Biodiversité
Cap Corse: le mystère des anneaux
Pour élucider ce phénomène sans précédent en Méditerranée, l’équipe Gombessa, dirigée par Laurent Ballesta, mène une enquête approfondie en collaboration avec une équipe pluridisciplinaire de scientifiques.
À l’aide d’une station sous-marine, d’un sous-marin et de nombreuses expérimentations, l’équipe Gombessa cherche à comprendre la formation de ces étranges structures et à révéler la biodiversité exceptionnelle qu’elles abritent.
Suivez l’expédition menée par Laurent Ballesta à plus de 120 m de profondeur au large des côtes méditerranéennes et comprendre tous les enjeux.
Le parc naturel marin du cap Corse et de l’Agriate a financé cette mission et a décidé d’actions concrètes de protection pour protéger ces joyaux de la méditerranée.
Bientôt sur ARTE, « Cap Corse : Le Mystère des Anneaux » – 2024 Un film réalisé par Yann Rineau (90’) Écrit par Yann Rineau, Laurent Ballesta et Aurine Crémieu Coproduction Arte France, Les Gens Bien Productions, Andromède Océanologie.
Olivier Sulpis, parmi les 7 lauréats de la bourse européenne Starting Grant 2024 en Provence
Liste des 7 lauréats Starting hébergés par le CNRS en Provence :
- Hugo Bisio Sabaris, chargé de recherche au laboratoire Information génomique et structurale (IGS)1
- Fanny Cazettes, chargée de recherche à l’Institut de neurosciences de la Timone (INT)1
- Isabelle Dautriche, chargée de recherche au Centre de recherche en psychologie et neurosciences (CRPN)1
- Maud Gratuze, chargée de recherche à l’Institut de neurophysiopathologie (INP)1
- Baptiste Libé-Philippot, chargé de recherche à l’Institut de biologie du développement de Marseille (IBDM)1
- Ashleigh Shannon, chargée de recherche au laboratoire Architecture et fonction des macromolécules biologiques (AFMB)1
- Olivier Sulpis, chargé de recherche au Centre de recherche et d’enseignement des géosciences de l’environnement (CEREGE)2
Projet Deep-C : Deep-sea carbonates under pressure: mechanisms of dissolution and climate feedback
Portrait
Olivier Sulpis a obtenu son doctorat en géochimie aquatique à l’Université McGill, à Montréal. Il a ensuite travaillé aux Pays-Bas, à l’Université d’Utrecht en tant qu’associé de recherche. Il est spécialiste de la dissolution des sédiments marins à l’Anthropocène. Cette dissolution sera le principal puits du CO2 d’origine humaine d’ici 100 à 1000 ans. Ses travaux ont permis de comprendre et anticiper le lien entre sédiments et CO2 et ont accompagné l’explosion de l’intérêt pour les méthodes de captation du CO2 basées sur l’accélération des puits de carbone naturels. En parallèle de ses recherches fondamentales, Olivier Sulpis a travaillé avec plusieurs organisations internationales implémentant des méthodes d’alcalinisation de l’océan dans le but d’en augmenter sa capacité à capter du CO2, ou encore des nouvelles sources d’énergie renouvelable en mer. Olivier Sulpis enseigne à Aix-Marseille Université, afin de donner aux jeunes générations les outils nécessaires pour accélérer la transition énergétique et environnementale. En parallèle du projet Deep-C, Olivier Sulpis est coresponsable d’un groupe de travail auprès du Centre de synthèse et d’analyse sur la biodiversité portant sur les gastéropodes marins, ainsi que d’un groupe de travail auprès du Conseil maritime européen portant sur l’évaluation des techniques de captation du CO2 par l’océan.
Projet Deep-C (Horizon Europe – ERC StG 101162777)
Deep-sea carbonates under pressure: mechanisms of dissolution and climate feedback
Alors que la crise du changement climatique s’amplifie, il est impératif de comprendre et d’atténuer les flux de dioxyde de carbone (CO2). Un aspect moins connu et pourtant important de cette crise réside dans le rôle des vastes étendues de sédiments marins qui recouvrent les deux tiers de la surface de la Terre. Un élément clé de ces sédiments est le carbonate de calcium (CaCO3), une famille de minéraux qui constitue les coquilles et les squelettes des organismes marins. Les émissions de CO2 entraînent une acidification des océans, déclenchant la dissolution du CaCO3 qui, à son tour, neutralise le CO2, agissant comme un puits de CO2 crucial sur des échelles de temps millénaires. Cependant, les mécanismes et le rythme de cette dissolution restent inconnus en raison de la complexité liée aux hautes pressions de l’océan profond et aux communautés bactériennes méconnues qui interviennent dans le processus de dissolution. Le projet Deep-C vise à comprendre la dissolution du CaCO3 en eaux profondes, ouvrant ainsi la voie à une compréhension plus approfondie et à une atténuation potentielle des impacts du changement climatique. En se concentrant sur les domaines abyssal et hadal (domaine des fosses océaniques), cette recherche innovante vise à dévoiler la nature et le taux de dissolution du CaCO3 à l’aide de réacteurs expérimentaux à haute pression. Ces réacteurs, qui simulent la pression et la température des environnements en eaux profondes, constituent une alternative fiable aux études sur le terrain. Grâce à l’intégration de capteurs de pointe et à l’utilisation de techniques avancées d’imagerie du CaCO3, nous générerons des données précises et continues sur les processus biogéochimiques en cours. En hébergeant des cultures bactériennes dans les réacteurs, à côté de grains de CaCO3 naturels, ce projet permettra d’approfondir les mécanismes de dissolution. Les résultats obtenus devraient permettre d’affiner un modèle biogéochimique global, et ainsi favoriser une meilleure compréhension du rôle de l’océan dans la séquestration du carbone et faire avancer les efforts mondiaux en vue d’une atténuation efficace du changement climatique.
Les 40 ans du LPED
Programme
Lundi 10 juin – 17:00 / Conférence musicale et concert conférencé sur les effets et méfaits des politiques migratoires. Marie-Laurence Flahaux (Démographe, IRD-LPED) et Mustapha Lakhdari (conteur, musicien)
Hyperion – 2bis avenue du Maréchal Foch, 13004 Marseille
Lundi 17 juin 2024 – 14:00 / Film sous les arbres – “Quand murissent les clémentines”. La projection et les échanges avec Lama Kabbanji, réalisatrice et chercheure au LPED, sera suivi d’un gouter.
Campus Saint Charles, espace Turbulence, 13003 Marseille
Vendredi 21 juin 2024 – 9:00 / Visite conférencée pour découvrir les papillons et les oiseaux en ville. Magali Deschamps-Cottin, Christine Robles et Pascal Carlier ferons découvrir le PUP, les papillons et les oiseaux en ville.
Parc Urbain des Papillons, 13014 Marseille
Jeudi 4 juillet 2024 – 17:00 / Les résistances aux antibiotiques et la science : quand les éleveurs africains sont pointés du doigt. Conférence sur le toit de la Cité de l’agriculture avec Anastasia Seferiadis et Carine Baxerres.
Cité de l’agriculture, 13001 Marseille
Jeudi 11 juillet 2024 – 9h:00 / Palabre sous les arbres : la démographie africaine est-elle coupable de tout ? Vous voulez tout savoir (ou presque) sur la démographie africaine ? les démographes de l’IRD vous invitent à palabrer transition démographique, migration, changements environnementaux…
Square Labadié, 13001 Marseille
Quand science et spectacle se rencontrent : finale nationale du concours de vulgarisation scientifique « Ma thèse en 180 secondes »
La 11e édition du concours « Ma thèse en 180 secondes » se tiendra le 5 juin prochain à l’Opéra de Nice. Parmi les plus de 600 doctorantes et doctorants qui ont pris part à cette aventure, seize sont encore en lice. Leur défi consistera à captiver l’auditoire en racontant en trois minutes top chrono leur sujet de thèse, de manière accessible et passionnante. Pour y assister, il suffit de s’inscrire sur ce site tout juste ouvert ! Partage, rencontre et convivialité sont les maîtres-mots de « Ma thèse en 180 secondes ». Ce dispositif est avant tout, pour les jeunes scientifiques participant, un outil de formation ludique à la médiation scientifique et à la prise de parole en public. En effet, les scientifiques sont de plus en plus sollicités pour nuancer, vulgariser et transmettre leur expertise. La formation à la médiation scientifique est donc aujourd’hui cruciale pour le partage des connaissances envers tous les publics, dont les plus jeunes. Ce concours est ainsi l’occasion de faire découvrir la recherche aux jeunes générations, toutes disciplines confondues.
Pour Camille Lakhlifi, gagnante du concours national et international de l’édition 2023, cette aventure a été un formidable moyen de donner plus de visibilité à ses travaux : « J’ai été invitée à en parler auprès du grand public lors de présentations, mais aussi auprès de professionnels lors de congrès et de séminaires, c’est un formidable tremplin ! » Elle ajoute : « Nous participons en essayant d’être fier de nous, jamais en cherchant à écraser les autres. La cohésion de groupe est très forte et procure de jolies sensations collectives. » Enfin, la lauréate de l’édition 2023, pour qui le concours a été une rare occasion de partager sa thèse avec ses proches, souligne tout l’enjeu de la formation à la médiation scientifique : « Il est essentiel de savoir expliquer ses recherches avec des termes simples ».
Pour cette 11ème édition, le jury sera composé de :
- Matthieu Aguilera, doctorant, 2e prix du jury de la finale nationale de « Ma thèse en 180 secondes » 2023
- Isabelle Chataignier, enseignante en rhétorique à l’École de Guerre, conférencière, auteure et ancienne avocate
- Xavier Latour, Vice-Président de la métropole Nice Côte d’Azur délégué à l’Enseignement supérieur, à la Recherche et à la Formation
- Patrick Michel, astrophysicien du CNRS, responsable de l’équipe « Théories et observations en planétologie » au Laboratoire Joseph-Louis Lagrange (CNRS/Observatoire de la Côte d’Azur/Université Côte d’Azur), professeur avec affiliation permanente à l’étranger de l’Université de Tokyo
- Fabrice Rousselot, directeur de la rédaction à The conversation France
- Une lycéenne ou un lycéen de l’académie de Nice complètera le jury
Différentes classes de lycées de l’académie de Nice assisteront à cette finale d’éloquence et décerneront le « Prix des lycées » à leur candidate ou candidat de prédilection. L’occasion d’inciter les plus jeunes à découvrir les études scientifiques.
Pour la première fois, la finale sera diffusée et commentée lors d’un live Twitch. Elle sera également diffusée en live sur la chaîne YouTube et les réseaux sociaux du concours avec le #MT180.
Enfin, le 1er prix du jury aura le privilège de représenter la France lors de la finale francophone internationale le 21 novembre prochain à Abidjan (Côte d’Ivoire).
Ci-dessous les 16 doctorants et doctorantes finalistes de l’édition 2024 :
- Pierre BABY, Université d’Avignon ; « Réponses physiologiques et comportementales du prédateur généraliste, Forficula pubescens (Dermaptera: Forficulidae) face à diverses contraintes biotiques et abiotiques dans une perspective de lutte biologique en vergers de pommiers » ; Institut Méditerranéen de Biodiversité et d’Ecologie marine et continentale (Aix-Marseille Université, IRD, CNRS). Prestation en vidéo.
- Sarah BAGOT, Université Clermont Auvergne ; « Adaptations métaboliques et nutritionnelles aux variations de poids, au statut hormonal ovarien et au niveau d’activité physique » ; Laboratoire Adaptations Métaboliques à l’Exercice en conditions Physiologiques et Pathologiques (Université Clermont Auvergne), Nutrifizz. Prestation en vidéo.
- Mélyne BAUDIN MARIE, Nantes Université ; « Synthèses d’Inhibiteurs Enzymatiques Multivalents de Sialidases pour le traitement des Maladies Inflammatoires Chroniques de l’Intestin (MICI) » ; Laboratoire Chimie Et Interdisciplinarité, Synthèse, Analyse, Modélisation (Nantes Université, CNRS). Prestation en vidéo.
- Anna DIET, Université Clermont Auvergne ; « Développement et mise en œuvre d’une stratégie de recherche de métabolites bioactifs naturels, issus de matrices fromagères, efficaces contre l’arthrose » ; Unité Mixte de Recherche sur le Fromage (Inrae, Université Clermont Auvergne, VetAgroSup), Unité de Nutrition Humaine (Inrae, Université Clermont Auvergne). Prestation en vidéo.
- Gaspard FOUGEA, Université Paris-Saclay ; « Modèles formels pour la conscience : de l’expérience subjective aux algorithmes cognitifs » ; Laboratoire Méthodes Formelles (ENS Paris-Saclay, Université Paris-Saclay). Prestation en vidéo.
- Noëlla GROSSI, Université Paris-Saclay ; « Identification de mécanismes de compensation impliqués dans la physiopathologie de la myopathie des ceintures de type R2 » ; Institut des cellules Souches pour le Traitement et l’Etude des maladies Monogéniques (Université Paris-Saclay, Inserm). Prestation en vidéo.
- Bertrand KACZMAREK, Université de Bourgogne ; « Le mythe de la neutralité carcérale. Éléments pour une culture pénitentiaire » ; Laboratoire Interdisciplinaire de Recherche Sociétés, Sensibilités, Soin (Université de Bourgogne, CNRS). Prestation en vidéo.
- Elie KADOCHE, Télécom Paris ; « Développement d’algorithmes de contrôle basés sur de l’apprentissage par renforcement multi-agents pour l’optimisation de parcs éoliens à grande échelle » ; Laboratoire de Traitement et Communication de l’Information (Télécom Paris, Institut Polytechnique de Paris). Prestation en vidéo.
- Thibault LAFFARGUE, Université de Guyane ; « Rôle du microbiome pour expliquer le succès des espèces envahissantes » ; Laboratoire Ecologie, Evolution, Interactions des Systèmes amazoniens (Université de Guyane, Ifremer, CNRS) ; Laboratoire Evolution, Génomes, Comportement, Ecologie (Université Paris-Saclay, IRD, CNRS). Prestation en vidéo.
- Wendy LE MOUËLLIC, Université de Toulouse ; « Caractérisation des voies d’acquisition du soufre et de la biosynthèse de cystéine de Mycobacterium tuberculosis pendant l’infection » ; Institut de pharmacologie et biologie structurale (Université de Toulouse, Université Toulouse III Paul Sabatier, CNRS). Prestation en vidéo.
- Coralie LE PICARD, La Rochelle Université ; « Détection & Effets des microparticules pneumatiques dans les environnements aquatiques » ; Laboratoire LIttoral ENvironnement et Sociétés (La Rochelle Université, CNRS). Prestation en vidéo.
- Emma LELONG, Université de Bretagne Occidentale ; « L’effectivité de la protection de l’écosystème marin par l’octroi d’un statut juridique : l’exemple de la mer Méditerranée » ; Laboratoire Aménagement des usages, des ressources et des espaces marins et littoraux (Université de Bretagne Occidentale, Ifremer). Prestation en vidéo.
- Seyta LEY-NGARDIGAL, Université de Bordeaux ; « Mécanismes moléculaires de la toxicité d’une surcharge glycémique sur la peau » ; Laboratoire Maladies rares : génétique et métabolisme (Université de Bordeaux, Inserm). Prestation en vidéo.
- Aïcha LOÏAL, Université des Antilles ; « Compréhension de la plasticité comportementale des populations d’Aedes aegypti pour améliorer la surveillance et la lutte antivectorielle » ; Institut pasteur de Guadeloupe. Prestation en vidéo.
- Clémentine MARIE, Université Paris Cité ; « Mécanismes d’action de l’Oestradiol dans l’ovaire humain en conditions physiologique et polykystique » ; Laboratoire Biologie Fonctionnelle et Adaptative (Université Paris Cité, CNRS). Prestation en vidéo.
- Ludovic VAUTHIER, Université de Lorraine ; « Couplage de la fermentation sombre anaérobie et de la biométhanation pour la production de biométhane » ; Laboratoire Réactions et Génie des Procédés (Université de Lorraine, CNRS). Prestation en vidéo.
Défi Nature urbaine : City Nature Challenge 2024
Un défi mondial à relever avec Marseille !
Du 26 au 29 avril 2024, la Ville de Marseille participe – avec Aix-Marseille Université – aux côtés de 500 autres grandes villes dans le monde au City Nature Challenge (Défi Nature Urbaine) !
Ce défi est organisé par la California Academy of Sciences et le Natural History Museum of Los Angeles County.
Découvrir la biodiversité terrestre et marine et faire progresser la science
Le City Nature Challenge est un grand défi scientifique citoyen dont l’objectif est simple : collecter le plus d’observations possibles d’animaux et végétaux sauvages en ville.
En participant, chacun découvre l’incroyable richesse naturelle de notre territoire communal, à terre et en mer. Mais surtout, cet évènement fait progresser l’identification de la biodiversité pour mieux la connaître et mieux la préserver.
Comment participer ?
Pour participer, il suffit d’utiliser la plateforme “iNaturalist” et de poster ses observations.
Toute observation représente un maillon de plus dans la chaîne de la connaissance. La biodiversité locale se cache partout : jardins, rues, friches urbaines, collines ou sous la mer, osez vous aventurer partout !
Toutes les observations comptent et avec “iNaturalist”, les scientifiques du monde entier pourront préciser et valider les espèces rencontrées sur le territoire marseillais.
Son interface simple et intuitive s’adresse à tous les participants, simples curieux ou véritables experts.
Téléchargez l’application iNaturalist sur Android
Téléchargez l’application iNaturalist sur Iphone
Page City Nature Challenge Marseille sur iNaturalist
Comment réaliser une observation ?
Un évènement ouvert à tous et toutes !
Seul, en famille, entre amis ou voisins, tout le monde peut partir à l’aventure autour de chez soi ou dans ses lieux de balade favoris ou rejoindre l’un des rendez-vous organisés pour l’évènement : Muséum d’histoire naturelle, fermes pédagogiques, ENJEU, le Hublot, relais-natures, associations…
Nombreux sont les partenaires qui se mobilisent pour concocter le programme des rendez-vous qui jalonneront ces 4 jours.
À venir prochainement : liste des rendez-vous organisés pour l’évènement.
Stratégie locale partenariale en faveur de la biodiversité
La participation de la Ville de Marseille au City Nature Challenge s’inscrit dans la continuité de sa stratégie locale partenariale en faveur de la biodiversité terrestre et marine ainsi que dans la stratégie nationale biodiversité 2030.
En participant à cette mobilisation mondiale, Marseille souhaite montrer qu’il est possible de s’engager concrètement dans la préservation de la biodiversité locale.
Découvrez L’Azuré, deux parcours urbains de l’OSU Pythéas autour de Notre-Dame de la Garde !
- Avec les balades de Pythéas, découvrez les enjeux de la biodiversité en ville. L’Azuré se compose de deux livrets qui accompagneront votre promenade sur la colline de Notre-Dame de la Garde de façon ludique.
L’Azuré (adulte) – Partez à la découverte de la nature en ville avec, comme acolyte, l’Azuré des nerpruns. Ce papillon a malheureusement perdu ses couleurs car il n’a pas pu manger les plantes avec les bons pigments étant chenille, mais il vous accompagnera durant votre quête. Votre objectif est donc de lui redonner ses couleurs à travers les différentes énigmes que vous rencontrerez tout au long du parcours.
Ce parcours vous permettra de redécouvrir la faune et la flore au pied de la bonne mère et d’appréhender sous les angles géologique et historique, le paysage que nous offre ce point de vue. Vous redécouvrirez la nature locale et parfois ordinaire, mais qui offre un réel intérêt pour l’écosystème qui nous entoure.
Téléchargez le livret L’Azuré (parcours adulte)
L’Azuré KIDS – Aide Ulysse, l’Azuré des nerpruns, un papillon originaire de Provence, à s’installer sur la colline de la Bonne Mère !
Ses parents lui ont donné une carte pour l’aider à trouver le bon endroit où s’installer sur la colline, mais Ulysse a perdu la légende, c’est-à-dire toute la partie qui lui permettait de déchiffrer la carte ! Aide-le à reconstituer la légende de la carte et à trouver le meilleur endroit où s’installer sur la colline de Notre-Dame de la Garde.
Téléchargez le livret L’Azuré KIDS
>> ENFANTS SEULS : 8 À 12 ANS | AIDÉS : 4 À 8 ANS | DUREE DU PARCOURS : 30-45 MN
Résultats dès le 6 mai !
Entre le 30 avril et le 5 mai, les scientifiques identifient ce qui a été trouvé par les observateurs qui sont automatiquement notifiés sur iNaturalist.
Dès le 6 mai, l’ensemble des résultats de toutes les villes engagées dans le City Nature Challenge mondiaux sont accessibles en ligne (nombre de participants, nombre d’observations, nombre d’espèces observées…)
La mobilisation a déjà commencé. Retenez la date : du 26 au 29 avril à Marseille !
Accompagnez la Ville de Marseille pour faire progresser la connaissance
de la biodiversité et protéger notre environnement naturel.
Mode d’emploi City Nature Challenge