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Ressources – OSU Institut Pytheas

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Climat

Asie centrale : changement brutal des précipitations et de la végétation il y a 56 millions d’années

2 février 2024 by osuadmin

Dans le but de mieux appréhender notre futur, une équipe internationale, dans le cadre du consortium de recherche « VeWA » et dans laquelle le CNRS Terre & univers est impliqué (voir encadré), explorent les anciennes périodes chaudes de l’histoire de la Terre. Leur étude montre qu’une augmentation des gaz à effet de serre dans l’atmosphère il y a 56 millions d’années a entraîné un changement brutal des précipitations et de la végétation en Asie centrale.

Afin de reconstituer les régimes de précipitations de la période chaude du début du Paléogène, les chercheurs ont combiné leur expertise pour développer une approche multi-proxy innovante dans laquelle ils ont combiné du pollen et des spores fossiles ainsi que des données géochimiques provenant de sols fossiles. Au cours de l’événement hyperthermal étudié, les précipitations ont temporairement doublé en raison des températures plus élevées et la steppe régionale a été remplacée par un paysage forestier. Les sols se sont asséchés en hiver, ce qui signifie que, contrairement aux attentes, la plupart des précipitations sont tombées pendant la période estivale – ce qui est comparable à la mousson moderne.

Les scientifiques associent cet évènement hyperthermal au maximum de température du paléocène/éocène, une phase de réchauffement de la planète associée à une augmentation considérable des gaz à effet de serre dans l’atmosphère et les océans de la Terre. Au cours de cette période, la température globale a augmenté en moyenne de six degrés Celsius en l’espace de quelques milliers d’années. Leurs recherches montrent qu’en Asie cet évènement s’est accompagné de conditions exceptionnellement humides et à une expansion des précipitations vers l’intérieur des terres, qu’ils ont appelée proto-mousson. Ce travail fournit des informations paléoclimatiques sur le climat de l’Asie centrale d’une réponse abrupte et non linéaire des moussons asiatiques aux conditions extrêmes de l’effet de serre et mettent en évidence la possibilité de changements brusques dans le cadre d’un réchauffement planétaire futur. Le réchauffement actuel impose des températures extrêmes et une sécheresse accrue sur la steppe d’Asie centrale, ainsi que sur sa flore et sa faune fragiles, qui sont déjà menacées par l’utilisation anthropique des sols. Des changements abrupts encore plus spectaculaires sont attendus si les températures continuent d’augmenter.

Deux grains de pollen fossils. Ephedra, typique des arbustes des steppes d'Asie centrale de la période Paléogène (gauche). Juglandaceae, un taxon ancestral de marronnier qui se répand en Asie Centrale pendant l'hyperthermal il y a 56 millions d'années (droite).
Crédit : Hanna van den Hil and Julia Gravendyck.
Echantillonnage près de Xining, Chine occidentale.
Crédit : Dupont-Nivet/CNRS Rennes

Classé sous :Climat, Terre Balisé avec :Brève, Résultat scientifique

Tous nos meilleurs vœux pour 2024

31 décembre 2023 by osuadmin

https://news.osupytheas.fr/wp-content/uploads/sites/2/2023/12/voeux-OSU-2024-light.mp4
 
 

 

 

Classé sous :Biodiversité, Climat, Écologie, Environnement, Terre, Univers Balisé avec :Brève

PRESSION HYPERBAR ! fait sa rentrée

10 novembre 2023 by osuadmin

COP 28, good COP ou bad COP ?

« PRESSION HYPERBAR ! » l’afterwork de l’Observatoire des Sciences de l’Univers Institut Pythéas (CNRS, AMU, IRD, INRAE) animé par le média Bleu Tomate reprend ses quartiers à la brasserie Zoumaï à Marseille. Au menu de ce premier rendez-vous : quid de la diplomatie climatique à la veille de la COP28 ?

Mardi 21 novembre à partir de 19h, à la Brasserie Zoumaï – 7 Cours Gouffé, 13006 Marseille

Le climat est de plus en plus fiévreux et une fois de plus, les gouvernements se réunissent à son chevet. Ces réunions annuelles appelées COP ont parfois été de bonnes surprises (Protocole de Kyoto, Accord de Paris) mais le plus souvent, il reste l’amertume de trop petits pas. Et quand le résultat est plutôt positif, les accords sont-ils réellement suivis d’effets ?
La déjà très controversée 28e Conférence des Parties sur le Climat de l’ONU (la COP 28) se déroulera à Dubaï, un pays pétrolier, du 30 novembre au 12 décembre 2023. Alors, que va pouvoir faire cette diplomatie climatique ?
On sait que pour limiter la fièvre climatique, il ne faut plus émettre la moindre tonne de gaz à effet de serre. Or au rythme actuel, le thermomètre marquera +1,5 °C dans moins de 10 ans et +2 °C dans moins de 30 ans.

  • La COP28, sera-t-elle alors une good COP ou bad COP ?
  • Comment la communauté scientifique accompagne-t-elle ces grands rendez-vous diplomatiques internationaux sur le climat ?
  • Comment concrètement peut-on mesurer les émissions de gaz à effet de serre ?
  • Comment la société civile peut-elle avoir un impact sur les décisions des acteurs politiques et économiques ?
  • …

Autant de questions sur lesquelles nous vous invitons à venir échanger !

Intervenants :

Cyrille Cormier : ingénieur et spécialiste des politiques énergétiques et climatiques, il est depuis 12 ans responsable de stratégies de campagne et d’influence pour le compte d’ONG européennes qui œuvrent à créer les conditions pour une transition énergétique compatible avec les accords de Paris.

Joël Guiot : Directeur de Recherche CNRS émérite au Centre Européen de Recherche et d’Enseignement des Géosciences de l’Environnement (CEREGE / OSU Pythéas – CNRS, AMU, IRD, INRAE).

Nicolas Megel : Ingénieur spécialisé en statistiques et en sciences de la donnée, il est le cofondateur de l’entreprise NEXQT qui propose aux collectivités des bilans énergie-climat automatisés sous forme de “bulletins météo” réguliers et cartographiés.

Classé sous :Climat Balisé avec :Communiqué de presse

CNRS : les cinq lauréats 2023 de la médaille de la médiation scientifique

25 octobre 2023 by osuadmin

La médiation scientifique vise à partager les connaissances scientifiques disponibles avec des non-spécialistes, dans les écoles, les lycées ou tout simplement avec les citoyens et citoyennes. Cette transmission des connaissances est une des missions du CNRS ; il était donc naturel de reconnaître et valoriser celles et ceux qui s’engagent dans cette démarche qui nécessite un investissement particulier. Pour Antoine Petit, président-directeur général du CNRS, « parler de science à un large public et expliquer la démarche scientifique doit permettre de donner à chacun les éléments pour se forger sa propre conviction éclairée, sur la base de ce que l’on sait, et de ce que l’on ne sait pas, ou pas encore. ». « La science n’est pas de la croyance mais un ensemble de connaissances acquises par une méthode rigoureuse et collective. Développer la médiation scientifique est aussi une action essentielle pour lutter contre les fake-news et toutes les formes d’obscurantismes. Je tiens à féliciter chaleureusement les lauréates et lauréats 2023 de la médaille de la médiation scientifique du CNRS. Ils sont les visages d’une science ouverte, intégrée et partagée que le CNRS et ses partenaires construisent au quotidien. »

Parmi les lauréats :

  • Wiebke Drenckhan : l’art comme support à la médiation scientifique
  • MATH en JEANS et la découverte de la recherche en mathématiques
  • Le climat et ses enjeux à la portée de toutes et tous
  • Criminocorpus : un musée virtuel et une revue sur l’histoire de la justice
  • David Louapre : quand la science étonne sur YouTube

Le climat et ses enjeux à la portée de toutes et tous

« En cette période où tout se vaut sur les réseaux sociaux, nous avons voulu redonner de la visibilité aux chercheurs, à leurs travaux et à leur parole », souligne Anne Brès, responsable de communication à l’Institut national des sciences de l’Univers du CNRS. Dans la bataille de l’information sur le climat, l’objectif est de faire remonter les pages scientifiques, longtemps diluées dans les résultats des moteurs de recherche par les trop nombreux contenus climatosceptiques. Pour cela, un collectif, coordonné par Anne Brès, a rassemblé le blogueur Bon Pote, ainsi qu’une vingtaine de climatologues pour rédiger des articles répondant à diverses fake news climatiques. Ces textes étaient également transformés, avec l’aide de l’illustratrice Claire Marc, en schémas illustrés. Ces sketchnotes ont depuis été publiés dans le livre « Tout savoir (ou presque) sur le climat », un des best-sellers de CNRS Éditions.

Scientifique de parcours et vulgarisatrice de métier, Claire Marc aime par dessus tout traduire des messages et concepts scientifiques pour le grand public. Son agence de communication scientifique Méduse Communication aide les chercheurs et autres acteurs de la science à vulgariser leurs travaux sous des formes ludiques pour tous types de publics ! Claire Marc est issue du Master Médiation en Environnement et Communication Scientifique d’Aix-Marseille Université promo 2016 – 2018.

 

Source : https://www.cnrs.fr/fr/presse/cnrs-les-cinq-laureats-2023-de-la-medaille-de-la-mediation-scientifique

Classé sous :Climat Balisé avec :Communiqué de presse

ERC Starting Grant 2023 – Projet SIESTA, Le rôle de la dormance microbienne en tant que régulateur écologique et biogéochimique sur Terre

6 septembre 2023 by osuadmin

James Bradley, Chargé de recherche à l’Institut méditerranéen d’océanologie (MIO)

La vie microbienne a proliféré au cours des temps géologiques, survivant à des changements environnementaux longs et extrêmes, y compris des glaciations mondiales qui ont duré des millions d’années, et des changements radicaux du climat et de la géographie de la Terre. Les micro-organismes ont recours à la dormance, un état réversible d’activité métabolique réduite, pour persister et tolérer les changements défavorables de leur environnement. Les organismes en dormance se retirent de l’environnement actuel et s’intègrent à une banque de semences qui contribuera à la diversité et à la fonction des écosystèmes futurs. Cependant, nous manquons de connaissances fondamentales sur la prévalence, les déclencheurs et les échelles de temps de la dormance, et sur la manière dont ces facteurs affectent les écosystèmes et les bilans élémentaires. Le projet SIESTA financé par cette bourse européenne vise à connaître la prévalence et le rôle de la dormance microbienne en tant que régulateur écologique et biogéochimique sur Terre, et permettra ainsi de mieux comprendre comment la vie parvient à prospérer tout au long du changement global et conduit l’évolution planétaire.

 

Source : https://www.provence-corse.cnrs.fr/fr/personne/james-bradley

Classé sous :Climat, Environnement, Terre Balisé avec :Vie des labos

Florence Sylvestre, chevalier de la légion d’honneur

19 juillet 2023 by osuadmin

De la paléoclimatologie andine à la gestion des eaux sahéliennes

Florence Sylvestre vient d’être promue au grade de chevalier de la Légion d’honneur, en reconnaissance de sa carrière et de son implication dans l’enseignement supérieur et la recherche au Tchad. La chercheuse analyse les diatomées, des algues microscopiques présentes dans tous les milieux aquatiques, pour mieux connaître le climat passé et actuel. Après avoir mené ses recherches en Amérique latine, elle s’installe au Tchad où elle estime les ressources en eau du pays grâce à une approche multidisciplinaire et en partenariat avec les institutions tchadiennes. 
IRD le Mag’ la met à l’honneur dans cet article.

Originaire du Sud-Est de la France, Florence Sylvestre effectue ses études de géologie au Muséum national d’Histoire naturelle (MNHN) à Paris. À cette époque, elle rencontre Michel et Simone Servant, deux spécialistes des paléoclimats1 tropicaux à l’IRD (alors Orstom). Ils proposent à la jeune étudiante de s’envoler pour la Bolivie et d’étudier l’évolution hydrologique passée des lacs de l’Altiplano. Ils l’invitent à étudier plus particulièrement les diatomées, microorganismes unicellulaires présents dans tous les milieux aquatiques. Excellents bio-indicateurs2, ces algues renseignent sur la qualité de l’eau et apportent des informations sur l’évolution des milieux aquatiques dans lesquels elles se développent.

Passion diatomées

Durant plusieurs mois, la doctorante travaille sur des archives sédimentaires prélevées dans les lacs de ce plateau situé à plus de 3 600 mètres d’altitude et détaille dans sa thèse, pour la première fois, les variations hydrologiques et climatiques de l’Altiplano au cours des 15 000 dernières années. Le ton est donné, sur les pas de ses « parents scientifiques » comme elle les appelle, Florence Sylvestre consacrera sa carrière à l’étude des paléoclimats tropicaux et aux diatomées.

« Ces microorganismes sont fascinants, leurs squelettes de verre sont très beaux et on en compte plus de 70 000 espèces différentes, souligne-t-elle. Les diatomées sont un outil essentiel pour reconstituer les climats passés mais également analyser la qualité de l’eau. »

Littoraux brésiliens et lacs argentins

De retour en France, Florence Sylvestre est nommée maîtresse de conférence, à seulement 27 ans, à l’université d’Angers. Durant sept années, elle poursuit ses travaux sur l’Altiplano bolivien. Elle étend ses recherches à d’autres environnements de l’Amérique latine, tels que les littoraux brésiliens, guyanais et les lacs argentins. Après une expérience de six mois au Canada où elle étudie l’environnement arctique, elle devient à 35 ans directrice de recherche à l’IRD, au Centre européen de recherche et d’enseignement des géosciences de l’environnement (Cerege).

Isotopes et systèmes lacustres tchadiens

La chercheuse y poursuit son travail sur l’Amérique latine mais s’intéresse dès la fin des années 2000 à l’Afrique et plus particulièrement au lac Tchad. « Tout le monde s’alarmait de sa disparition alors que selon les prédictions du changement climatique, les pluies allaient augmenter au Sahel. J’ai donc lancé un projet de recherches sur ce lac et son bassin versant et j’ai coordonné de nombreuses missions notamment au Tchad. Les résultats sont aujourd’hui confirmés : le lac Tchad n’est pas en train de s’assécher, bien au contraire ! »

Elle y analyse les isotopes stables de l’oxygène des diatomées.

En rejoignant le Cerege, Florence Sylvestre contribue au développement d’une méthodologie novatrice utilisant la composition isotopique3 de l’oxygène des diatomées comme traceur des paramètres climatiques. Elle y inclut des approches de modélisation et d’hydrologie spatiale pour mieux comprendre les systèmes lacustres et leur cycle hydrologique passé et actuel. Son objectif : estimer la ressource en eau des lacs et apporter cette expertise aux institutions locales pour une meilleure gouvernance. Le Tchad des lacs, ouvrage qu’elle a codirigé et publié en 2019 s’ancre dans cette vision et propose d’appréhender de manière multidisciplinaire la trajectoire des zones humides sahéliennes face aux enjeux des changements globaux.

Partenariat local

Après plusieurs missions de longue durée, Florence Sylvestre s’installe en 2020 au Tchad où elle est affectée au département Géologie de l’université de N’Djamena. Représentante de l’IRD au Tchad, où elle est la seule expatriée de l’Institut, elle s’emploie à mettre en place des partenariats et à former des étudiants qui sont aujourd’hui enseignants-chercheurs au sein de leur université.  Elle codirige également le LMI VIABELEAUX avec le Dr Zakinet Dangbet de l’université de N’Djamena. « Seul le lac Tchad était étudié alors qu’il en existe quatre autres de grande dimension et importants pour le développement économique du pays, explique Florence Sylvestre. Grâce au LMI, des étudiants tchadiens partent sur le terrain pour étudier ces lacs en lien avec des chercheurs en sciences humaines, des géologues et des hydrologues. L’objectif est de proposer une approche de gestion intégrée et inclusive des territoires partagée par tous les acteurs locaux. » Enfin, elle s’implique pour la promotion des femmes tchadiennes dans l’Enseignement supérieur et la Recherche au côté de l’ambassade de France.

Après avoir été promue chevalier dans l’ordre national du mérite en 2014, la directrice de recherche est aujourd’hui promue au grade de chevalier de la Légion d’honneur pour son implication dans l’enseignement supérieur et la recherche au Tchad. « C’est certes la reconnaissance de mon travail et de mon implication à faire rayonner les géosciences de l’environnement, mais aussi celle et surtout des avancées de la recherche menées ici avec mes collègues tchadiens au cours de ces dix dernières années », conclut-elle.

 

Source IRD Le Mag’ : https://www.cerege.fr/fr/accueil-cerege/focus-florence-sylvestre-chercheuse-en-paleoclimatologie-au-service-des-populations/

 

1. Climat d’une époque géologique passée.
2. Groupe d’organismes dont la présence ou l’état renseigne sur certaines caractéristiques écologiques d’un écosystème.
3. Proportions des divers isotopes, ou versions, d’un élément chimique.

Classé sous :Climat, Paléontologie Balisé avec :Distinction

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