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Ressources – OSU Institut Pytheas

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Florence Sylvestre, chevalier de la légion d’honneur

19 juillet 2023 by osuadmin

De la paléoclimatologie andine à la gestion des eaux sahéliennes

Florence Sylvestre vient d’être promue au grade de chevalier de la Légion d’honneur, en reconnaissance de sa carrière et de son implication dans l’enseignement supérieur et la recherche au Tchad. La chercheuse analyse les diatomées, des algues microscopiques présentes dans tous les milieux aquatiques, pour mieux connaître le climat passé et actuel. Après avoir mené ses recherches en Amérique latine, elle s’installe au Tchad où elle estime les ressources en eau du pays grâce à une approche multidisciplinaire et en partenariat avec les institutions tchadiennes. 
IRD le Mag’ la met à l’honneur dans cet article.

Originaire du Sud-Est de la France, Florence Sylvestre effectue ses études de géologie au Muséum national d’Histoire naturelle (MNHN) à Paris. À cette époque, elle rencontre Michel et Simone Servant, deux spécialistes des paléoclimats1 tropicaux à l’IRD (alors Orstom). Ils proposent à la jeune étudiante de s’envoler pour la Bolivie et d’étudier l’évolution hydrologique passée des lacs de l’Altiplano. Ils l’invitent à étudier plus particulièrement les diatomées, microorganismes unicellulaires présents dans tous les milieux aquatiques. Excellents bio-indicateurs2, ces algues renseignent sur la qualité de l’eau et apportent des informations sur l’évolution des milieux aquatiques dans lesquels elles se développent.

Passion diatomées

Durant plusieurs mois, la doctorante travaille sur des archives sédimentaires prélevées dans les lacs de ce plateau situé à plus de 3 600 mètres d’altitude et détaille dans sa thèse, pour la première fois, les variations hydrologiques et climatiques de l’Altiplano au cours des 15 000 dernières années. Le ton est donné, sur les pas de ses « parents scientifiques » comme elle les appelle, Florence Sylvestre consacrera sa carrière à l’étude des paléoclimats tropicaux et aux diatomées.

« Ces microorganismes sont fascinants, leurs squelettes de verre sont très beaux et on en compte plus de 70 000 espèces différentes, souligne-t-elle. Les diatomées sont un outil essentiel pour reconstituer les climats passés mais également analyser la qualité de l’eau. »

Littoraux brésiliens et lacs argentins

De retour en France, Florence Sylvestre est nommée maîtresse de conférence, à seulement 27 ans, à l’université d’Angers. Durant sept années, elle poursuit ses travaux sur l’Altiplano bolivien. Elle étend ses recherches à d’autres environnements de l’Amérique latine, tels que les littoraux brésiliens, guyanais et les lacs argentins. Après une expérience de six mois au Canada où elle étudie l’environnement arctique, elle devient à 35 ans directrice de recherche à l’IRD, au Centre européen de recherche et d’enseignement des géosciences de l’environnement (Cerege).

Isotopes et systèmes lacustres tchadiens

La chercheuse y poursuit son travail sur l’Amérique latine mais s’intéresse dès la fin des années 2000 à l’Afrique et plus particulièrement au lac Tchad. « Tout le monde s’alarmait de sa disparition alors que selon les prédictions du changement climatique, les pluies allaient augmenter au Sahel. J’ai donc lancé un projet de recherches sur ce lac et son bassin versant et j’ai coordonné de nombreuses missions notamment au Tchad. Les résultats sont aujourd’hui confirmés : le lac Tchad n’est pas en train de s’assécher, bien au contraire ! »

Elle y analyse les isotopes stables de l’oxygène des diatomées.

En rejoignant le Cerege, Florence Sylvestre contribue au développement d’une méthodologie novatrice utilisant la composition isotopique3 de l’oxygène des diatomées comme traceur des paramètres climatiques. Elle y inclut des approches de modélisation et d’hydrologie spatiale pour mieux comprendre les systèmes lacustres et leur cycle hydrologique passé et actuel. Son objectif : estimer la ressource en eau des lacs et apporter cette expertise aux institutions locales pour une meilleure gouvernance. Le Tchad des lacs, ouvrage qu’elle a codirigé et publié en 2019 s’ancre dans cette vision et propose d’appréhender de manière multidisciplinaire la trajectoire des zones humides sahéliennes face aux enjeux des changements globaux.

Partenariat local

Après plusieurs missions de longue durée, Florence Sylvestre s’installe en 2020 au Tchad où elle est affectée au département Géologie de l’université de N’Djamena. Représentante de l’IRD au Tchad, où elle est la seule expatriée de l’Institut, elle s’emploie à mettre en place des partenariats et à former des étudiants qui sont aujourd’hui enseignants-chercheurs au sein de leur université.  Elle codirige également le LMI VIABELEAUX avec le Dr Zakinet Dangbet de l’université de N’Djamena. « Seul le lac Tchad était étudié alors qu’il en existe quatre autres de grande dimension et importants pour le développement économique du pays, explique Florence Sylvestre. Grâce au LMI, des étudiants tchadiens partent sur le terrain pour étudier ces lacs en lien avec des chercheurs en sciences humaines, des géologues et des hydrologues. L’objectif est de proposer une approche de gestion intégrée et inclusive des territoires partagée par tous les acteurs locaux. » Enfin, elle s’implique pour la promotion des femmes tchadiennes dans l’Enseignement supérieur et la Recherche au côté de l’ambassade de France.

Après avoir été promue chevalier dans l’ordre national du mérite en 2014, la directrice de recherche est aujourd’hui promue au grade de chevalier de la Légion d’honneur pour son implication dans l’enseignement supérieur et la recherche au Tchad. « C’est certes la reconnaissance de mon travail et de mon implication à faire rayonner les géosciences de l’environnement, mais aussi celle et surtout des avancées de la recherche menées ici avec mes collègues tchadiens au cours de ces dix dernières années », conclut-elle.

 

Source IRD Le Mag’ : https://www.cerege.fr/fr/accueil-cerege/focus-florence-sylvestre-chercheuse-en-paleoclimatologie-au-service-des-populations/

 

1. Climat d’une époque géologique passée.
2. Groupe d’organismes dont la présence ou l’état renseigne sur certaines caractéristiques écologiques d’un écosystème.
3. Proportions des divers isotopes, ou versions, d’un élément chimique.

Classé sous :Climat, Paléontologie Balisé avec :Distinction

La journée des thèses du LAM

20 juillet 2023 by osuadmin

La Journée des thèses 2023 s’est déroulée dans l’amphithéâtre du LAM le lundi 10 juillet. L’objectif de cet événement annuel est de présenter la nouvelle génération de doctorants au reste du corps professionnel du LAM. La journée a commencé par les présentations de groupe traditionnelles, suivies de courtes présentations individuelles des étudiants. Pour les nouveaux arrivants, ces présentations consistaient non seulement à présenter l’idée générale du travail à effectuer pendant leur thèse, mais aussi à se présenter de manière informelle.
La journée des doctorants de cette année s’est distinguée des précédentes par l’ajout d’une session de posters destinée à être accessible au grand public, dans le but de former les doctorants à communiquer leur travail de manière vulgarisée.
Le meilleur poster de cette année a été décerné à la nouvelle étudiante Salomé Grouffal, doctorante dans le groupe des systèmes planétaires, qui a été honorée par notre chère Françoise Maxant.

Classé sous :Univers Balisé avec :Enseignement

Première lumière pour Hirise, nouvel instrument d’étude des exoplanètes

13 juillet 2023 by osuadmin

C’est une nouvelle corde à ajouter à l’arc du Very Large Telescope (VLT) de l’Observatoire européen austral (ESO). Plus exactement, le VLT vient d’être enrichi d’un nouvel instrument au concept novateur permettant de combiner la puissance de deux de ses cordes déjà installée. Ce nouveau venu appelé Hirise couplera l’imageur d’exoplanètes Sphere et le spectrographe à très haute résolution Crires+. Le premier a une très bonne résolution pour l’imagerie directe des exoplanètes, mais le second est 2000 fois plus puissant pour séparer et analyser la lumière émise par ces planètes, ce qui permet de remonter à la composition de leur atmosphère. Ainsi, en associant ces deux instruments grâce à des fibres optiques, Hirise permettra d’approfondir l’étude de planètes déjà connues. Il a collecté avec succès sa première lumière depuis le VLT dans le désert d’Atacama au Chili le 9 juillet 2023.

Hirise a bénéficié d’une subvention ERC Starting et a été développé au sein du Laboratoire d’astrophysique de Marseille (CNRS/CNES/Aix-Marseille Université). Il a aussi profité de l’expertise des équipes de l’Institut de planétologie et d’astrophysique de Grenoble (CNRS/Université Grenoble Alpes), du Laboratoire Lagrange (CNRS/Observatoire de la Côte d’Azur/Université Côte d’Azur).

Module d’injection de fibres du projet Hirise dans l’instrument SPHERE, sur le Très Grand Télescope (VLT) de l’Observatoire européen austral, au Chili. SPHERE permet d’observer en imagerie directe les exoplanètes autour d’étoiles proches de notre système solaire. Les instruments d’imagerie à haut contraste comme celui-ci détectent les jeunes exoplanètes géantes dans le proche infrarouge, mais la faible résolution spectrale de leurs spectrographes à champ intégral limite leurs capacités à caractériser ces exoplanètes. Pour dépasser cette limitation, le projet Hirise (High-Resolution Imaging and Spectroscopy of Exoplanets) combine les capacités de SPHERE avec celles d’un autre instrument du VLT, le spectrographe à haute résolution CRIRES+. Le module d’injection de fibres prélève le signal de l’exoplanète connue par imagerie grâce à SPHERE, et cette lumière est amenée par un toron de fibres jusqu’à un module d’extraction qui l’envoie dans CRIRES+. L’association de ces deux instruments permettra aux scientifiques de mieux comprendre la formation, l’évolution et la composition des exoplanètes observées en imagerie directe. UMR5274 Institut de planétologie et d’astrophysique de Grenoble ,UMR7326 Laboratoire d’Astrophysique de Marseille
Installation du toron de fibres reliant les instruments SPHERE et CRIRES+ dans le cadre du projet Hirise, sur le Très Grand Télescope (VLT) de l’Observatoire européen austral, au Chili. SPHERE permet d’observer en imagerie directe les exoplanètes autour d’étoiles proches de notre système solaire. Les instruments d’imagerie à haut contraste comme celui-ci détectent les jeunes exoplanètes géantes dans le proche infrarouge, mais la faible résolution spectrale de leurs spectrographes à champ intégral limite leurs capacités à caractériser ces exoplanètes. Pour dépasser cette limitation, le projet Hirise (High-Resolution Imaging and Spectroscopy of Exoplanets) combine les capacités de SPHERE avec celles du spectrographe à haute résolution CRIRES+. Un module d’injection de fibres prélève le signal de l’exoplanète connue par imagerie grâce à SPHERE, et cette lumière est amenée par le toron de fibres jusqu’à un module d’extraction qui l’envoie dans CRIRES+. L’association de ces deux instruments permettra aux scientifiques de mieux comprendre la formation, l’évolution et la composition des exoplanètes observées en imagerie directe. UMR5274 Institut de planétologie et d’astrophysique de Grenoble ,UMR7326 Laboratoire d’Astrophysique de Marseille

Retrouvez toutes les photos d’Hirise sur CNRS Images.

Source CNRS : https://www.cnrs.fr/fr/premiere-lumiere-pour-hirise-nouvel-instrument-detude-des-exoplanetes

Classé sous :Univers Balisé avec :Brève

Succès du lancement du satellite Euclid de l’ESA depuis Cap Canaveral en Floride, États-Unis – Des scientifiques marseillais aux premières loges de cette mission spatiale

1 juillet 2023 by osuadmin

Samedi 1er juillet 2023, le satellite Euclid de l’ESA, destiné à explorer l’évolution de l’Univers sombre, a été mis en orbite par un lanceur Falcon 9 de la société SpaceX depuis la base spatiale américaine de Cap Canaveral en Floride aux États-Unis.

Dans les bureaux de deux laboratoires marseillais c’est le soulagement et la joie… combinés à l’impatience pour certains de recevoir les premières données. En effet ; l’équipe Euclid-NISP du Laboratoire d’Astrophysique de Marseille, a assuré la maitrise d’œuvre et le développement technique de l’instrument NISP, en étroite collaboration avec le CNES. Le Centre de Physique des Particules de Marseille avait quant à lui la responsabilité scientifique de l’instrument. Les scientifiques de ces deux laboratoires seront donc en première ligne pour la collecte et l’analyse des données.

La mission Euclid est une mission principalement dédiée à la cosmologie, précisément sur l’étude de l’origine, de la nature, de la structure et de l’évolution de l’Univers. Elle a pour but d’accroître nos connaissances sur deux composantes encore mystérieuses de notre Univers, l’énergie noire et la matière noire. Développé pour explorer l’évolution de l’Univers sombre, Euclid créera une carte 3D de l’Univers, avec le temps comme troisième dimension, en observant des milliards de galaxies jusqu’à 10 milliards d’années-lumière, dans plus d’un tiers du ciel.

Classé sous :Univers Balisé avec :Communiqué de presse

14e Salon des Masters

1 mars 2023 by osuadmin

Une occasion pour tous les étudiants d’Aix-Marseille Université ou non de rencontrer et d’échanger avec les enseignants-chercheurs responsables des mentions présentes et de découvrir toutes nos formations après un bac+3 ou 4 !

Une occasion pour tous les étudiants d’Aix-Marseille Université (ou non !) de rencontrer et d’échanger avec les enseignants-chercheurs responsables des mention présentes.

Tous les domaines sont concernés : arts, lettres, langues, sciences humaines et sociales, droit et sciences politiques, économie et gestion, santé, sciences et technologies, métiers de l’enseignement.

Samedi 11 mars 2023 – de 10h à 17h
Le Cube, Campus Aix, Quartier des Facultés – 29 av. Robert Schuman – 13628 Aix-en-Provence

Conférence
10h30 et 15h00 : comment booster sa candidature en master ?

Ce sera également l’occasion de parler de la plateforme nationale : Mon Masters !

Classé sous :Non classé Balisé avec :Enseignement

Les grandes failles de Californie sont lisses à la profondeur où se produisent les séismes

4 juillet 2023 by osuadmin

La relocalisation précise des séismes montre des failles présentant des surfaces lisses, planes ou arquées, sur des échelles allant de quelques centaines de mètres à quelques dizaines de kilomètres et ce, à la profondeur sismogène. Cette régularité peut jouer un rôle crucial dans la genèse des grands séismes, et peut transformer notre compréhension de la physique de la rupture et des risques sismiques.

Le comportement physique des failles, et les risques sismiques qui en découlent, dépendent fortement de leur caractère rugueux ou lisse à la profondeur ou l’énergie est libérée lors des tremblements de terre. À cette profondeur d’environ 4-15 km en Californie, la localisation des séismes a suggéré que les failles sont irrégulières aux échelles supérieures au kilomètre. De plus, le tracé des failles cartographiées en surface est aussi généralement complexe et présente des décalages à toutes les échelles. Ceci amène à supposer une forte rugosité des failles majeures en profondeur, la rupture d’un grand séisme reviendrait donc à essayer de faire glisser deux boites à œufs le long de leurs côtés bosselés.

Les auteurs dont un chercheur du CNRS-INSU (voir encadré), appliquent une nouvelle procédure de localisation des séismes à de grandes séquences de tremblements de terre et à la microsismicité le long de failles décrochantes en Californie. Cette méthode multi-échelle permet de corriger certains effets de distorsion et la relocalisation des séismes révèlent que les surfaces de failles sont lisses en profondeur, planes ou arquées sur des échelles allant de quelques centaines de mètres à quelques dizaines de kilomètres. Les scientifiques démontrent donc que la rupture sismique ressemble davantage à des boites à œufs glissant sur leurs côtés lisses, et ceci a des conséquences évidentes. La présence en profondeur de surfaces lisses à plusieurs échelles dans les zones de failles décrochantes majeures peut influencer l’initiation, la rupture, la direction et l’arrêt des ruptures sismiques, et ces failles lisses sont peut-être même nécessaires pour que de grands tremblements de terre se produisent. Ces résultats peuvent aider à cartographier l’aléa sismique et viennent renforcer les travaux récents sur les ruptures en surface. Ces travaux montrent que les ruptures en surface reflètent en grande partie des déformations secondaires peu profondes et souvent complexes, et non les surfaces de glissement sismique actives en profondeur.

Classé sous :Surface continentale, Terre Balisé avec :Communiqué de presse, Résultat scientifique

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