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Ressources – OSU Institut Pytheas

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Première observation de la stratification moléculaire dans le disque « Flying Saucer »

25 novembre 2025 by osuadmin

Situé dans la constellation d’Ophiuchus à 120 parsecs de nous, ce disque offre une coupe naturelle permettant de sonder sa structure interne avec une précision inégalée. Grâce à l’interféromètre Alma (Atacama Large Millimeter/submillimeter Array), l’équipe a cartographié plus d’une dizaine de molécules essentielles à la vie, formées à partir d’hydrogène, de carbone, d’azote et d’oxygène. Ces observations ont permis de mesurer, pour chaque molécule, son altitude exacte au-dessus du plan médian du disque et sa répartition radiale. Les chercheuses et chercheurs ont ainsi pu suivre les conditions de température et de densité du gaz à différentes hauteurs, révélant une organisation verticale jusque-là impossible à observer directement dans les autres disques.

Les résultats dévoilent une architecture complexe. À 100 unités astronomiques de l’étoile centrale (soit 100 fois la distance Terre-Soleil), la plupart des molécules cohabitent dans une même couche gazeuse, à une température d’environ 20 kelvins. Le plan du disque est plus froid (9-10Kelvin) et à cette température, la plupart des molécules plus lourdes que H2 condensent sur les grains en formant des manteaux de glaces. Ces observations permettent de tracer en détail cette zone sur le plan où les molécules ont disparu du gaz (e.g. 12CO, CS, CN …) et où des embryons planétaires peuvent se former.

Tomographies des raies moléculaires observées avec ALMA à la résolution de 20 ua. Il s’agit de l’intensité des raies en fonction du rayon et de l’altitude. La couche moléculaire apparaît directement ainsi que le déficit de molécules sur le plan.
Tomographies des raies moléculaires observées avec ALMA à la résolution de 20 ua. Il s’agit de l’intensité des raies en fonction du rayon et de l’altitude. La couche moléculaire apparaît directement ainsi que le déficit de molécules sur le plan. © Dutrey (LAB-CNRS)/ ALMA

Autre découverte majeure : les molécules deutérées (formes enrichies en deutérium) comme le DCN et le N₂D⁺ se trouvent  préférentiellement près du plan médian, exactement comme le prédisaient les modèles théoriques.  À l’inverse, certaines molécules ont été détectées bien au-delà du disque de poussières observé avec Alma, probablement parce que les propriétés des poussières changent et laissent mieux pénétrer le rayonnement stellaire.

Ces observations constituent une avancée majeure pour comprendre la composition physico-chimique des futurs systèmes planétaires et affiner les modèles de formation des planètes autour d’étoiles similaires au jeune Soleil.

- Disque de gaz observé avec ALMA à la résolution d'environ 20 unités astronomiques (1 ua = la distance Terre-Soleil). L'émission (courbes d'égale intensité) due à la molécule CS est en turquoise, celle due à la molécule CN en magenta.
- En orange, émission radio millimétrique due aux poussières vue par ALMA (Atacama Large Millimeter/submillimeter Array).
- L'image de fond est celle de la lumière diffusée par les petites poussières observées avec le HST (Hubble Space Telescope) en proche infrarouge.
– Disque de gaz observé avec ALMA à la résolution d’environ 20 unités astronomiques (1 ua = la distance Terre-Soleil). L’émission (courbes d’égale intensité) due à la molécule CS est en turquoise, celle due à la molécule CN en magenta. – En orange, émission radio millimétrique due aux poussières vue par ALMA (Atacama Large Millimeter/submillimeter Array). – L’image de fond est celle de la lumière diffusée par les petites poussières observées avec le HST (Hubble Space Telescope) en proche infrarouge. Crédit : ALMA / HST / N. Grosso – Dutrey et al. 2025, Guilloteau et al. 2025

Classé sous :Univers Balisé avec :Résultat scientifique

Les Hackathons des Calanques

25 novembre 2025 by osuadmin

Les Calanques, c’est notre terrain de jeu, notre décor, notre fierté… mais c’est aussi un endroit fragile, qui subit chaque jour les effets de la pollution et des déchets abandonnés. Il est donc temps d’agir !

C’est dans cette optique que le Parc National des Calanques déploie un Plan de Lutte contre les Déchets Abandonnés (PLDA). Concrètement, ça regroupe toutes les actions pour prévenir les déchets, sensibiliser les publics, et soutenir des initiatives locales pour un territoire plus propre et plus durable.

Premier parc à bénéficier du soutien de CITEO, il peut ainsi financer et booster ses actions : réduction à la source, opérations de nettoyage, campagnes de sensibilisation… et surtout mobilisation des acteur·rices du territoire.

​Et c’est là que vous entrez en jeu !

​Résultat d’une collaboration entre Le Monde des Possibles et le Parc National des Calanques, nous lançons cette année la première édition de ce nouveau programme engagé, à travers une série d’ateliers participatifs pour tous·tes les étudiant·es de Luminy, toutes filières confondues.

Objectif : trouver ensemble des solutions concrètes pour lutter contre les déchets, que ce soit via l’innovation, la com’, l’aménagement, la logistique ou l’engagement citoyen.

En clair, on ne parle pas que de sensibilisation, vous allez être acteur·rices de votre environnement, imaginer et tester des actions qui peuvent vraiment changer les choses, sur le campus comme dans le Parc.

​En s’implantant dans le campus, ce programme vise à mobiliser un max d’étudiant·es, pour protéger les Calanques tout en transformant Luminy en campus pilote d’engagement écologique.

En bref : vous contribuez à un projet concret, utile, et qui vous implique directement dans la préservation de votre environnement.

Classé sous :Non classé Balisé avec :Enseignement

Casting étudiants engagés

21 novembre 2025 by osuadmin

Tu fais partie d’une de ces composantes :
FSS
IMPGT
FEG
SMPM
Droit
Pharma
Polytech
IUT
INSPE
Centrale Marseille ou Sciences Po Aix

Tu es engagé.e en tant que :
Membre du bureau d’une asso étudiante
Bénévole d’une asso civile
Volontaire international
Sapeur-pompier volontaire
Réserviste dans l’armée ou la gendarmerie
Sportif.ve de haut-niveau ou artiste de haut-niveau
Emploi étudiant engagé

Dans ce cas, participe au casting pour témoigner de ton engagement en vidéo !

Tu peux nous écrire à engagement-etudiant@univ-amu.fr pour candidater !

Nous attendons ton témoignage inspirant !

Classé sous :Non classé Balisé avec :Enseignement

Des femmes et des enfants néandertaliens victimes d’un cannibalisme sélectif à Goyet

20 novembre 2025 by osuadmin

L’étude d’un assemblage d’os humains néandertaliens découvert dans la Troisième caverne de Goyet (Belgique) met en évidence un cannibalisme sélectif ayant ciblé principalement des femmes adultes et des enfants il y a entre 41 000 et 45 000 ans. Le profil biologique des victimes, identifié pour la première fois, dévoile qu’elles faisaient partie d’un groupe extérieur à la communauté où elles ont probablement été amenées pour y être consommées à des fins d’alimentation, plutôt que dans un contexte rituel, comme le suggère la présence de traces similaires à celles retrouvées sur les os d’animaux consommés par les occupants du site de Goyet1. Tout juste publiés dans Scientific Reports, ces travaux sont menés par une équipe de recherche internationale et impliquant des chercheurs du CNRS2, de l’Université de Bordeaux et de l’Université d’Aix-Marseille. 

En replaçant l’ensemble de ces analyses dans le contexte de la fin du Paléolithique moyen3, marqué au nord de l’Europe par une forte diversité culturelle au sein des groupes Néandertaliens et par la présence émergente d’Homo sapiens dans les régions voisines, cette forme de cannibalisme dirigée contre des individus extérieurs particuliers pourrait refléter l’existence de tensions territoriales entre groupes, qui précèdent la disparition des Néandertaliens dans la région.

Ces conclusions s’appuient sur dix ans de recherche qui ont impliqué une réévaluation de la collection de Goyet4 à l’aide d’analyses ADN, de datations radiocarbone, de mesures isotopiques pour déterminer l’origine géographique des individus et de reconstitutions virtuelles permettant l’analyse morphologique de ces ossements humains parfois très fragmentés.

1. Sélection des membres inférieurs et fracturation systématique des os pour accéder à la moelle, plus nutritive.
2. culture, environnement et anthropologie » (CNRS/Ministère de la Culture/Université Bordeaux). D’autres chercheurs du Centre de recherche et d'enseignement des géosciences de l'environnement (Aix-Marseille Univ/CNRS/INRAE/IRD) sont impliqués.
3. Période de la Préhistoire qui s’étend d’environ 300 000 ans avant notre ère à 40 000 ans avant notre ère. En Europe elle est principalement associée aux Néandertaliens.
4. Hébergée à l'Institut royal des sciences naturelles de Belgique (Bruxelles, Belgique).

Classé sous :Interactions Homme-Milieu, Paléontologie Balisé avec :Brève

Terres rares et souveraineté nationale : l’équation impossible ?

17 novembre 2025 by osuadmin

Ils peuplent aussi bien les éoliennes, les voitures électriques que les écrans d’ordinateur et de smartphone. Ces métaux discrets mais essentiels aux outils technologiques actuels, ce sont les terres rares. Au nombre de dix-sept, elles sont réputées pour leurs propriétés chimiques, optiques, magnétiques et catalytiques uniques… et font à ce titre l’objet d’une véritable ruée minière à l’échelle mondiale. Depuis 2015, la production mondiale en terres rares a enregistré une croissance annuelle moyenne de 13 % ; celle-ci est encore plus soutenue pour les terres rares utilisées par les technologies de décarbonation, comme le néodyme, qui a vu sa demande doubler en dix ans.

Or, les terres rares posent un éminent problème de souveraineté nationale : la France ne dispose d’aucun gisement exploitable à court terme sur son territoire. Le problème vaut également pour l’Europe, qui, malgré quelques gisements en Suède et au Groenland, dépend principalement d’importations étrangères… et principalement de Chine. Ce dernier pays s’est imposé comme l’épicentre de la chaîne de valeur mondiale, de l’extraction à la production manufacturière. Si la Chine ne possède que 35 % des ressources1 et 44 % des réserves2 estimées en terres rares, elle a depuis les années 2000 fortement augmenté son potentiel industriel pour représenter aujourd’hui jusqu’à 70 % de l’extraction mondiale de minerais et 85 à 95 % du raffinage et de la transformation.

Les éoliennes marines concentrent une forte proportion de terres rares.
Les éoliennes marines concentrent une forte proportion de terres rares. Crédit : Jesse De Meulenaere / Unsplash

Dans ces conditions, la Mission pour l’expertise scientifique du CNRS a lancé une expertise scientifique collective sur l’utilisation responsable des terres rares. Pour ce faire, un collectif de 17 chercheurs et chercheuses et l’aide plus ponctuelle de 13 autres a étudié un corpus de plus de 4 000 publications scientifiques. Avec un objectif : apporter à la puissance publique un éclairage sur les leviers existants pour réduire la dépendance française à ces métaux aujourd’hui omniprésents dans notre quotidien et essentiels à l’industrie dans bien des secteurs.

Une question de souveraineté

Pour échapper au monopole chinois, les puissances publiques européennes incitent d’une part à la diversification des sources d’approvisionnement et, d’autre part, à la relocalisation des mines sur le Vieux Continent. C’est tout l’enjeu du Règlement sur les matières premières critiques, adopté par le Parlement européen en 2024, et du plan RESourceEU annoncé par la présidente de la Commission européenne fin octobre 2025. En plus de ce texte européen, la France s’est dotée d’une délégation interministérielle aux approvisionnements en minerais et métaux stratégiques et d’un observatoire français des ressources minérales pour les filières industrielles. L’enjeu lie éminemment souveraineté politique et indépendance économique, comme le résume Clément Levard, l’un des trois copilotes de l’expertise et directeur de recherche au CNRS au sein du Centre de recherche et d’enseignement des géosciences de l’environnement3 : « À travers cette expertise, il s’agit d’étudier tous les leviers qui permettent de réduire notre dépendance aux approvisionnements extérieurs ».

Les batteries des voitures électriques se sont partiellement émancipées des terres rares... au profit d'autres matériaux critiques.
Les batteries des voitures électriques se sont partiellement émancipées des terres rares… au profit d’autres matériaux critiques. Crédit : Michael Fousert / Unsplash

Quelques innovations technologiques ont déjà permis de diminuer la consommation de terres rares, à l’image de l’optimisation des moteurs de véhicules électriques pour en réduire la quantité d’aimants permanents, composés principalement de néodyme. Mais cette substitution n’a parfois fait que « déplacer la dépendance vers d’autres matériaux critiques », remarque Clément Levard. Celui-ci prend pour exemple le développement des batteries Li-ion en remplacement des batteries NiMH ; si les voitures électriques peuvent, grâce à ces nouvelles batteries, s’émanciper en partie des terres rares, c’est au prix d’une nouvelle dépendance au lithium, au cobalt et au manganèse. En outre, ces ruptures technologiques restent exceptionnelles, car dans bien des produits finis, comme la fibre optique, « les terres rares sont peu ou pas substituables en raison de leurs propriétés uniques, au risque d’une baisse de performance », argumente le chercheur. 

Le recyclage, Eldorado pour l’industrie ?

C’est pourquoi, plus qu’à leur substitution complète, l’Europe pousse à la diversification de l’approvisionnement en terres rares. Or, hormis quelques gisements en Suède et au Groenland, l’Union européenne possède peu de minerais à sa portée. C’est pourquoi elle ambitionne une autre voie que l’extraction primaire : le recyclage. Celui-ci est désormais perçu par les puissances publiques comme « le principal levier d’approvisionnement local », précise Romain Garcier, autre copilote et maître de conférences à l’École normale supérieure de Lyon au sein du laboratoire Environnement, ville et société4. Le plan RESourceEU prévoit ainsi de réutiliser et recycler les produits et matériaux critiques, dont les terres rares, contenus dans les produits européens. Si le recyclage a de grandes vertus environnementales, avec une empreinte carbone nettement inférieure à celle de l’extraction primaire, il dispose surtout d’un immense potentiel industriel. Et pourtant, « actuellement, moins d’1 % des terres rares sont recyclées au niveau mondial, un chiffre en stagnation depuis le début des années 2010 », détaille le géographe. Quelques entreprises, parmi lesquelles la start-up grenobloise MagREEsource, issue de l’Institut Néel du CNRS, ont récemment annoncé démarrer des projets de recyclage.

Issue du CNRS, la start-up grenobloise MagREEsource recycle les aimants des équipements électroniques, composés de terres rares.
Issue du CNRS, la start-up grenobloise MagREEsource recycle les aimants des équipements électroniques, composés de terres rares. Crédit : MagREEsource

Le potentiel augmente encore lorsqu’on se penche sur les sources secondaires issues de déchets industriels, comme les résidus de bauxite, ou miniers, à l’instar des cendres de charbon. En Europe, une étude estime qu’on pourrait extraire jusqu’à 270 000 tonnes de ces métaux à partir des résidus de bauxite stockés ces dernières années soit 70 % de la production mondiale en 2024. Même constat de l’autre côté de l’Atlantique : aux États-Unis, une récente étude scientifique a mis en lumière le fait que les cendres de charbon contiendraient environ 11 millions de tonnes de terres rares, soit près de huit fois les réserves nationales connues du pays.

Toutefois, la mine urbaine des terres rares n’a rien d’un Eldorado à portée de main. Plusieurs freins s’opposent à l’industrialisation du recyclage, à commencer par un obstacle de taille : la dispersion des terres rares dans les technologies. Romain Garcier en donne un exemple frappant : « Il faudrait recycler deux millions de smartphones pour récolter la même quantité de terres rares que dans une seule éolienne marine ». Or, cette dissémination des terres rares dans de petits objets – LED, aimants de téléphones portables, etc. – constitue un frein à la collecte en vue du recyclage. Par ailleurs, aussi optimal puisse-t-il être, le recyclage ne résoudra toujours qu’une partie de l’équation. Comme le souligne le copilote, « à l’échelle mondiale, la hausse de la demande en terres rares est si forte que le recyclage à lui seul ne peut pas suffire à la satisfaire ». 

Les défis sociaux et environnementaux des mines

Aussi, par-delà le recyclage et la sobriété des usages, l’expertise scientifique explore les alternatives de production plus responsables. Toutefois, le retour des mines en Europe n’est pas sans poser de questions, notamment sur l’assentiment donné par les populations riveraines. Pascale Ricard, troisième copilote et chargée de recherche au CNRS au sein du laboratoire Droits international, comparé et européen5, souligne ainsi que le Règlement sur les matières premières critiques « privilégie l’approvisionnement et la relocalisation à la prise en compte des principes environnementaux et démocratiques. Or, précise-t-elle, la relocalisation des activités minières soulève des enjeux sociaux et environnementaux majeurs. La réouverture des mines suppose un débat démocratique sur les besoins de l’approvisionnement en tant que tel ». Même si, depuis la fermeture de la plupart des mines en Europe au tournant du millénaire, le droit minier a considérablement renforcé la prise en compte de l’environnement et des populations locales, il n’empêche que le retour des mines suscite d’ores et déjà des contestations politiques. La spécialiste du droit prend pour exemple la mobilisation à l’encontre du projet de mine de lithium à Echassières, dans l’Allier, qui a débuté dès son annonce en 2022.

Le retour des mines en Europe soulève des enjeux sociaux et environnementaux majeurs.
Le retour des mines en Europe soulève des enjeux sociaux et environnementaux majeurs. Crédit : Daniel Esteves / Unsplash

Pour contourner les oppositions citoyennes, l’industrie pourrait se tourner vers les richesses des océans, en particulier des fonds marins. En effet, comme le rappelle Pascale Ricard, « la France possède le deuxième plus grand domaine maritime mondial avec plus de 10 millions de km². Celui-ci contient probablement de grandes réserves de terres rares dans ses territoires ultra-marins ». Des terres rares qui se nicheraient dans les fameux nodules polymétalliques au fond des océans. Or, alerte la chercheuse, « d’une part les quantifications de ces réserves sont méconnues et, d’autre part, l’exploitation des nodules polymétalliques au fond des océans pose d’évidents problèmes environnementaux, d’autant que plane sur cette extraction la menace d’un probable moratoire – soutenu par la France elle-même ». 

Aussi, la France ne peut pas se passer de l’importation de terres rares dans l’immédiat, concluent les trois copilotes de l’expertise scientifique. « La sobriété en matière d’usages en terres rares peut contribuer à sécuriser les approvisionnements nationaux, mais elle suppose pour ce faire une perspective holistique, à savoir réduire, recycler et produire autrement », explicite Clément Levard. 

En bien ou en mal, notre avenir continuera de s’écrire avec les terres rares.

Les nodules polymétalliques pourraient receler d'immenses réserves de terres rares... mais leur exploitation ne serait pas sans dommages sur les fonds marins.
Les nodules polymétalliques pourraient receler d’immenses réserves de terres rares… mais leur exploitation ne serait pas sans dommages sur les fonds marins. Crédit : Philippe Saget (Philweb) CC BY-SA 3.0 / Ifremer, Nodinaut 2004
1. Quantité totale de terres rares présente dans les minerais du sous-sol, exploitable ou non à un moment donné.
2. Partie d’une ressource qui peut être extraite de manière économiquement rentable avec les techniques disponibles et selon les conditions légales et environnementales actuelles.
3. Aix-Marseille Université / CNRS / Inrae / IRD.
4. CNRS / École nationale des travaux publics d’État / ENS de Lyon / Ensa Lyon / Université Jean-Monnet / Université Lyon-II Lumière / Université Lyon-III Jean-Moulin.
5. Aix-Marseille Université / CNRS.

Classé sous :Environnement, Terre Balisé avec :Communiqué de presse

Journées Portes Ouvertes

17 novembre 2025 by osuadmin

JPO 2026
Samedi 31 Janvier 2026
Mercredi 4 Février 2026
Samedi 7 Février 2026
Mercredi 11 Février 2026

  • Informations sur les formations généralistes et professionnelles, les programmes et méthodes de travail, les cursus et passerelles, les débouchés professionnels…
  • Échanges avec des enseignants-chercheurs sur les projets de formation, des chargées d’orientation et des conseillères en formation du Service Universitaire d’Insertion et d’Orientation ;
  • Découverte des campus lors de visites guidées (sur certains sites) ;
  • Renseignements auprès des services dédiés à la vie étudiante (Bureau de la Vie Étudiante, Relations Internationales, CROUS,
  • Bibliothèques Universitaires…) ;
  • Rencontres et dialogues avec des étudiants

Retrouvez le programme par composante : https://www.univ-amu.fr/fr/public/journees-portes-ouvertes#section-1

Classé sous :Non classé Balisé avec :Enseignement

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