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Ressources – OSU Institut Pytheas

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Juno identifie l’empreinte aurorale manquante de la lune Callisto sur les pôles de Jupiter

4 septembre 2025 by osuadmin

Parmi les intenses émissions aurorales  présentes sur  les  pôles de  Jupiter,  certaines résultent  de  l’interaction entre  les  lunes  Galiléennes  – Io,  Europe,  Ganymède et  Callisto  – et  l’environnement  de particules  chargées  autour de  Jupiter.  Ces émissions induites  par  les lunes,  observées  à la  fois  dans les  longueurs  d’ondes  ultraviolettes,  visibles,  infrarouges et  radios  et sans  équivalent  sur Terre, sont appelées empreintes aurorales. 

 Grâce au  télescope  spatial  Hubble, les  empreintes  aurorales ultraviolettes  de  trois des  quatre  lunes Galiléennes  –  Io,  Europe et  Ganymède  – ont  été  clairement identifiées  et  étudiées depuis  le  début des  années 2000 .  Depuis Juillet 2016 ,  la  mission  Juno en  orbite  autour de  Jupiter  permet de  poser  un nouveau  diagnostic  sur les  propriétés  de ces  empreintes  aurorales  et les  mécanismes  physiques à  leur  origine grâce  à  des observations  répétées  acquises lors  de  survols rapprochés  des  régions  aurorales de  Jupiter.  Malgré  cela, aucune  détection  claire de  l’empreinte  aurorale  de Callisto,  la  quatrième lune  Galiléenne  la plus  distante  de Jupiter,  n’avait  été rapportée.  Une  telle détection  est  en effet  rendue  complexe par  sa  faible brillance  attendue,  mais aussi  à  cause de  sa  proximité avec  d’autres  émissions aurorales  de  Jupiter, bien  plus  intenses. 

L’empreinte  aurorale ultraviolette  de  Callisto révélée par l’instrument  UVS 
Une  étude récemment  publiée  dans la  revue  Nature  Communications,  menée par  une  équipe de  scientifiques  français (voir encadré),  montre  cependant qu’il  existe  des opportunités  d’identifier  l’empreinte  aurorale ultraviolette  de  la lune  Callisto.  En utilisant  les  observations de  l’instrument  UVS  (UltraViolet Spectrometer)  à  bord de  la  mission spatiale  Juno  de la  NASA,  ils ont  ainsi  montré qu’en  Septembre  2019, les  émissions  aurorales  principales de  Jupiter  ont été  significativement  déplacées de  leur  position habituelle  sur  les pôles  de  Jupiter. Ce décalage  résulte  d’une expansion  globale  de la  magnétosphère  de  Jupiter à  la  suite d’un  changement  des propriétés  du  vent  solaire, ce  flux  permanent de  particules  provenant du  Soleil  se propageant  dans  le milieu  interplanétaire  et interagissant  avec  les objets  du  Système solaire.  En  conséquence, l’empreinte  aurorale  ultraviolette de  Callisto,  habituellement  masquée par  ces  intenses émissions  aurorales,  se révèle.  Pour  la première  fois,  les  empreintes aurorales  des  quatre lunes galiléennes sont observéessimultanément sur le pôle nord de Jupiter. 

 Les mesures  réalisées  par Juno  conjointement  aux observations  ultraviolettes,  notamment celles  d’électrons,  obtenues grâce  à  l’instrument JADE  (Jupiter  Auroral  Distributions Experiment)  auquel  l’IRAP a  contribué,  et d’ondes,  montrent  que les  empreintes  aurorales des  quatre  lunes  Galiléennes  sont générées  par  des mécanismes  physiques  similaires. En  confirmant  l’existence de  l’empreinte  aurorale de  Callisto  avec un  niveau  de détail  sans  précédent, cette  étude  complète ainsi notre compréhension des couplages lunes-planètedans le système de Jupiter. 

Juno-UVS observe le portrait de famille complet des empreintes aurorales des lunes Galiléennes
Juno-UVS observe le portrait de famille complet des empreintes aurorales des lunes Galiléennes, signatures du couplage électromagnétique entre les lunes et Jupiter, lors de sa 22e orbite autour de la planète géante(12/09/2022). © NASA/JPL-Caltech/MSSS/SwRI/Gill/ Jónsson/Perry/Hue/Rabia

Classé sous :Univers Balisé avec :Résultat scientifique

COSMOS2025 : le plus grand catalogue de galaxies de JWST

14 juillet 2025 by osuadmin

La collaboration COSMOS cherche à comprendre les liens entre la formation des galaxies et les structures à grande échelle de l’Univers. Des équipes de recherche françaises (voir encadré) participent activement à ce projet depuis ses débuts. Des mesures pionnières de la distribution de la matière noire, réalisées en 2004 à partir d’observations du télescope spatial Hubble, ont servi de référence pour les missions spatiales suivantes. Depuis lors, le champ COSMOS s’est progressivement enrichi de données toujours plus profondes provenant de télescopes couvrant l’ensemble du spectre électromagnétique, faisant de ce champ une référence incontournable en astronomie extragalactique. 

En 2022, l’équipe COSMOS a obtenu un programme exceptionnel de 250 heures d’observation avec le JWST pour cartographier le champ COSMOS à l’aide de ses instruments NIRCam (caméra proche infrarouge) et MIRI (instrument moyen infrarouge). Le traitement de l’ensemble de ces données a été entièrement réalisé sur un cluster informatique spécialisé de l’Institut d’astrophysique de Paris. Le catalogue COSMOS2025 issu de ces observations fournit des informations exceptionnellement détaillées pour chaque galaxie concernant leur forme, leur distance et leur masse stellaire. Ces données sont uniques pour comprendre à quel rythme les galaxies créent de nouvelles étoiles ainsi que l’évolution de leur morphologie avec l’âge de l’Univers en fonction de leur position dans la toile cosmique. Ces nouvelles observations confirment l’abondance surprenante de galaxies massives dans l’Univers jeune déjà révélée par des sondages couvrant une surface bien plus réduite.

Un visualiseur interactif permet désormais à chacun d’explorer ces données COSMOS et de les analyser. L’échange libre de données via internet a révolutionné l’astronomie moderne. La science ouverte est au cœur du projet COSMOS : chacun peut accéder aux données et rejoindre la collaboration. Pour l’équipe, la mission ne se limite pas à comprendre l’Univers, mais consiste aussi à mettre à disposition de la communauté scientifique internationale des données ouvertes et librement accessibles.

En France, la collaboration COSMOS bénéficie d’un soutien important du Centre national d’études spatiales (Cnes), du CNRS, de l’ANR ainsi que de la Région Île-de-France.

Classé sous :Univers Balisé avec :Communiqué de presse

Ganymède et Callisto : destins gelés aux origines divergentes

19 juin 2025 by osuadmin

Callisto et Ganymède, deux grandes lunes glacées de Jupiter, intriguent les scientifiques depuis des décennies. Bien qu’elles soient voisines et de taille comparable, leurs structures internes semblent étonnamment différentes. Les données de la mission Galileo révèlent que Ganymède, la plus grande lune du Système solaire, se serait complètement différenciée en un noyau métallique, un manteau rocheux et une croûte de glace. À l’inverse, Callisto aurait conservé une structure interne seulement partiellement différenciée, composée d’un mélange relativement homogène de roche et de glace.

Une équipe incluant des chercheurs CNRS Terre & Univers (voir encadré) avance une hypothèse inédite : cette divergence aurait émergé dès la phase de formation, sans qu’il soit nécessaire d’invoquer des événements ultérieurs majeurs.

En simulant les processus d’accrétion dans le disque de gaz et de poussière entourant Jupiter, les chercheurs ont développé un modèle d’évolution thermique prenant en compte l’ensemble des sources de chaleur : le chauffage radiogénique associé aux radionucléides à courte durée de vie, la chaleur produite par les impacts durant l’accrétion, ainsi que le rayonnement thermique du disque circumjovien. Les résultats de cette étude suggèrent que la dichotomie observée entre Ganymède et Callisto pourrait s’expliquer naturellement par des conditions de formation similaires, en supposant une composition identique et une même distribution de tailles d’impacteurs. Leurs simulations montrent que Ganymède aurait atteint très tôt, lors de sa formation, les températures nécessaires à une fusion globale, tandis que Callisto, formée dans une région plus froide du disque, n’aurait pas franchi le seuil de fusion de la glace d’eau, bien qu’elle ait pu incorporer une part importante d’impacteurs de grande taille.

Vue d’artiste des intérieurs de Ganymède et de Callisto. Ganymède présente une structure différenciée en couches, tandis que Callisto aurait un intérieur peu différencié, mêlant roches et glaces.
Vue d’artiste des intérieurs de Ganymède et de Callisto. Ganymède présente une structure différenciée en couches, tandis que Callisto aurait un intérieur peu différencié, mêlant roches et glaces.

L’étude met en évidence que des différences subtiles, comme la température locale au sein du disque ou la position orbitale par rapport à Jupiter, peuvent suffire à expliquer des trajectoires évolutives radicalement distinctes. Ganymède, plus massive et formée plus près de Jupiter, a été exposée à des impacts plus énergétiques et à un environnement plus chaud, conditions suffisantes pour déclencher une fusion globale. Callisto, accrétée plus loin dans une région plus froide, a conservé ainsi une structure peu différenciée. Ces conclusions remettent en cause l’hypothèse dominante selon laquelle cette dichotomie résulterait de processus secondaires, tels que des bombardements tardifs ou des effets de marée liés à des résonances orbitales. La mission européenne JUICE, attendue dans le système jovien en 2031, jouera un rôle clé pour tester ces hypothèses grâce à des mesures gravitationnelles de haute précision lors de ses survols programmés de Callisto.

Classé sous :Terre, Univers Balisé avec :Résultat scientifique

Questionnaire : Quelles sciences en 2040 ? Les partenaires du site Aix-Marseille lancent une démarche participative

17 juin 2025 by osuadmin

Nous évoluons dans un monde en constante mutation. Les incertitudes deviennent la norme et les opportunités se dessinent à ceux qui prennent le temps de penser l’avenir. Former les professionnels et les citoyens de demain, développer la pensée critique et renforcer la prise de décision fondée sur la démarche scientifique : n’est-ce pas là notre responsabilité à la fois personnelle et collective ?

C’est dans cet esprit que nous invitons notre communauté scientifique à réfléchir ensemble sur l’avenir des sciences à l’horizon 2040.

L’objectif ? Prendre de la hauteur, imaginer les possibles de demain et construire une vision partagée qui guidera nos choix stratégiques dans les années à venir. 
Un questionnaire a été envoyé à l’ensemble de notre communauté. Accessible jusqu’au 30 juin, il vise à recueillir vos intuitions et vos analyses sur les grandes tendances à venir, les opportunités émergentes, ainsi que les défis potentiels qui pourraient impacter votre champ d’expertise.
Chaque réponse contribuera à nourrir une réflexion collective et à éclairer les orientations stratégiques à venir. Il ne s’agit pas de prédire l’avenir avec certitude mais d’identifier des scénarios plausibles, en s’appuyant sur votre expérience et votre regard éclairé.

Pensons demain ensemble !

Pour accéder au questionnaire, connectez-vous à l’Intranet d’amU avec votre adresse mail univ-amu.fr : Intramu

En cas de problème et pour toute question, contactez la Direction de la Recherche et de la Valorisation (DRV)

Classé sous :Interactions Homme-Milieu Balisé avec :Communiqué de presse

Comment les émissions des véhicules à essence se transforment en particules respirables

16 avril 2025 by osuadmin

La pollution atmosphérique par des particules fines liée au transport routier est plus que jamais un enjeu sociétal de première importance. Cependant, force est de constater que la contribution des modes de transport à la production de particules atmosphériques reste encore très mal connue. Plusieurs raisons à cela.  D’une part, les méthodes et les protocoles de mesure fiables de ces émissions sont difficiles à mettre en place. D’autre part la formation d’aérosols secondaires, produits in situ dans l’atmosphère par les émissions des gaz d’échappement, reste encore à caractériser Il est donc actuellement impossible de représenter correctement les aérosols organiques secondaires dans les modèles de qualité de l’air et de comprendre leur impact sur la santé humaine et sur le climat.

Dans ce contexte, les scientifiques du Laboratoire de chimie de l’environnement (CNRS/Aix-Marseille Université) se sont intéressés aux processus photochimiques auxquels sont soumis les gaz d’échappement des véhicules à essence une fois largués dans l’atmosphère.  Leur approche originale combine analyse des gaz émis (sur banc d’essai) et caractérisation physico-chimique de leur évolution dans une enceinte environnementale de 8 m3 dédiée aux mesures. Les scientifiques ont ainsi pu recréer les conditions atmosphériques en contrôlant finement la composition chimique, le taux d’humidité, la température et l’irradiation solaire.

Les gaz d’échappement primaires qui contiennent des composés organiques volatiles (COVs) issus de la combustion du carburant, des oxydes d’azote et de l’ammoniaque, sont directement introduits dans l’enceinte environnementale. Ce mélange complexe est oxydé et des nouvelles particules fines sont rapidement formées. Les mesures par spectrométrie de masse à temps de vol à réaction par transfert de protons (CHARON-PTR-ToF-MS) ont permis d’élucider, pour la première fois, la composition chimique de ces particules.

La quantification et l’identification de ces particules secondaires produites par les véhicules à essence à injection directe permettra de mieux évaluer leur impact environnemental sur la qualité de l’air et la santé. Les équipes envisagent maintenant d’adapter cette méthode d’analyse innovante au suivi de la formation de particules secondaires issues d’autres sources de pollution comme le transport maritime, le chauffage à bois, etc….

Rédacteur : CCdM

Evolution atmosphérique des émissions véhiculaires : (a) émission des polluants (gaz et particules) ; (b) évaporation de certains composés organiques semi-volatils (COVS) ; (c) produits d’oxydation en phase gazeuse et nouvelles particules ou condensation des composés oxydés sur les particules préexistantes.
Evolution atmosphérique des émissions véhiculaires : (a) émission des polluants (gaz et particules) ; (b) évaporation de certains composés organiques semi-volatils (COVS) ; (c) produits d’oxydation en phase gazeuse et nouvelles particules ou condensation des composés oxydés sur les particules préexistantes. Crédit : Barbara D’Anna

Classé sous :Atmosphère, Chimie Balisé avec :Résultat scientifique

Les formations en alternance de l’OSU Pythéas

17 juin 2025 by osuadmin

L’OSU Institut Pythéas vous propose 5 formations en alternance pour assurer votre continuité professionnelle !

Ecogest / Ecologie pour la gestion des villes et des territoires

Ce parcours forme des écologues généralistes avec une ouverture à l’interdisciplinarité associant un socle solide en écologie à des multi-compétences en sciences humaines et sociales (sociologie, géographie, urbanisme et aménagement du territoire, droit de l’environnement). Ces professionnels seront en capacité d’identifier les réseaux d’acteurs et de maîtriser les enjeux de préservation de la biodiversité dans les espaces artificialisés (métropolisés, urbains, ruraux, littoraux, infrastructures linéaires de transports, centrales énergétiques…), pour définir des méthodes d’aménagement et de gestion par une approche interdisciplinaire, afin d’accompagner les politiques environnementales et d’en concevoir les suivis.

Solfondnat / Solutions fondées sur la nature

Ce parcours forme des écologues généralistes aptes à analyser l’état des écosystèmes perturbés et/ou pollués de façon systémique. Ils seront aptes à conceptualiser des solutions d’atténuation de la  pollution et à concevoir des actions intégrées d’ingénierie écologique visant à protéger, gérer de manière durable et à restaurer les écosystèmes. Sur la base d’un socle théorique solide en ingénierie écologique, les étudiants pourront mobiliser leurs connaissances en droit de l’environnement et travailler en interaction avec le réseau d’acteurs et d’usagers du territoire pour mener à bien des réflexions écologiques intégratives et adaptées favorisant la préservation des écosystèmes et la mise en place de solutions innovantes et durables au cas par cas.

Gema / Gestion de l’eau et des milieux aquatiques

Ce parcours forme des futurs cadres spécialistes du fonctionnement, de la conservation et de la réhabilitation des milieux aquatiques continentaux, ainsi que dans le domaine du traitement des eaux usées et de la potabilisation des eaux.

Ces professionnels contribueront à améliorer et à mettre en œuvre des stratégies de la qualité des eaux, à développer et utiliser des outils techniques et/ou méthodologiques en vue de la surveillance et de la diminution des impacts anthropiques sur les ressources en eau et à initier des plans d’action en cas de gestion de crises naturelles (inondations, crues, sècheresse). Les étudiants sauront proposer une démarche de mise en œuvre des stratégies permettant d’associer conservation de la biodiversité et prévention du risque inondation.

Geste / Gestion de l’Environnement Sciences et Technologies

Ce parcours forme des futurs cadres spécialisés en sciences et technologies de l’environnement aptes à répondre aux défis sociétaux, environnementaux et énergétiques actuels et à venir. Il est fondé sur cinq options métiers qui couvrent la gestion des ressources et des pollutions, des sols contaminés et des déchets, de la qualité de l’air, les enjeux énergétiques et climatiques. La formation ouvre sur des postes d’ingénieur en sécurité ou responsabilité environnementale (HSE, RSE), en développement ou performance énergétique (éolien, photovoltaïque, hydraulique, thermicien…), en inspection des installations industrielles, chargé-e de mission bureau d’études en diagnostic de pollution et solutions de dépollution, responsable sites d’exploitation et gestion des déchets, chargé-e d’études et développement en laboratoire d’analyses environnementales.

Gerinat / Gestion territoriale des risques naturels et technologiques

Ce parcours forme depuis 2005 des professionnels équivalent ingénieur de la fonction publique territoriale, des services de l’Etat, des bureaux d’étude, de l’industrie polyvalents dans la gestion des risques naturels et technologiques. Il propose un enseignement permettant à l’étudiant d’élaborer une démarche pour la mesure, l’expertise des aléas et des risques, l’analyse critique et experte, la conception d’ouvrages, la définition de plans d’actions et de planification pour la prévention des risques et la gestion de crise. Ils pourront également accompagner les entreprises et les collectivités dans la résolution des problématiques environnementales de type diagnostics territoriaux, études réglementaires (code de l’environnement, PLU, PPR…), management environnemental.

Pour plus d’informations, consultez la plaquette des Formations en alternance à l’OSU Pythéas.

Classé sous :Climat, Écologie, Environnement, Interactions Homme-Milieu, Océan, Santé Balisé avec :Enseignement

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