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Ressources – OSU Institut Pytheas

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Archives pour mars 2024

Défi Nature urbaine : City Nature Challenge 2024

29 mars 2024 by osuadmin

Un défi mondial à relever avec Marseille !

Du 26 au 29 avril 2024, la Ville de Marseille participe – avec Aix-Marseille Université – aux côtés de 500 autres grandes villes dans le monde au City Nature Challenge (Défi Nature Urbaine) !
Ce défi est organisé par la California Academy of Sciences et le Natural History Museum of Los Angeles County.

Découvrir la biodiversité terrestre et marine et faire progresser la science
Le City Nature Challenge est un grand défi scientifique citoyen dont l’objectif est simple : collecter le plus d’observations possibles d’animaux et végétaux sauvages en ville.

En participant, chacun découvre l’incroyable richesse naturelle de notre territoire communal, à terre et en mer. Mais surtout, cet évènement fait progresser l’identification de la biodiversité pour mieux la connaître et mieux la préserver.

Comment participer ?
Pour participer, il suffit d’utiliser la plateforme « iNaturalist » et de poster ses observations.

Toute observation représente un maillon de plus dans la chaîne de la connaissance. La biodiversité locale se cache partout : jardins, rues, friches urbaines, collines ou sous la mer, osez vous aventurer partout !
Toutes les observations comptent et avec « iNaturalist », les scientifiques du monde entier pourront préciser et valider les espèces rencontrées sur le territoire marseillais.

Son interface simple et intuitive s’adresse à tous les participants, simples curieux ou véritables experts.

Téléchargez l’application iNaturalist sur Android

Téléchargez l’application iNaturalist sur Iphone

Page City Nature Challenge Marseille sur iNaturalist

Comment réaliser une observation ?

Un évènement ouvert à tous et toutes !
Seul, en famille, entre amis ou voisins, tout le monde peut partir à l’aventure autour de chez soi ou dans ses lieux de balade favoris ou rejoindre l’un des rendez-vous organisés pour l’évènement : Muséum d’histoire naturelle, fermes pédagogiques, ENJEU, le Hublot, relais-natures, associations…

Nombreux sont les partenaires qui se mobilisent pour concocter le programme des rendez-vous qui jalonneront ces 4 jours.

À venir prochainement : liste des rendez-vous organisés pour l’évènement.

 

Stratégie locale partenariale en faveur de la biodiversité
La participation de la Ville de Marseille au City Nature Challenge s’inscrit dans la continuité de sa stratégie locale partenariale en faveur de la biodiversité terrestre et marine ainsi que dans la stratégie nationale biodiversité 2030. 

En participant à cette mobilisation mondiale, Marseille souhaite montrer qu’il est possible de s’engager concrètement dans la préservation de la biodiversité locale.

 

Découvrez L’Azuré, deux parcours urbains de l’OSU Pythéas autour de Notre-Dame de la Garde !

  • Avec les balades de Pythéas, découvrez les enjeux de la biodiversité en ville. L’Azuré se compose de deux livrets qui accompagneront votre promenade sur la colline de Notre-Dame de la Garde de façon ludique.

L’Azuré (adulte) – Partez à la découverte de la nature en ville avec, comme acolyte, l’Azuré des nerpruns. Ce papillon a malheureusement perdu ses couleurs car il n’a pas pu manger les plantes avec les bons pigments étant chenille, mais il vous accompagnera durant votre quête. Votre objectif est donc de lui redonner ses couleurs à travers les différentes énigmes que vous rencontrerez tout au long du parcours. 

Ce parcours vous permettra de redécouvrir la faune et la flore au pied de la bonne mère et d’appréhender sous les angles géologique et historique, le paysage que nous offre ce point de vue. Vous redécouvrirez la nature locale et parfois ordinaire, mais qui offre un réel intérêt pour l’écosystème qui nous entoure. 

Téléchargez le livret L’Azuré (parcours adulte)

L’Azuré KIDS – Aide Ulysse, l’Azuré des nerpruns, un papillon originaire de Provence, à s’installer sur la colline de la Bonne Mère ! 

Ses parents lui ont donné une carte pour l’aider à trouver le bon endroit où s’installer sur la colline, mais Ulysse a perdu la légende, c’est-à-dire toute la partie qui lui permettait de déchiffrer la carte ! Aide-le à reconstituer la légende de la carte et à trouver le meilleur endroit où s’installer sur la colline de Notre-Dame de la Garde.

Téléchargez le livret L’Azuré KIDS

>> ENFANTS SEULS : 8 À 12 ANS | AIDÉS : 4 À 8 ANS | DUREE DU PARCOURS : 30-45 MN

 

Résultats dès le 6 mai !
Entre le 30 avril et le 5 mai, les scientifiques identifient ce qui a été trouvé par les observateurs qui sont automatiquement notifiés sur iNaturalist.
Dès le 6 mai, l’ensemble des résultats de toutes les villes engagées dans le City Nature Challenge mondiaux sont accessibles en ligne (nombre de participants, nombre d’observations, nombre d’espèces observées…)
 

La mobilisation a déjà commencé. Retenez la date : du 26 au 29 avril à Marseille !
Accompagnez la Ville de Marseille pour faire progresser la connaissance
de la biodiversité et protéger notre environnement naturel.

Mode d’emploi City Nature Challenge

 

Source : https://www.marseille.fr/environnement/actualites/city-nature-challenge-2024-un-defi-mondial-a-relever-avec-marseille

Classé sous :Biodiversité Balisé avec :Brève

Webb révèle la solution à l’un des mystères de l’univers primitif

18 mars 2024 by osuadmin

L’une des capacités clés du JWST est sa capacité à observer les galaxies très lointaines, et ainsi à sonder l’histoire précoce de l’univers. Une équipe internationale d’astronomes, menée par Callum Witten (Université de Cambridge) et Nicolas Laporte (Aix-Marseille Université), a mis à profit la capacité exceptionnelle du JWST pour résoudre un mystère de longue date en astronomie.

Les galaxies les plus anciennes étaient des sites de formation d’étoiles vigoureuse et active, et étaient donc des sources riches d’émission Lyman-α de l’hydrogène. Cependant, pendant l’époque de la réionisation, une immense quantité de gaz d’hydrogène neutre entourait ces zones de formation d’étoiles actives. De plus, l’espace entre les galaxies était rempli de plus de ce gaz neutre qu’aujourd’hui. Ce gaz peut absorber et diffuser très efficacement Lyman-α, de sorte que les astronomes ont depuis longtemps prédit que l’émission Lyman-α libérée dans
l’univers très primitif ne devrait pas être observable aujourd’hui.

Cependant, cette théorie n’a pas toujours résisté à l’observation, car des exemples d’émission Lyman-α très précoce ont déjà été observés. Cela a présenté un mystère : comment se fait-il que cette émission d’hydrogène, qui aurait dû depuis longtemps être absorbée ou diffusée, soit observée?
L’apport de cette nouvelle étude est dû à l’extraordinaire combinaison de résolution angulaire et de sensibilité du JWST. Les observations avec l’instrument NIRCam ont permis de résoudre des galaxies plus petites et plus faibles qui entourent les galaxies lumineuses à partir desquelles l’émission d’hydrogène « inexplicable » avait été détectée. En d’autres termes, l’environnement de ces galaxies semble être un endroit beaucoup plus fréquenté que nous ne le pensions auparavant, rempli de petites galaxies faibles. Ces galaxies plus petites interagissent et fusionnent les unes avec les autres (voir le figure ci-dessous), et JWST a donc révélé que les fusions de galaxies jouent un rôle important dans l’explication de l’émission Lyman-α des premières galaxies.

L’équipe a ensuite utilisé des simulations informatiques pour explorer les processus physiques qui pourraient expliquer leurs résultats. Ils ont découvert que l’accumulation rapide de masse stellaire par le biais des fusions de galaxies provoque à la fois une forte émission d’hydrogène et facilite l’échappement de cette radiation par des canaux dégagés du gaz neutre abondant. Ainsi, le taux élevé de fusion des galaxies plus petites non observées précédemment présente une solution convaincante au mystère de longue date de l’émission d’hydrogène précoce « inexplicable ». L’équipe prévoit des observations de suivi avec des galaxies à divers stades de fusion, afin de continuer à développer leur compréhension de la manière dont l’émission
d’hydrogène est éjectée de ces systèmes en évolution. Cela leur permettra d’améliorer notre compréhension de l’évolution des galaxies.

Ces découvertes ont été publiées dans Nature Astronomy : https://www.nature.com/articles/s41550-023-02179-3

 

Classé sous :Univers Balisé avec :Brève

Le télescope CASTLE récompensé par le George Lake Innovation Award de l’EAS

18 mars 2024 by osuadmin

La Société Européenne d’Astronomie, par le biais de la fondation MERAC a sélectionné le projet de télescope CASTLE pour le prix Georges Lake pour l’innovation technologique en astronomie ». Grâce à ce prix le télescope CASTLE bénéficie d’un support financier qui permettra la mise sur le ciel d’ici 2025. La remise du prix se fera lors de l’assemblée générale annuelle de l’EAS début Juillet à Padoue.

Le comité international mandaté pour nommer les candidats au George Lake Technology Innovation Award 2024 a évalué un grand nombre de candidatures très solides. Le processus de sélection a été très compétitif.

Exceptionnellement, pour ce tout premier George Lake Award, la Fondation Merac a sélectionné deux projets plutôt qu’un seul.

  • Dr Emmanuel Hugot, Laboratoire d’Astrophysique de Marseille, France pour son projet « CASTLE-GT : le télescope terrestre Calar Alto SchmidT-Lemaître Explorer »
  • Dr Boon Kok Tan, Département de physique (astrophysique), Université d’Oxford, Denys Wilkinson Building, Keble Road, Oxford, OX1 3RH, Grande-Bretagne pour son projet « Technologies de circuits planaires sur puce permettant un grand mappeur spectroscopique pour l’astronomie sub-millimétrique ».

Classé sous :Univers Balisé avec :Distinction

La Science taille XX elles : édition marseillaise

8 mars 2024 by osuadmin

Aujourd’hui, seulement 30 % des chercheurs et 27 % des ingénieurs sont des femmes. Ce pourcentage chute encore dans certaines disciplines comme la physique, l’ingénierie et les mathématiques, souvent considérées comme les emplois de l’avenir. Difficile de se projeter dans un métier quand on ne peut pas s’identifier à des personnalités. Avant leurs 16 ans, la majorité des filles ont déjà renoncé à une carrière dans la technologie ou le numérique alors même que 75 % des emplois créés d’ici 2025 seront liés aux domaines scientifiques et technologiques.

Pour convaincre plus de jeunes filles que la recherche peut être, pour elles aussi, un métier passionnant et un métier d’avenir, il faut donc déconstruire les stéréotypes et leur présenter des modèles accessibles, incarnés par des femmes de notre temps.

« Mettre en lumière les femmes scientifiques d’aujourd’hui pour inspirer celles de demain. »
 
« La science taille XX elles » est un concept multifacettes visant à promouvoir la place des femmes en sciences, qui a été initié à Toulouse en 2018 par l’association Femmes & Sciences et le CNRS. L’idée originale est de mettre en lumière des femmes scientifiques grâce au regard artistique et décalé du photographe Vincent Moncorgé afin d’aller à la rencontre d’un très large public. Il s’agit d’attirer l’attention, de susciter la curiosité, de faire savoir que les femmes sont des actrices de la recherche et de faire connaître les métiers scientifiques. Les objectifs principaux sont ainsi de promouvoir la place des femmes en sciences, déconstruire les stéréotypes encore en vigueur, sensibiliser aux questions d’égalité et donner des modèles aux plus jeunes.

Après Toulouse, Lyon, l’Île-de-France, Grenoble et Clermont-Ferrand, ce concept est décliné à Marseille et sera présenté Place Général de Gaulle du vendredi 8 au lundi 25 mars 2024. L’exposition photographique grand format met en scène les métiers de 16 femmes scientifiques travaillant dans les laboratoires du CNRS en Provence. Elles sont chercheuses, ingénieures ou techniciennes ; chimiste, mathématicienne, juriste, physicienne, biochimiste, toxicologue, neuroscientifique, cosmologiste, radioprotectionniste, immunologiste, informaticienne, astrophysicienne ou photonicienne : un aperçu de la diversité des métiers scientifiques qui prouve que la science se conjugue aussi au féminin.

Au-delà de l’exposition grand format, cette exposition photographique est destinée à voyager en Provence et Corse. Elle sera mise à disposition gratuitement auprès des collèges, des lycées, des organismes et des établissements de l’enseignement supérieur et de recherche en Provence, des collectivités qui souhaitent sensibiliser leurs publics quant à la place des femmes dans les sciences et de toute structure œuvrant à promouvoir la culture scientifique.

« La Science taille XX elles » ne répond pas seulement à l’exigence d’égalité mais constitue aussi un puissant vecteur pour valoriser la science au sein de la société. Grâce à leurs portraits, ces ambassadrices de la science contribuent à la transmission des connaissances et à la diffusion de la culture scientifique, afin de positionner la science au cœur de la société.

Source : https://www.provence-corse.cnrs.fr/fr/cnrsinfo/la-science-taille-xx-elles-edition-marseillaise

 

Pour l’OSU, deux chercheuses se sont prêtées au jeu :

  • Découvrez le portrait de Rebecca Castel, Toxicologue à l’IMBE : « Vos enfants ont toute mon attention »

  • Découvrez le portrait de Annie Zavagno, Astrophysicienne : « Je regarde naître les étoiles »
https://news.osupytheas.fr/wp-content/uploads/sites/2/2024/03/installation_exposition_la_science_taille_xx_elles.mp4

Classé sous :Biologie, Univers Balisé avec :Art / science, Communiqué de presse

Projet HOPE : une bouée intelligente pour étudier la capacité des océans tropicaux à piéger le carbone

1 mars 2024 by osuadmin

Le projet HOPE vise à étudier la capacité des océans tropicaux à séquestrer du CO2. Financé par la bourse européenne ERC Consolidator, soutenu par le CNRS via son Parc national d’instrumentation océanographique (PNIO), HOPE est porté par Sophie Bonnet, océanographe à l’IRD. Le 2 mars 2024, une bouée intelligente à la pointe de la technologie, mesurant cinq mètres de diamètre, munie de capteurs innovants communiquant entre eux et avec la terre sera déployée dans le Pacifique Sud, au large de la Nouvelle-Calédonie. Ce dispositif permettra d’échantillonner simultanément l’océan en surface comme en profondeur toutes les quatre heures pendant quatre ans, et retransmettra ses données (biodiversité, chimie, physique) en temps réel aux océanographes à terre. Une prouesse technologique jamais égalée dans le domaine de l’océanographie qui ouvre de nouvelles perspectives dans la compréhension des liens océan-climat. 

 

Source : https://www.cnrs.fr/fr/presse/projet-hope-une-bouee-intelligente-pour-etudier-la-capacite-des-oceans-tropicaux-pieger-le

Classé sous :Terre Balisé avec :Brève

L’indexation des données brutes de séquençage pour mieux déchiffrer le vivant

1 mars 2024 by osuadmin

Les grands projets de séquençage sont fondamentaux pour mieux comprendre le vivant dans différents domaines (santé, agronomie, écologie). Les avancées technologiques ont permis d’atteindre une taille considérable de données brutes de séquençage (lectures de séquences). Le service européen « European Nucleotide Archive » contient actuellement près de 50 Petaoctets de données brutes publiques.

Une équipe de chercheurs du CNRS Terre & Univers, en collaboration avec plusieurs laboratoires de recherche, a utilisé des k-mers (mots de taille k) pour créer une notion de mot dans les données brutes de séquençage. Cette solution d’indexation a ainsi permis d’interroger plusieurs dizaines de téraoctets de données de séquence issues du projet Tara Oceans. Le serveur web public Ocean Read Atlas (ORA), développé pour ce propos, permet d’interroger directement plusieurs jeux de données du consortium Tara Oceans prélevés sur tous les océans du globe. À l’aide d’une ou plusieurs séquences, il est possible d’identifier la présence de séquences similaires sous forme de carte et de graphique interactifs (voir figure 1) dans les stations de prélèvement en fonction de leurs propriétés environnementales (température, salinité, oxygène, etc.).

Auparavant, une requête de 1000 séquences nécessitait plusieurs semaines de calculs sur des supercalculateurs, la réponse est désormais instantanée avec ORA sans compresser la structure des données. Cette étude ouvre ainsi de nouvelles perspectives dans le domaine de la génomique et l’écologie numérique grâce à l’accès et l’exploitation des dizaines de téraoctets de données génétiques. Ce modèle d’indexation de données de séquençage sera utilisé pour les campagnes océanographiques BioSWOT-Med et APERO.

Figure 1. Carte de la répartition biogéographique des séquences partageant les k-mers contenus dans la séquence du gène appelé nifH de l’espèce Pseudodesulfovibrio profundus.© Institut Méditerranéen d'Océanologie (MIO)
Figure 1. Carte de la répartition biogéographique des séquences partageant les k-mers contenus dans la séquence du gène appelé nifH de l’espèce Pseudodesulfovibrio profundus.© Institut Méditerranéen d’Océanologie (MIO)

 

Source : https://www.insu.cnrs.fr/fr/cnrsinfo/lindexation-des-donnees-brutes-de-sequencage-pour-mieux-dechiffrer-le-vivant

Classé sous :Atmosphère Balisé avec :Brève, Résultat scientifique

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