Large Telescope (E-ELT)

18 mars 2016 by osuadmin

Le contrat pour l’étude de la phase-A a été signé par l’Observatoire Européen Austral et le consortium MOSAIC. Le MOS sera un des instruments de première génération qui équipera le télescope E-ELT de 39 mètres. Combiné à la sensibilité sans précédent de l’E-ELT, MOSAIC sera l’instrument le plus performant au monde pour l’étude du halo de la Voie lactée et de ses satellites, pour l’analyse détaillée des populations stellaires dans les galaxies proches, et jusqu’aux observations des premières structures de l’Univers dans sa période de ré-ionisation

Le contrat a été signé par l’ESO, et par le CNRS/INSU, institut responsable du consortium le 18 mars 2016, durant la réunion de démarrage à l’Observatoire de Paris, en présence de l’équipe 1 conduite par François Hammer. Le consortium comprend cinq pays moteurs (France, Royaume-Uni, Pays-Bas, Brésil et Allemagne) et six partenaires associés (Finlande, Suède, Espagne, Italie, Autriche et Portugal).

L’instrument, alliant de grandes possibilités multiplexes et une haute résolution spatiale, résoudra de nombreuses questions d’astronomie et de cosmologie. Il étudiera quand et comment les premières galaxies se sont formées, et comment elles ont fusionné pour former de grandes galaxies, telles que la Voie lactée. Il étudiera également la distribution et l’évolution de la matière lumineuse et de la matière noire à toutes les échelles spatiales. Il apportera de nouvelles informations sur la physique des galaxies au-delà du Groupe local, ainsi que sur le centre galactique, la formation et l’évolution des planètes extrasolaires.

Figure 1
Vue de l’instrument MOSAIC (en haut à droite) tel qu’il serait implémenté dans le futur télescope E-ELT. Le fond représente les nombreuses galaxies faibles que l’instrument pourra observer par centaines à la fois.
Crédit : NASA (fond de galaxies), ESO (dessin du télescope) & Consortium MOSAIC (dessin de l’instrument).
1. L’équipe comprend Pascal Jagourel (Observatoire de Paris), Chris Evans (UK-ATC, Edinburgh), Mathieu Puech (Observatoire de Paris), Gavin Dalton (STFC-RALSPACE & Oxford Univ.), Myriam Rodrigues (Observatoire de Paris), Ewan Fitzsimons (STFC-UK-ATC, Edinburgh), Simon Morris (Durham Univ.), Beatriz Barbuy (IAG, Sao Paulo), Jean-Gabriel Cuby (LAM, Marseille), Lex Kaper (Amsterdam Univ.), Martin Roth (AIP, Potsdam), Gerard Rousset (Observatoire de Paris), Richard Myers (Durham Univ.), Olivier Le Fèvre (LAM, Marseille), Alexis Finogenov (Helsinki Univ.), Bruno Castilho (LNA, Itajuba), Goran Ostlin (Stockholm Univ.), Jesus Gallego (Madrid, Computense Univ.), Fabrizio Fiore (INAF-Osservatorio Astronomico di Roma), Bodo Ziegler (Vienna Univ.), Jose Afonso (IA, Lisbon Univ.), Marc Dubbledam (Durham Univ.), Phil Parr Burman (STFC-UK-ATC), Tim Morris (Durham Univ.), Tristan Buey (Observatoire de Paris), Fanny Chemla (Observatoire de Paris), Eric Gendron (Observatoire de Paris), Andreas Kelz (AIP, Potsdam), Isabelle Guinouard (Observatoire de Paris), Ian Lewis (Oxford Univ.), Kevin Middleton (STFC-RALSPACE, Oxford), Ramon Navarro (NOVA), Marie Larrieu (IRAP, Toulouse), Thierry Contini (IRAP, Toulouse), Kjetil Dohlen (LAM, Marseille), Niklas Harald (Goettingen Univ.), David Le Mignant (LAM, Marseille), Yanbin Yang (Observatoire de Paris).

Classé sous :Univers Balisé avec :Communiqué de presse

Marseille à l’heure des sciences écologiques

8 mars 2016 by osuadmin

Le congrès international sfécologie 2016 se tiendra au Palais du Pharo de Marseille du 24 au 28 octobre 2016. Cet événement qui réunira chercheurs et acteurs de l’écologie scientifique du monde entier permettra de faire un point sur les dernières avancées de la recherche en sciences écologiques et de discuter autour des grands enjeux actuels de l’environnement.

Biodiversité, changements globaux, invasions biologiques, communication chimique, évolution et diversification sont autant de thèmes méritant une diffusion large, afin de mieux comprendre le fonctionnement des écosystèmes terrestres et marins à toutes les échelles spatiales et temporelles. Les travaux scientifiques présentés lors du congrès sont cruciaux pour comprendre les services qu’offrent les milieux naturels à nos sociétés et pour entreprendre une gestion durable des effets de l’industrie, de l’agriculture ou de l’urbanisation.

Les organisateurs

  • La Société Française d’Écologie (Sfé), fondée en 1968, est une association reconnue d’utilité publique et membre de l’European Ecological Federation (EEF) et de l’International Association for Ecology (INTECOL). Elle a pour objectif de faire rayonner les sciences de l’écologie en France en promouvant le développement, l’intégration et le partage des connaissances scientifiques de l’écologie sous tous ses aspects.
  • L’Institut Méditerranéen de Biodiversité et d’Écologie marine et continentale (IMBE) rassemble plus de 250 chercheurs spécialistes de l’environnement, qui analysent la biodiversité et le fonctionnement des écosystèmes terrestres et marins. En développant des approches de biologie fondamentale, de modélisation ou de recherche appliquée, l’institut apporte une compétence forte dans les domaines des relations homme-milieu, de la conservation de la biodiversité et de la restauration écologique.

 

Classé sous :Écologie, Environnement Balisé avec :Communiqué de presse

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